Issa Hayatou croit en ses chances de déloger Sepp Blatter
Soccer mercredi, 3 avr. 2002. 16:01 mercredi, 11 déc. 2024. 16:52
TUNIS (AP) - Le Camerounais Issa Hayatou, candidat à la présidence de la FIFA, a déclaré mercredi à Tunis qu'il partait "à chances égales avec (Sepp) Blatter", le président sortant. "Si ce n'était pas le cas, je n'aurais pas présenté ma candidature", a-t-il lancé lors d'une conférence de presse clôturant une visite de deux jours en Tunisie.
L'inamovible président de la Confédération africaine de football (CAF) a confié que sa décision de se présenter avait été prise "à la demande de certains amis, pas n'importe lesquels", sans toutefois préciser qui étaient ces "amis".
"J'ai jugé que je pouvais être utile au football mondial après l'expérience que j'ai acquise en 29 ans au sein de la CAF et de la FIFA", a-t-il estimé.
L'adversaire du Suisse Joseph Blatter s'est refusé à divulguer son programme électoral qui, a-t-il assuré, sera rendu public dans trois ou quatre jours une fois son élaboration peaufinée.
Il a affirmé qu'il contenait des "idées positives", notamment le "rétablissement de l'équilibre entre les continents", particulièrement pour ce qui est de l'Asie, "ce continent de l'avenir" qu'il juge "sous-représenté".
Le prochain président de l'organisation sera élu lors du congrès de la FIFA qui se déroulera le 29 mai prochain à Séoul, à la veille de l'ouverture de la Coupe du monde de football.
Pendant ce congrès, le président de la CAF défendra aussi le principe de la co-organisation de la Coupe du monde, étant persuadé que "notre continent (l'Afrique) ne peut pas organiser une compétition d'une telle envergure au niveau d'un seul pays".
M. Hayatou a annoncé avoir eu l'assurance du soutien de la Tunisie par la bouche de son président, Zine El Abidine Ben Ali, qui l'avait reçu dans la matinée.
Avant l'étape tunisienne qu'il a qualifiée de "très importante", le président de la CAF s'était rendu dans sept autres pays africains dont le Maroc, la Côte d'Ivoire, le Nigeria et le Burkina Faso.
Il n'a pas précisé où il comptait poursuivre sa campagne.
Blatter est lui aussi en Afrique pour faire campagne.
L'inamovible président de la Confédération africaine de football (CAF) a confié que sa décision de se présenter avait été prise "à la demande de certains amis, pas n'importe lesquels", sans toutefois préciser qui étaient ces "amis".
"J'ai jugé que je pouvais être utile au football mondial après l'expérience que j'ai acquise en 29 ans au sein de la CAF et de la FIFA", a-t-il estimé.
L'adversaire du Suisse Joseph Blatter s'est refusé à divulguer son programme électoral qui, a-t-il assuré, sera rendu public dans trois ou quatre jours une fois son élaboration peaufinée.
Il a affirmé qu'il contenait des "idées positives", notamment le "rétablissement de l'équilibre entre les continents", particulièrement pour ce qui est de l'Asie, "ce continent de l'avenir" qu'il juge "sous-représenté".
Le prochain président de l'organisation sera élu lors du congrès de la FIFA qui se déroulera le 29 mai prochain à Séoul, à la veille de l'ouverture de la Coupe du monde de football.
Pendant ce congrès, le président de la CAF défendra aussi le principe de la co-organisation de la Coupe du monde, étant persuadé que "notre continent (l'Afrique) ne peut pas organiser une compétition d'une telle envergure au niveau d'un seul pays".
M. Hayatou a annoncé avoir eu l'assurance du soutien de la Tunisie par la bouche de son président, Zine El Abidine Ben Ali, qui l'avait reçu dans la matinée.
Avant l'étape tunisienne qu'il a qualifiée de "très importante", le président de la CAF s'était rendu dans sept autres pays africains dont le Maroc, la Côte d'Ivoire, le Nigeria et le Burkina Faso.
Il n'a pas précisé où il comptait poursuivre sa campagne.
Blatter est lui aussi en Afrique pour faire campagne.