Man. City est à prendre au sérieux
Soccer lundi, 23 août 2010. 17:22 vendredi, 13 déc. 2024. 16:43
MANCHESTER - Manchester City a montré qu'il fallait compter sur lui cette saison en battant logiquement Liverpool (3-0) lundi en match en retard de la 2e journée du championnat d'Angleterre et rejoint Manchester United et Arsenal au classement, deux points derrière Chelsea.
Pour comprendre l'importance pour City de ce choc avec Liverpool, il suffisait de regarder le tribune présidentielle. Le propriétaire du club, Sheikh Mansour, y trônait, dans son costume bleu marine, pour la première fois depuis qu'il acheté le club il y a trois ans.
Après avoir dépensé plus de 150 millions d'euros cet été en transfert, il était sûrement venu voir ou était passé son argent.
Il a vu trois buts surtout. Il a vu James Milner, sa dernière acquisition pour 28 millions d'euros, servir sur un plateau Gareth Barry, un recrutement "vieux" de l'été dernier pour 27 millions d'euros, pour l'ouverture du score dès la 13e minute.
Puis Carlos Tevez, prolonger dans le but une belle tête de Richards (53) avant de terminer le travail sur penalty (67).
Mais il a surtout vu une équipe de Manchester City dominatrice, solide et très bien organisée en 4-3-3. Rien de génial dans le jeu collectif pour l'instant mais des individualités en grande forme comme Adam Johnson, James Milner ou Carlos Tevez. Et petit à petit, cette équipe se construit et gagne en solidité.
Pour Liverpool, qui avait probablement le pire calendrier de ce début de championnat avec Arsenal et City à la suite, cela ne fait qu'un point en deux matches.
Les Reds ont souffert pour entrer dans la rencontre malgré la présence de deux attaquants, Torres et Ngog. Ils ont du attendre la 57e minute pour leur première occasion. Mais Gerrard a trouvé le poteau puis Hart a sorti un superbe double arrêt face à Ngog puis Torres. L'Espagnol a ensuite trop croisé son tir du gauche (72) et Babel a vu le sien détourné par Hart (79). C'est tout et bien peu pour une équipe qui va probablement perdre en plus l'un de ses meilleurs joueurs, Javier Mascherano, en partance pour le FC Barcelone.
Voila les joueurs de Roy Hodgson a une triste 17e place au classement, pas idéal quand on est en voie de rédemption.
Pour comprendre l'importance pour City de ce choc avec Liverpool, il suffisait de regarder le tribune présidentielle. Le propriétaire du club, Sheikh Mansour, y trônait, dans son costume bleu marine, pour la première fois depuis qu'il acheté le club il y a trois ans.
Après avoir dépensé plus de 150 millions d'euros cet été en transfert, il était sûrement venu voir ou était passé son argent.
Il a vu trois buts surtout. Il a vu James Milner, sa dernière acquisition pour 28 millions d'euros, servir sur un plateau Gareth Barry, un recrutement "vieux" de l'été dernier pour 27 millions d'euros, pour l'ouverture du score dès la 13e minute.
Puis Carlos Tevez, prolonger dans le but une belle tête de Richards (53) avant de terminer le travail sur penalty (67).
Mais il a surtout vu une équipe de Manchester City dominatrice, solide et très bien organisée en 4-3-3. Rien de génial dans le jeu collectif pour l'instant mais des individualités en grande forme comme Adam Johnson, James Milner ou Carlos Tevez. Et petit à petit, cette équipe se construit et gagne en solidité.
Pour Liverpool, qui avait probablement le pire calendrier de ce début de championnat avec Arsenal et City à la suite, cela ne fait qu'un point en deux matches.
Les Reds ont souffert pour entrer dans la rencontre malgré la présence de deux attaquants, Torres et Ngog. Ils ont du attendre la 57e minute pour leur première occasion. Mais Gerrard a trouvé le poteau puis Hart a sorti un superbe double arrêt face à Ngog puis Torres. L'Espagnol a ensuite trop croisé son tir du gauche (72) et Babel a vu le sien détourné par Hart (79). C'est tout et bien peu pour une équipe qui va probablement perdre en plus l'un de ses meilleurs joueurs, Javier Mascherano, en partance pour le FC Barcelone.
Voila les joueurs de Roy Hodgson a une triste 17e place au classement, pas idéal quand on est en voie de rédemption.