L'AS Rome remporte la Coupe d'Italie
Soccer samedi, 24 mai 2008. 17:37 vendredi, 13 déc. 2024. 03:42
ROME - L'AS Rome a remporté sa deuxième Coupe d'Italie consécutive en disposant 2-1 d'une adversaire, l'Inter, championne en titre, qui a attendu d'être menée de deux buts en seconde période pour réagir, samedi au stade Olympique de Rome.
Pour l'équipe de la capitale, il s'agit du neuvième succès dans l'épreuve - soit un nombre record ex aequo avec la Juventus -, tandis que pour sa quatrième finale de rang, à chaque fois contre l'Inter, elle a "égalisé" à 2-2 après les deux victoires du club milanais en 2005 et 2006 suivies de son succès en 2007.
Une semaine après s'être disputée le titre jusqu'au bout, lors de la dernière journée de championnat, les deux meilleures formations italiennes se retrouvaient une dernière fois pour la clôture de la saison.
Devant son public du stade Olympique (la finale se dispute désormais en un seul match et non plus en aller/retour), la Roma avait, elle, une folle envie de décrocher la Coupe afin de ne pas achever la saison bredouille.
Mexès, tout seul
L'Inter, de son côté, en plus d'être privée de nombreux titulaires suspendus (Materazzi, Cruz) ou sur le flanc (Ibrahimovic et Cambiasso, notamment), avait manifestement la tête encore un peu dans les nuages, moins concernée que la Roma par une compétition dont le prestige demeure à mille lieues d'un scudetto.
Aussi est-ce la Roma, plus enthousiaste et volontaire, qui allait logiquement prendre l'avantage. En fin de première période, Mexès, laissé bien seul pour couper un corner de Pizarro au premier poteau, ouvrait le score d'une reprise de l'intérieur du droit (35, 1-0).
Puis, dès le début de la seconde période, un une-deux entre Perrotta et Vucinic profitait à l'international italien qui doublait la mise d'une frappe du droit (53, 2-0).
Menée 2 à 0, l'Inter, plutôt passive jusque-là, réagissait, et, presque immédiatement, le Portugais Pelé, entré en jeu quelques minutes auparavant, remettait son équipe à flot en marquant d'une splendide frappe de 25 mètres (59, 2-1).
Ce réveil se révélait cependant trop tardif puisque la Roma, même bousculée par un adversaire devenu plus incisif, parvenait à tenir le coup jusqu'au bout pour le plus grand bonheur de ses 50 000 tifosi.
Pour l'équipe de la capitale, il s'agit du neuvième succès dans l'épreuve - soit un nombre record ex aequo avec la Juventus -, tandis que pour sa quatrième finale de rang, à chaque fois contre l'Inter, elle a "égalisé" à 2-2 après les deux victoires du club milanais en 2005 et 2006 suivies de son succès en 2007.
Une semaine après s'être disputée le titre jusqu'au bout, lors de la dernière journée de championnat, les deux meilleures formations italiennes se retrouvaient une dernière fois pour la clôture de la saison.
Devant son public du stade Olympique (la finale se dispute désormais en un seul match et non plus en aller/retour), la Roma avait, elle, une folle envie de décrocher la Coupe afin de ne pas achever la saison bredouille.
Mexès, tout seul
L'Inter, de son côté, en plus d'être privée de nombreux titulaires suspendus (Materazzi, Cruz) ou sur le flanc (Ibrahimovic et Cambiasso, notamment), avait manifestement la tête encore un peu dans les nuages, moins concernée que la Roma par une compétition dont le prestige demeure à mille lieues d'un scudetto.
Aussi est-ce la Roma, plus enthousiaste et volontaire, qui allait logiquement prendre l'avantage. En fin de première période, Mexès, laissé bien seul pour couper un corner de Pizarro au premier poteau, ouvrait le score d'une reprise de l'intérieur du droit (35, 1-0).
Puis, dès le début de la seconde période, un une-deux entre Perrotta et Vucinic profitait à l'international italien qui doublait la mise d'une frappe du droit (53, 2-0).
Menée 2 à 0, l'Inter, plutôt passive jusque-là, réagissait, et, presque immédiatement, le Portugais Pelé, entré en jeu quelques minutes auparavant, remettait son équipe à flot en marquant d'une splendide frappe de 25 mètres (59, 2-1).
Ce réveil se révélait cependant trop tardif puisque la Roma, même bousculée par un adversaire devenu plus incisif, parvenait à tenir le coup jusqu'au bout pour le plus grand bonheur de ses 50 000 tifosi.