Le soccer anglais attire les foules
Soccer vendredi, 12 févr. 2010. 14:48 vendredi, 13 déc. 2024. 18:03
LONDRES - Les stades anglais de première division n'ont jamais été aussi pleins malgré la crise, avec un taux de remplissage de 92,4 %, se félicite vendredi dans un entretien au Daily Telegraph le directeur général de la Premier League, Richard Scudamore.
Malgré la relégation de Newcastle, qui attire un public très nombreux, une moyenne de plus de 36 000 spectateurs se presse à chaque rencontre de Premier League et le taux de remplissage "a grimpé de 0,6 %" pour s'élever "à 92,4 %", poursuit Scudamore.
"Le seul autre championnat comparable, c'est l'Allemagne, mais ils sont très loin pour ce qui est du taux de remplissage des stades", explique Scudamore, selon qui la Bundesliga a profité de l'agrandissement des enceintes pour le Mondial-2006. Une victoire de la candidature anglaise pour le Mondial-2018 aurait d'ailleurs des effets bénéfiques, a-t-il d'ailleurs ajouté.
Le dirigeant de la Premier League a toutefois jugé "que le potentiel de croissance" de son organisation se situait désormais "à l'international".
"On voit apparaître des marchés émergents, avec l'Inde et l'Afrique, où l'intérêt (pour le football anglais) est immense. La vente de nos droits en Amérique du Sud a explosé", dit-il.
Malgré la relégation de Newcastle, qui attire un public très nombreux, une moyenne de plus de 36 000 spectateurs se presse à chaque rencontre de Premier League et le taux de remplissage "a grimpé de 0,6 %" pour s'élever "à 92,4 %", poursuit Scudamore.
"Le seul autre championnat comparable, c'est l'Allemagne, mais ils sont très loin pour ce qui est du taux de remplissage des stades", explique Scudamore, selon qui la Bundesliga a profité de l'agrandissement des enceintes pour le Mondial-2006. Une victoire de la candidature anglaise pour le Mondial-2018 aurait d'ailleurs des effets bénéfiques, a-t-il d'ailleurs ajouté.
Le dirigeant de la Premier League a toutefois jugé "que le potentiel de croissance" de son organisation se situait désormais "à l'international".
"On voit apparaître des marchés émergents, avec l'Inde et l'Afrique, où l'intérêt (pour le football anglais) est immense. La vente de nos droits en Amérique du Sud a explosé", dit-il.