La Juventus s'impose à Rome
Soccer samedi, 12 sept. 2009. 17:03 vendredi, 13 déc. 2024. 11:54
ROME - La Juventus, bousculée par la Lazio, est néanmoins parvenue à s'imposer 2 à 0 samedi à Rome en match avancé de la troisième journée du championnat d'Italie, confirmant son excellent début de saison.
Trois journées, trois victoires et la première place du classement: le bilan est absolument parfait pour la Juve qui, dès mardi à Turin, débute la Ligue des Champions contre le champion de France Bordeaux.
Seule ombre au tableau pour la formation turinoise, le meneur de jeu Diego, arrivé cet été et déjà indispensable, a dû sortir en cours de jeu (45), blessé à la cuisse droite. Il incertain pour la rencontre de mardi.
Deux semaines justement après le récital de Diego face à l'AS Rome (victoire 3-1 et doublé de l'ex-vedette du Werder Brême), c'est une autre recrue de l'intersaison, le latéral droit Caceres, qui a permis à la "Vieille Dame" de s'imposer grâce à une puissante frappe de loin (72).
Dans les arrêts de jeu, David Trezeguet, à la reprise d'un ballon repoussé par le gardien suite à une tête d'Amauri, a ensuite alourdi la note (45+3).
Pourtant, jusqu'au but du défenseur uruguayen prêté par le FC Barcelone, c'est la Lazio - qui avait également remporté ses deux premiers matches - qui s'était montrée la plus dangereuse. Mais la Juve, à l'image du toujours impeccable gardien Buffon, a un atout de taille dans sa manche: sa solidité défensive.
Dans l'autre rencontre avancée de la journée, l'AC Milan a en revanche laissé une toute autre impression sur la pelouse du promu Livourne.
Faute de rythme et d'idées, à l'image d'un Ronaldinho fantomatique avant son remplacement par Pirlo, l'équipe lombarde n'a pu faire mieux que match nul 0 à 0. Une performance inquiétante avant le déplacement à Marseille mardi pour les débuts en Ligue des Champions.
"Les deux périodes ne se sont pas déroulées de la même façon: au cours de la première, on a éprouvé du mal et Livourne a bien joué, a analysé Leonardo. Après la pause, les choses se sont en revanche mieux passées, on a produit davantage de jeu et on a bien contenu les offensives adverses".
"Il nous surtout manqué de la profondeur et de l'habileté pour conserver la balle en attaque", a ajouté l'entraîneur milanais, tandis que le N.2 du club, Adriano Galliani critiquait indirectement la pâle performance de Ronaldinho en soulignant qu'il avait vu "un Milan bien meilleur après l'entrée en jeu de Pirlo" tout en soulignant que le résultat nul était in fine "le plus juste".
Trois journées, trois victoires et la première place du classement: le bilan est absolument parfait pour la Juve qui, dès mardi à Turin, débute la Ligue des Champions contre le champion de France Bordeaux.
Seule ombre au tableau pour la formation turinoise, le meneur de jeu Diego, arrivé cet été et déjà indispensable, a dû sortir en cours de jeu (45), blessé à la cuisse droite. Il incertain pour la rencontre de mardi.
Deux semaines justement après le récital de Diego face à l'AS Rome (victoire 3-1 et doublé de l'ex-vedette du Werder Brême), c'est une autre recrue de l'intersaison, le latéral droit Caceres, qui a permis à la "Vieille Dame" de s'imposer grâce à une puissante frappe de loin (72).
Dans les arrêts de jeu, David Trezeguet, à la reprise d'un ballon repoussé par le gardien suite à une tête d'Amauri, a ensuite alourdi la note (45+3).
Pourtant, jusqu'au but du défenseur uruguayen prêté par le FC Barcelone, c'est la Lazio - qui avait également remporté ses deux premiers matches - qui s'était montrée la plus dangereuse. Mais la Juve, à l'image du toujours impeccable gardien Buffon, a un atout de taille dans sa manche: sa solidité défensive.
Dans l'autre rencontre avancée de la journée, l'AC Milan a en revanche laissé une toute autre impression sur la pelouse du promu Livourne.
Faute de rythme et d'idées, à l'image d'un Ronaldinho fantomatique avant son remplacement par Pirlo, l'équipe lombarde n'a pu faire mieux que match nul 0 à 0. Une performance inquiétante avant le déplacement à Marseille mardi pour les débuts en Ligue des Champions.
"Les deux périodes ne se sont pas déroulées de la même façon: au cours de la première, on a éprouvé du mal et Livourne a bien joué, a analysé Leonardo. Après la pause, les choses se sont en revanche mieux passées, on a produit davantage de jeu et on a bien contenu les offensives adverses".
"Il nous surtout manqué de la profondeur et de l'habileté pour conserver la balle en attaque", a ajouté l'entraîneur milanais, tandis que le N.2 du club, Adriano Galliani critiquait indirectement la pâle performance de Ronaldinho en soulignant qu'il avait vu "un Milan bien meilleur après l'entrée en jeu de Pirlo" tout en soulignant que le résultat nul était in fine "le plus juste".