France : tombeur de Nice, Lyon reste dans la course pour le titre
Soccer lundi, 24 mars 2003. 20:41 jeudi, 12 déc. 2024. 19:58
NICE (AFP) - Tombeur de Nice grâce à une lumineuse frappe enroulée du milieu de terrain brésilien Juninho, auteur au Ray de son 12e but de la saison, Lyon a répondu du tac au tac aux leaders de Ligue 1 de soccer de France, Monaco et Marseille respectivement vainqueurs au Havre (3-0) et à Montpellier (2-1) au cours de cette 31e journée.
A sept étapes de l'arrivée, le trio se tient toujours dans un mouchoir de poche, un point séparant l'OL (54) de l'OM et l'ASM (55), tandis que le "GYM ", longtemps poil à gratter de l'élite, rentre dans le rang, en 8e position.
Premier champion sortant à honorer son rang depuis bien des années, Lyon a développé le dispositif parfait chez des Niçois invaincus sur leur pelouse depuis 14 journées.
"On a su bien défendre puis placer quelques bons contres pour nous imposer sur la fin sur des Niçois toujours très difficiles à manoeuvrer. C'était notre plan ", a reconnu Paul Le Guen. L'entraîneur rhodanien mesure l'importance de cette quatrième victoire consécutive, qui maintient les siens au contact de la tête de course, mais il garde un oeil sur le rétro. "Bordeaux et Nantes ne sont pas loin", dit Le Guen, qui promet des Lyonnais décidés "à guetter le moindre faux pas " de la concurrence, et notamment de Monaco considéré comme le favori.
Signe du destin
A une force de frappe indéniable (53 buts marqués), Lyon a allié une rigueur qui donne des gages à ses ambitions. "Nous avons gommé nos errements défensifs pour être présent au bon moment. Il y a eu le coup de patte de " Johnny " mais aussi un gros bloc rigoureux. Lorsqu'on s'impose à Auxerre et à Nice, on n'a pas à user de la langue de bois: nous courons après notre titre ", précise le gardien international Grégory Coupet.
"La chance nous a souri à Nice, c'est peut-être un signe du destin. Après avoir traîné en route, nous sommes de nouveau dans le coup. C'est bien, mais nous ne voulons pas en rester là ", renchérit Vikash Dhorasoo.
Pour les Niçois, l'Europe semble en revanche s'éloigner. A la recherche d'une victoire depuis Guingamp (1-0, 25e journée), le promu qui a lorgné avec envie sur le banc des Gônes (Edmilson, Anderson, Née, Diarra, Vercoutre), devra digérer "le coup de patte de génie de Juninho".
"Ce n'est pas le moment de douter d'autant que le score de parité aurait été plus logique", assure Gernot Rohr cependant conforté dans l'objectif d'ancrer le promu dans la première moitié de tableau.
A sept étapes de l'arrivée, le trio se tient toujours dans un mouchoir de poche, un point séparant l'OL (54) de l'OM et l'ASM (55), tandis que le "GYM ", longtemps poil à gratter de l'élite, rentre dans le rang, en 8e position.
Premier champion sortant à honorer son rang depuis bien des années, Lyon a développé le dispositif parfait chez des Niçois invaincus sur leur pelouse depuis 14 journées.
"On a su bien défendre puis placer quelques bons contres pour nous imposer sur la fin sur des Niçois toujours très difficiles à manoeuvrer. C'était notre plan ", a reconnu Paul Le Guen. L'entraîneur rhodanien mesure l'importance de cette quatrième victoire consécutive, qui maintient les siens au contact de la tête de course, mais il garde un oeil sur le rétro. "Bordeaux et Nantes ne sont pas loin", dit Le Guen, qui promet des Lyonnais décidés "à guetter le moindre faux pas " de la concurrence, et notamment de Monaco considéré comme le favori.
Signe du destin
A une force de frappe indéniable (53 buts marqués), Lyon a allié une rigueur qui donne des gages à ses ambitions. "Nous avons gommé nos errements défensifs pour être présent au bon moment. Il y a eu le coup de patte de " Johnny " mais aussi un gros bloc rigoureux. Lorsqu'on s'impose à Auxerre et à Nice, on n'a pas à user de la langue de bois: nous courons après notre titre ", précise le gardien international Grégory Coupet.
"La chance nous a souri à Nice, c'est peut-être un signe du destin. Après avoir traîné en route, nous sommes de nouveau dans le coup. C'est bien, mais nous ne voulons pas en rester là ", renchérit Vikash Dhorasoo.
Pour les Niçois, l'Europe semble en revanche s'éloigner. A la recherche d'une victoire depuis Guingamp (1-0, 25e journée), le promu qui a lorgné avec envie sur le banc des Gônes (Edmilson, Anderson, Née, Diarra, Vercoutre), devra digérer "le coup de patte de génie de Juninho".
"Ce n'est pas le moment de douter d'autant que le score de parité aurait été plus logique", assure Gernot Rohr cependant conforté dans l'objectif d'ancrer le promu dans la première moitié de tableau.