Materazzi victime d'autre coup de tête
Soccer lundi, 29 janv. 2007. 10:25 jeudi, 12 déc. 2024. 20:58
ROME (AFP) - Le défenseur de l'Inter Milan Marco Materazzi, victime d'un coup de tête du milieu de terrain Gennaro Delvecchio lors du match victorieux de son équipe sur la Sampdoria Gênes (0-2) dimanche, a déclaré ne pas avoir provoqué son adversaire mais simplement voulu défendre son gardien.
"Ma réaction a été instinctive, tout ce que voulais faire c'était protéger mon gardien", a expliqué Materazzi.
"Je suis allé vers lui (Delvecchio) et lui ai dit +Que crois-tu que tu vas faire maintenant ?+. A ce moment-là, il m'a poussé mais je ne suis pas tombé. Puis, il m'a donné un coup de tête, et là je suis tombé. Il m'a touché à la lèvre", a précisé le joueur.
Materazzi avait reçu un coup de tête dans la poitrine de la part de Zinedine Zidane en finale de la Coupe du Monde en 2006 mais cette fois, il avait admis avoir provoqué le joueur français.
"Quand je fais une erreur je l'admets, mais dans ce cas je n'ai rien fait de mal", a ajouté le défenseur de l'Inter.
L'entraîneur de la "Samp" Walter Novellino n'a cherché aucune excuse à Delvecchio: "un joueur professionnel ne peut commettre un tel geste, et je ne le défendrai pas. Même s'il y a provocation, son action ne peut être justifiée".
"Ma réaction a été instinctive, tout ce que voulais faire c'était protéger mon gardien", a expliqué Materazzi.
"Je suis allé vers lui (Delvecchio) et lui ai dit +Que crois-tu que tu vas faire maintenant ?+. A ce moment-là, il m'a poussé mais je ne suis pas tombé. Puis, il m'a donné un coup de tête, et là je suis tombé. Il m'a touché à la lèvre", a précisé le joueur.
Materazzi avait reçu un coup de tête dans la poitrine de la part de Zinedine Zidane en finale de la Coupe du Monde en 2006 mais cette fois, il avait admis avoir provoqué le joueur français.
"Quand je fais une erreur je l'admets, mais dans ce cas je n'ai rien fait de mal", a ajouté le défenseur de l'Inter.
L'entraîneur de la "Samp" Walter Novellino n'a cherché aucune excuse à Delvecchio: "un joueur professionnel ne peut commettre un tel geste, et je ne le défendrai pas. Même s'il y a provocation, son action ne peut être justifiée".