Impact : une première moitié difficile
Soccer mardi, 13 juil. 2010. 10:55 vendredi, 13 déc. 2024. 12:03
L'Impact a complété la première moitié de son calendrier, samedi, en subissant un revers de 3-0 à St. Louis. Après 15 matchs, le onze montréalais n'a signé que quatre victoires.
L'heure est au bilan pour l'Impact à la mi-saison. La dernière victoire des Montréalais remonte au 12 juin et l'équipe a encaissé trois revers de suite. Malgré tout, il ne faut pas paniquer.
"Il reste encore 15 parties à jouer. Nous devrons remporter la majorité de ces rencontres, mais ce n'est pas le temps de paniquer", a indiqué le défenseur de l'Impact, Stephen De Roux.
"Tout se passe dans la tête. Quand le doute s'installe, c'est ce qui est dangereux. Il faut s'assurer que nous n'avons aucun doute", a quant à lui souligné l'entraîneur de la formation montréalaise, Marc Dos Santos.
Si l'on compare le début de la saison 2010 avec celui de l'année dernière, où l'Impact a été couronné champion, on constate que les chiffres sont presque identiques.
Voilà pourquoi il faut continuer d'y croire.
"On doit s'assurer, se rappeler, dans les moments difficiles, que nous avons été champions canadiens, que nous avons atteint les quarts de finale de la ligue des champions et que nous avons gagné le championnat l'année dernière. Tout cela doit alimenter notre confiance pour entrer sur le terrain et appliquer ce qu'on peut faire", a expliqué l'entraîneur.
Même s'ils ont alloué neuf buts au cours des derniers matchs, les membres de l'organisation croient qu'ils sont à quelques détails près de renouer avec la victoire.
"Les gars doivent réaliser qu'il faut se sacrifier pour son équipe et donne tout ce qu'on a sur le terrain. C'est de cette façon que nous pourrons renverser la vapeur", a laissé entendre DeRoux.
"En attaque, si nous pouvions concrétiser ne serait-ce que 30% de nos opportunités de marquer. Cela nous aiderait déjà", a admis Dos Santos.
Mercredi soir, au stade Saputo, l'Impact et les Railhawks de la Caroline s'affronteront pour une troisième fois cette saison. Jusqu'à présent, les Montréalais ont subi une défaite et un verdict nul, en plus de concéder quatre buts en deux rencontres.
D'après un reportage de Patrick Friolet
L'heure est au bilan pour l'Impact à la mi-saison. La dernière victoire des Montréalais remonte au 12 juin et l'équipe a encaissé trois revers de suite. Malgré tout, il ne faut pas paniquer.
"Il reste encore 15 parties à jouer. Nous devrons remporter la majorité de ces rencontres, mais ce n'est pas le temps de paniquer", a indiqué le défenseur de l'Impact, Stephen De Roux.
"Tout se passe dans la tête. Quand le doute s'installe, c'est ce qui est dangereux. Il faut s'assurer que nous n'avons aucun doute", a quant à lui souligné l'entraîneur de la formation montréalaise, Marc Dos Santos.
Si l'on compare le début de la saison 2010 avec celui de l'année dernière, où l'Impact a été couronné champion, on constate que les chiffres sont presque identiques.
Voilà pourquoi il faut continuer d'y croire.
"On doit s'assurer, se rappeler, dans les moments difficiles, que nous avons été champions canadiens, que nous avons atteint les quarts de finale de la ligue des champions et que nous avons gagné le championnat l'année dernière. Tout cela doit alimenter notre confiance pour entrer sur le terrain et appliquer ce qu'on peut faire", a expliqué l'entraîneur.
Même s'ils ont alloué neuf buts au cours des derniers matchs, les membres de l'organisation croient qu'ils sont à quelques détails près de renouer avec la victoire.
"Les gars doivent réaliser qu'il faut se sacrifier pour son équipe et donne tout ce qu'on a sur le terrain. C'est de cette façon que nous pourrons renverser la vapeur", a laissé entendre DeRoux.
"En attaque, si nous pouvions concrétiser ne serait-ce que 30% de nos opportunités de marquer. Cela nous aiderait déjà", a admis Dos Santos.
Mercredi soir, au stade Saputo, l'Impact et les Railhawks de la Caroline s'affronteront pour une troisième fois cette saison. Jusqu'à présent, les Montréalais ont subi une défaite et un verdict nul, en plus de concéder quatre buts en deux rencontres.
D'après un reportage de Patrick Friolet