L'Impact a le couteau entre les dents
Soccer jeudi, 16 avr. 2009. 18:06 vendredi, 13 déc. 2024. 16:39
MONTRÉAL - Voilà seulement deux mois que l'Impact de Montréal faisait l'objet d'une ovation debout de la part des 55 000 spectateurs qui s'étaient présentés au Stade olympique pour assister à une étonnante victoire de 2-0 dans le match aller des quarts de finale de la Ligue des champions de la CONCACAF.
Puis est venu le désastre, quand les joueurs montréalais ont bousillé une avance de 4-1 au total des buts dans la série dans les dernières 36 minutes de jeu du match retour, au Mexique, contre le Santos Laguna. Tout à coup, leur beau parcours à l'échelle internationale était terminé.
Ce beau, long et surprenant parcours, parsemé de hauts et de bas, a toutefois laissé les hommes de l'entraîneur John Limniatis avec une mentalité d'affamés alors qu'ils s'apprêtent à amorcer une autre saison en première division de la USL.
"On veut tout gagner cette année, a déclaré le défenseur Nevio Pizzolitto cette semaine. On veut revenir en force et prouver aux gens que ce n'était pas qu'un feu de paille."
L'Impact amorcera sa saison dans la USL ce samedi à Charleston contre le Battery, mais a aussi en tête le championnat canadien Nutrilite, l'étape qui mène à la Ligue des champions. Celui-ci recommencera en mai.
L'été dernier, le onze montréalais avait devancé le FC Toronto et les Whitecaps de Vancouver de justesse au classement du tournoi rotation pour décrocher la seule place accordée à une équipe canadienne en Ligue des champions. Il devra venir à bout des deux mêmes formations cette année.
"La motivation, c'est de reprendre là où on a laissé, surtout après avoir perdu de la façon dont on l'a fait en quarts de finale", a ajouté Pizzolitto.
Ce sera certainement plus ardu cette année, puisque l'Impact a ouvert les yeux de ses rivaux canadiens, leur montrant tout l'enthousiasme que peut générer une participation à la Ligue des champions.
Tant Toronto, qui joue dans la MLS, que Vancouver, qui est champion en titre de la USL mais accédera à la MLS en 2011, prendront cette compétition plus au sérieux cette fois.
"Ç'a donné beaucoup de visibilité au club à l'échelle internationale, a indiqué le président de l'Impact Joey Saputo. Des clubs mexicains nous ont demandé de venir jouer des matchs durant l'été.
"Des clubs européens nous ont approchés. La CONCACAF nous a ouvert bien des portes. C'est pourquoi il est important de continuer d'être compétitifs, que nous remportions le championnat canadien afin de retourner en CONCACAF pour, espère-t-on, gagner ce match qui nous a échappé."
Saputo aimerait voir l'Impact disputer deux ou trois matchs internationaux par été.
Quoi qu'il en soit, il y aura beaucoup de matchs à jouer et c'est pourquoi l'Impact a embauché 25 joueurs en vue de la campagne 2009.
"On sait après l'an dernier que pour avoir du succès, il faut avoir plusieurs bons joueurs et que plus tu connais du succès, plus tu disputeras de matchs, a noté Limniatis. On a assez de joueurs, maintenant on doit s'assurer de disputer assez de matchs.
"C'est là une motivation incroyable pour tout le monde."
Puis est venu le désastre, quand les joueurs montréalais ont bousillé une avance de 4-1 au total des buts dans la série dans les dernières 36 minutes de jeu du match retour, au Mexique, contre le Santos Laguna. Tout à coup, leur beau parcours à l'échelle internationale était terminé.
Ce beau, long et surprenant parcours, parsemé de hauts et de bas, a toutefois laissé les hommes de l'entraîneur John Limniatis avec une mentalité d'affamés alors qu'ils s'apprêtent à amorcer une autre saison en première division de la USL.
"On veut tout gagner cette année, a déclaré le défenseur Nevio Pizzolitto cette semaine. On veut revenir en force et prouver aux gens que ce n'était pas qu'un feu de paille."
L'Impact amorcera sa saison dans la USL ce samedi à Charleston contre le Battery, mais a aussi en tête le championnat canadien Nutrilite, l'étape qui mène à la Ligue des champions. Celui-ci recommencera en mai.
L'été dernier, le onze montréalais avait devancé le FC Toronto et les Whitecaps de Vancouver de justesse au classement du tournoi rotation pour décrocher la seule place accordée à une équipe canadienne en Ligue des champions. Il devra venir à bout des deux mêmes formations cette année.
"La motivation, c'est de reprendre là où on a laissé, surtout après avoir perdu de la façon dont on l'a fait en quarts de finale", a ajouté Pizzolitto.
Ce sera certainement plus ardu cette année, puisque l'Impact a ouvert les yeux de ses rivaux canadiens, leur montrant tout l'enthousiasme que peut générer une participation à la Ligue des champions.
Tant Toronto, qui joue dans la MLS, que Vancouver, qui est champion en titre de la USL mais accédera à la MLS en 2011, prendront cette compétition plus au sérieux cette fois.
"Ç'a donné beaucoup de visibilité au club à l'échelle internationale, a indiqué le président de l'Impact Joey Saputo. Des clubs mexicains nous ont demandé de venir jouer des matchs durant l'été.
"Des clubs européens nous ont approchés. La CONCACAF nous a ouvert bien des portes. C'est pourquoi il est important de continuer d'être compétitifs, que nous remportions le championnat canadien afin de retourner en CONCACAF pour, espère-t-on, gagner ce match qui nous a échappé."
Saputo aimerait voir l'Impact disputer deux ou trois matchs internationaux par été.
Quoi qu'il en soit, il y aura beaucoup de matchs à jouer et c'est pourquoi l'Impact a embauché 25 joueurs en vue de la campagne 2009.
"On sait après l'an dernier que pour avoir du succès, il faut avoir plusieurs bons joueurs et que plus tu connais du succès, plus tu disputeras de matchs, a noté Limniatis. On a assez de joueurs, maintenant on doit s'assurer de disputer assez de matchs.
"C'est là une motivation incroyable pour tout le monde."