L'Espagne attend fermement la France
Soccer vendredi, 12 oct. 2012. 16:39 mercredi, 11 déc. 2024. 06:42
MINSK - L'Espagne a écrasé le Belarus 4-0 vendredi à Minsk en match de qualifications du Mondial 2014, avec notamment un triplé de Pedro, pour revenir avec six points à la hauteur de la France, son prochain adversaire du groupe I.
Avant le duel au sommet qui opposera les champions du monde et doubles champions d'Europe aux Bleus, mardi à Vicente-Calderon à Madrid, l'Espagne a fait le plein de confiance face à un Belarus complètement dépassé.
Dans un match à sens unique, Pedro, indéniablement l'homme du match, et les siens s'en sont donné à coeur joie. Seul regret de la soirée pour les Rouges: leurs belles combinaisons seront restées inaccessibles à un public espagnol qui, en raison de la crise frappant les chaînes de télé ibériques, n'aura pu voir le match à la télé.
Côté terrain, les hommes de Del Bosque ont vécu une soirée des plus tranquilles: Busquets, aligné comme défenseur central en l'absence de Puyol et Piqué, n'a presque pas pu prendre la mesure de son nouveau poste en raison de la timidité offensive des Bélarusses.
Et devant, fidèle au schéma de jeu qu'il avait déjà abondamment utilisé lors de l'Euro 2012, Del Bosque a une nouvelle fois décidé de faire confiance à Fabregas dans un rôle de « faux neuf », se permettant même de ne faire entrer Iniesta qu'en deuxième période (55).
Mais presque tous les Espagnols ont pu jouer à un moment donné comme « faux neuf », tant ils ont eu le monopole du ballon.
Dès la 11e minute, Pedro, en grande forme en ce début de saison, prolongeait une passe de Xavi pour l'arrière gauche Alba qui dribblait le gardien belarusse Veremko et marquait du droit.
Dix minutes plus tard, Pedro s'illustrait à nouveau, cette fois dans le rôle du buteur. Superbement lancé par Silva plein axe, l'ailier du Barça piquait parfaitement son ballon devant Veremko. Dans une copie conforme de cette action, sur une offrande de Xavi cette fois-ci, « Pedrito » allait ensuite signer le 3-0 (68).
Avant de s'offrir son premier tour du chapeau en rouge après une balle perdue par un défenseur belarusse et récupérée par Fabregas (4-0, 72).
Avant le duel au sommet qui opposera les champions du monde et doubles champions d'Europe aux Bleus, mardi à Vicente-Calderon à Madrid, l'Espagne a fait le plein de confiance face à un Belarus complètement dépassé.
Dans un match à sens unique, Pedro, indéniablement l'homme du match, et les siens s'en sont donné à coeur joie. Seul regret de la soirée pour les Rouges: leurs belles combinaisons seront restées inaccessibles à un public espagnol qui, en raison de la crise frappant les chaînes de télé ibériques, n'aura pu voir le match à la télé.
Côté terrain, les hommes de Del Bosque ont vécu une soirée des plus tranquilles: Busquets, aligné comme défenseur central en l'absence de Puyol et Piqué, n'a presque pas pu prendre la mesure de son nouveau poste en raison de la timidité offensive des Bélarusses.
Et devant, fidèle au schéma de jeu qu'il avait déjà abondamment utilisé lors de l'Euro 2012, Del Bosque a une nouvelle fois décidé de faire confiance à Fabregas dans un rôle de « faux neuf », se permettant même de ne faire entrer Iniesta qu'en deuxième période (55).
Mais presque tous les Espagnols ont pu jouer à un moment donné comme « faux neuf », tant ils ont eu le monopole du ballon.
Dès la 11e minute, Pedro, en grande forme en ce début de saison, prolongeait une passe de Xavi pour l'arrière gauche Alba qui dribblait le gardien belarusse Veremko et marquait du droit.
Dix minutes plus tard, Pedro s'illustrait à nouveau, cette fois dans le rôle du buteur. Superbement lancé par Silva plein axe, l'ailier du Barça piquait parfaitement son ballon devant Veremko. Dans une copie conforme de cette action, sur une offrande de Xavi cette fois-ci, « Pedrito » allait ensuite signer le 3-0 (68).
Avant de s'offrir son premier tour du chapeau en rouge après une balle perdue par un défenseur belarusse et récupérée par Fabregas (4-0, 72).