"Je ne l'ai pas traité de terroriste"
Soccer lundi, 10 juil. 2006. 13:17 mercredi, 11 déc. 2024. 09:50
ROME (AFP) - Le défenseur italien Marco Materazzi, victime dimanche soir d'un violent coup de tête de la part de Zinédine Zidane, a démenti lundi à son arrivée à Rome avoir traité de terroriste le capitaine de l'équipe de France pendant la finale de la Coupe du monde.
"Ce n'est absolument pas vrai. Je ne l'ai pas traité de terroriste. Je ne sais même pas ce que cela veut dire", a-t-il affirmé aux journalistes à son retour à Rome, selon l'agence italienne Ansa.
"Ce qui s'est passé, tout le monde l'a vu en direct à la télévision", a-t-il ajouté.
Tous les médias et les supporteurs s'interrogent depuis dimanche soir pour savoir ce qu'a dit Marco Materazzi au meneur de jeu français avant que celui-ci ne lui assène un violent coup de tête en pleine poitrine, sanctionné par un carton rouge au cours de la prolongation.
Un député italien du centre-gauche, Riccardo Villari, a demandé à la ministre des Sports Giovanna Melandri d'exiger la vérité de la part du défenseur italien, après que des rumeurs aient évoqué le terme de "terroriste" pour expliquer que Zidane ait réagi si violemment.
Le père de Marco Materazzi a affirmé lundi que son fils avait d'abord été provoqué par le meneur de jeu français.
"Je dis seulement que j'ai parlé quelques secondes avec Marco au téléphone (après la rencontre)", a déclaré Giuseppe Materazzi à l'agence Ansa, ajoutant: "Il m'a dit qu'il avait subi une provocation".
"Ce n'est absolument pas vrai. Je ne l'ai pas traité de terroriste. Je ne sais même pas ce que cela veut dire", a-t-il affirmé aux journalistes à son retour à Rome, selon l'agence italienne Ansa.
"Ce qui s'est passé, tout le monde l'a vu en direct à la télévision", a-t-il ajouté.
Tous les médias et les supporteurs s'interrogent depuis dimanche soir pour savoir ce qu'a dit Marco Materazzi au meneur de jeu français avant que celui-ci ne lui assène un violent coup de tête en pleine poitrine, sanctionné par un carton rouge au cours de la prolongation.
Un député italien du centre-gauche, Riccardo Villari, a demandé à la ministre des Sports Giovanna Melandri d'exiger la vérité de la part du défenseur italien, après que des rumeurs aient évoqué le terme de "terroriste" pour expliquer que Zidane ait réagi si violemment.
Le père de Marco Materazzi a affirmé lundi que son fils avait d'abord été provoqué par le meneur de jeu français.
"Je dis seulement que j'ai parlé quelques secondes avec Marco au téléphone (après la rencontre)", a déclaré Giuseppe Materazzi à l'agence Ansa, ajoutant: "Il m'a dit qu'il avait subi une provocation".