Le plan de Tom Hicks tombe à l'eau
Soccer lundi, 20 sept. 2010. 14:55 samedi, 14 déc. 2024. 14:52
LONDRES - Le plan du copropriétaire du Liverpool FC Tom Hicks est tombé à l'eau, lundi.
L'Américain désirait garder la mainmise sur l'équipe avec l'aide d'une compagnie de capital-investissement américaine. Mais ce plan de Hicks est tombé à l'eau quand la firme Blackstone, qui souhaitait initialement investir par le truchement de l'une de ses filiales, s'est retirée de l'entente, selon une source ayant requis l'anonymat.
Hicks souhaitait obtenir 280 millions de livres (450 millions $CAN) de la part de GSO Capital Partners et ensuite partager le contrôle de l'équipe, une transaction qui aurait empêcher la vente rapide de l'équipe.
Mais Blackstone n'est plus intéressée par Liverpool après avoir considéré l'entente initialement proposée par Hicks, a indiqué à The Associated Press une personne familière avec les plans de l'entreprise.
Hicks et le copropriétaire George Gillett fils doivent payer la dette du club de 380 millions $ à la Royal Bank of Scotland (RBS) d'ici le mois d'octobre.
Si l'entente avec Blackstone avait été conclue, Hicks, qui est aussi propriétaire des Stars de Dallas de la LNH, aurait pu prendre le plein contrôle de l'équipe, diminuer considérablement la dette de celle-ci et profiter de fonds pour l'acquisition de joueurs, une source a révélé dimanche. L'entente aurait aussi confiné Gillett à un rôle `inactif'.
Les deux Américains ont mis le club en vente en avril, stipulant qu'ils ne disposaient pas du capital nécessaire pour faire progresser l'équipe, que ce soit sur le terrain ou à l'extérieur, en raison de sa dette. La banque Barclays Capital a alors été chargée de superviser la transaction et un nouveau président, Martin Broughton, a été embauché.
Le manque d'offres formelles pour le club aux 18 titres de champion d'Angleterre a cependant mené Hicks à tenter de mettre lui-même sur pied une entente de refinancement, malgré l'opposition des membres du conseil d'administration qu'il a nommés.
Les deux hommes se sont portés acquéreur du club il trois ans pour 353 millions $. Ils espèrent maintenant en obtenir 966 millions $. Hicks et Gillett ont donné du lustre aux opérations commerciales de l'équipe, signant une nouvelle entente de commandite avec la banque Standard Chartered d'une valeur de quelque 129 millions $ pour quatre ans.
Mais Liverpool a éprouvé des ennuis sur le terrain, ne se qualifiant pas pour la lucrative Ligue des champions cette saison et s'est inclinée face à son rival Manchester United par la marque de 3-2, dimanche, pour ne se retrouver qu'un point au-dessus de la relégation en Premier League.
L'Américain désirait garder la mainmise sur l'équipe avec l'aide d'une compagnie de capital-investissement américaine. Mais ce plan de Hicks est tombé à l'eau quand la firme Blackstone, qui souhaitait initialement investir par le truchement de l'une de ses filiales, s'est retirée de l'entente, selon une source ayant requis l'anonymat.
Hicks souhaitait obtenir 280 millions de livres (450 millions $CAN) de la part de GSO Capital Partners et ensuite partager le contrôle de l'équipe, une transaction qui aurait empêcher la vente rapide de l'équipe.
Mais Blackstone n'est plus intéressée par Liverpool après avoir considéré l'entente initialement proposée par Hicks, a indiqué à The Associated Press une personne familière avec les plans de l'entreprise.
Hicks et le copropriétaire George Gillett fils doivent payer la dette du club de 380 millions $ à la Royal Bank of Scotland (RBS) d'ici le mois d'octobre.
Si l'entente avec Blackstone avait été conclue, Hicks, qui est aussi propriétaire des Stars de Dallas de la LNH, aurait pu prendre le plein contrôle de l'équipe, diminuer considérablement la dette de celle-ci et profiter de fonds pour l'acquisition de joueurs, une source a révélé dimanche. L'entente aurait aussi confiné Gillett à un rôle `inactif'.
Les deux Américains ont mis le club en vente en avril, stipulant qu'ils ne disposaient pas du capital nécessaire pour faire progresser l'équipe, que ce soit sur le terrain ou à l'extérieur, en raison de sa dette. La banque Barclays Capital a alors été chargée de superviser la transaction et un nouveau président, Martin Broughton, a été embauché.
Le manque d'offres formelles pour le club aux 18 titres de champion d'Angleterre a cependant mené Hicks à tenter de mettre lui-même sur pied une entente de refinancement, malgré l'opposition des membres du conseil d'administration qu'il a nommés.
Les deux hommes se sont portés acquéreur du club il trois ans pour 353 millions $. Ils espèrent maintenant en obtenir 966 millions $. Hicks et Gillett ont donné du lustre aux opérations commerciales de l'équipe, signant une nouvelle entente de commandite avec la banque Standard Chartered d'une valeur de quelque 129 millions $ pour quatre ans.
Mais Liverpool a éprouvé des ennuis sur le terrain, ne se qualifiant pas pour la lucrative Ligue des champions cette saison et s'est inclinée face à son rival Manchester United par la marque de 3-2, dimanche, pour ne se retrouver qu'un point au-dessus de la relégation en Premier League.