Le Milan AC s'impose in extremis
Soccer samedi, 5 mars 2005. 16:04 vendredi, 13 déc. 2024. 17:29
ROME (AFP) - Le Milan AC, vainqueur in extremis (2-1) à Bergame sur le terrain du dernier, l'Atalanta, et la Juventus, qui l'a emporté contre l'AS Rome (2-1), lors de la 27e journée disputée samedi et dimanche, continuent leur course en tandem en tête du championnat d'Italie de soccer, Milan conservant sa place de leader au bénéfice de la différence de buts.
La formation milanaise est toutefois revenu de loin et peut s'estimer heureuse de s'en tirer à si bon compte face à une équipe de l'Atalanta surprenante, solide en défense et toujours dangereuse grâce à la vitesse de ses attaquants.
Le Milan AC, toujours privé de son avant-centre Andrei Shevchenko, pas tout à fait remis de son opération consécutive à une fracture de la pommette, n'a jamais réussi à imposer son jeu sur une pelouse très difficile, déblayée dans la matinée d'une épaisse couche de neige.
"C'était vraiment compliqué de jouer sur un tel terrain et je suis heureux de ce succès", a commenté l'entraîneur milanais Carlo Ancelotti.
Les hommes de Carlo Ancelotti sont parvenus à prendre les devants (71), grâce à un coup de tête de Massimo Ambrosini sur un coup franc d'Andrea Pirlo.
Bergame a égalisé deux minutes après d'un autre coup de tête du Nigérian Steven Makinwa (73).
parfaitement négocié
Mais dans les dernières secondes du temps additionnel, le Milan AC est parvenu à enlever les trois points grâce à Pirlo qui reprenait de plein fouet un mauvais renvoi du gardien adverse sur un coup de tête rapproché de Filippo Inzaghi. Pirlo faisait sa rentrée après plus d'un mois d'absence pour une opération à la main droite.
Pour sa part, la Juventus Turin a parfaitement négocié le difficile déplacement à Rome, dans un match tendu, haché par des fautes continuelles qui ont obligé l'arbitre à sortir à dix reprises le carton jaune.
L'équipe de Fabio Capello de retour dans la capitale après son départ pour Turin l'été dernier, a dans l'ensemble mérité son succès, devant une équipe romaine décevante sur le plan du jeu, et trop nerveuse à l'image de ses vedettes de l'attaque, Francesco Totti, Antonio Cassano et Vincenzo Montella.
La Juve a ouvert la marque sur un coup de tête de très près de Fabio Cannavaro (11), et s'est assuré une certaine domination territoriale, avant de subir l'égalisation par Cassano (39) parti à la limite du hors-jeu.
Peu avant le repos, la Juve reprenait le dessus sur un penalty (44) en force d'Alessandro Del Piero pour une faute à l'entrée de la surface de Dellas sur Marcello Zalayeeta.
En seconde mi-temps, la Juventus, trop prudente, laissait l'initiative des opérations à la Roma, sans toutefois renoncer à l'attaque, et Zlatan Ibrahimovic inscrivait un 3e but refusé par l'arbitre pour un hors-jeu pas forcément très évident.
La formation milanaise est toutefois revenu de loin et peut s'estimer heureuse de s'en tirer à si bon compte face à une équipe de l'Atalanta surprenante, solide en défense et toujours dangereuse grâce à la vitesse de ses attaquants.
Le Milan AC, toujours privé de son avant-centre Andrei Shevchenko, pas tout à fait remis de son opération consécutive à une fracture de la pommette, n'a jamais réussi à imposer son jeu sur une pelouse très difficile, déblayée dans la matinée d'une épaisse couche de neige.
"C'était vraiment compliqué de jouer sur un tel terrain et je suis heureux de ce succès", a commenté l'entraîneur milanais Carlo Ancelotti.
Les hommes de Carlo Ancelotti sont parvenus à prendre les devants (71), grâce à un coup de tête de Massimo Ambrosini sur un coup franc d'Andrea Pirlo.
Bergame a égalisé deux minutes après d'un autre coup de tête du Nigérian Steven Makinwa (73).
parfaitement négocié
Mais dans les dernières secondes du temps additionnel, le Milan AC est parvenu à enlever les trois points grâce à Pirlo qui reprenait de plein fouet un mauvais renvoi du gardien adverse sur un coup de tête rapproché de Filippo Inzaghi. Pirlo faisait sa rentrée après plus d'un mois d'absence pour une opération à la main droite.
Pour sa part, la Juventus Turin a parfaitement négocié le difficile déplacement à Rome, dans un match tendu, haché par des fautes continuelles qui ont obligé l'arbitre à sortir à dix reprises le carton jaune.
L'équipe de Fabio Capello de retour dans la capitale après son départ pour Turin l'été dernier, a dans l'ensemble mérité son succès, devant une équipe romaine décevante sur le plan du jeu, et trop nerveuse à l'image de ses vedettes de l'attaque, Francesco Totti, Antonio Cassano et Vincenzo Montella.
La Juve a ouvert la marque sur un coup de tête de très près de Fabio Cannavaro (11), et s'est assuré une certaine domination territoriale, avant de subir l'égalisation par Cassano (39) parti à la limite du hors-jeu.
Peu avant le repos, la Juve reprenait le dessus sur un penalty (44) en force d'Alessandro Del Piero pour une faute à l'entrée de la surface de Dellas sur Marcello Zalayeeta.
En seconde mi-temps, la Juventus, trop prudente, laissait l'initiative des opérations à la Roma, sans toutefois renoncer à l'attaque, et Zlatan Ibrahimovic inscrivait un 3e but refusé par l'arbitre pour un hors-jeu pas forcément très évident.