L'Impact pourra jouer au Stade
Soccer jeudi, 8 janv. 2009. 12:58 samedi, 14 déc. 2024. 16:08
MONTREAL - L'Impact pourra disputer son match de quart de finale de la CONCACAF, un organisme sous l'égide de la Fédération internationale de soccer, le 25 février, au Stade olympique de Montréal.
La Régie des installations olympiques a annoncé que, pour la première fois depuis l'effondrement d'un panneau du toit lors du Salon de l'auto en 1999, la salle principale où se situe la surface de jeu pourra être rouverte l'hiver.
«Nous sommes très heureux du dénouement, car le Stade olympique était la seule véritable option pour que ce match soit joué à Montréal, a déclaré le vice-président exécutif de l'Impact de Montréal Richard Legendre. Je tiens à remercier la Régie des installations olympiques (RIO), le Service de sécurité incendie de Montréal et la Régie du bâtiment du Québec pour leur excellente collaboration dans ce dossier.»
L'utilisation du terrain sera cependant soumise à trois conditions, soit qu'il n'y ait aucune accumulation de neige ou de glace sur le toit; qu'il n'y ait aucune accumulation de glace sur la façade de la Tour ou les câbles de suspension; et qu'aucune précipitation de neige ne soit attendue dans les 24 heures précédant l'événement.
Depuis l'incident de 1999, le toit est doté d'un système pour fondre la neige. Il faut cependant quelques heures, lorsqu'il y a une chute de neige, pour que les conditions soient remplies.
C'est donc dire que des précipitations dans les heures précédant le match ou prévues durant celui-ci obligerait un report, mais le match pourrait tout de même avoir lieu dans les jours suivants.
«Nous sommes très confiants que le match aura lieu le 25 février parce que les statistiques démontrent que les conditions établies ont été respectées 90% du temps», a noté Richard Legendre.
Si jamais le match devait être reporté, la rencontre serait jouée le lendemain, 26 février, à la même heure.
L'Impact s'est fixé un objectif de 30 000 billets vendus pour ce match historique.
«Bien que ce soit un match très spécial, nous voulions que les billets demeurent accessibles à nos partisans et que nos détenteurs de billets de saison soient privilégiés, a ajouté Richard Legendre. Les amateurs de soccer pourront assister à un match historique, joué dans un contexte très particulier, et ce pour peu de frais.»
Depuis 1999, la salle principale du Stade est fermée du 1er décembre au 31 mars, bien que des événements et expositions de toute sorte ont lieu régulièrement dans les nombreux autres espaces de l'imposante structure.
En 2007, la RIO a conclu une entente à l'amiable avec le constructeur du toit, la firme Birdair, qui lui a permis de devenir propriétaire du toit en question après des années de litige. Cette propriété lui donne désormais une plus grande liberté d'action relativement à l'utilisation de la salle principale.
La décision a cependant été prise non pas par la Régie mais bien par le Service de sécurité incendie de Montréal et la Régie du bâtiment du Québec, qui forment un comité conjoint ayant le dernier mot en la matière.
La directrice des communications de la RIO, Sylvie Bastien, reconnaît toutefois que ce sont les pressions de l'Impact qui ont fait avancer les choses. La tenue du match au Stade n'est par ailleurs pas garantie pour autant puisque l'équipe devra accepter ces conditions et conclure une entente avec la Régie pour l'utilisation des installations.
L'Impact bénéficierait alors d'un théâtre pouvant accueillir plus de 55 000 spectateurs, doté de concessions et de toutes les infrastructures requises.
La Régie des installations olympiques a annoncé que, pour la première fois depuis l'effondrement d'un panneau du toit lors du Salon de l'auto en 1999, la salle principale où se situe la surface de jeu pourra être rouverte l'hiver.
«Nous sommes très heureux du dénouement, car le Stade olympique était la seule véritable option pour que ce match soit joué à Montréal, a déclaré le vice-président exécutif de l'Impact de Montréal Richard Legendre. Je tiens à remercier la Régie des installations olympiques (RIO), le Service de sécurité incendie de Montréal et la Régie du bâtiment du Québec pour leur excellente collaboration dans ce dossier.»
L'utilisation du terrain sera cependant soumise à trois conditions, soit qu'il n'y ait aucune accumulation de neige ou de glace sur le toit; qu'il n'y ait aucune accumulation de glace sur la façade de la Tour ou les câbles de suspension; et qu'aucune précipitation de neige ne soit attendue dans les 24 heures précédant l'événement.
Depuis l'incident de 1999, le toit est doté d'un système pour fondre la neige. Il faut cependant quelques heures, lorsqu'il y a une chute de neige, pour que les conditions soient remplies.
C'est donc dire que des précipitations dans les heures précédant le match ou prévues durant celui-ci obligerait un report, mais le match pourrait tout de même avoir lieu dans les jours suivants.
«Nous sommes très confiants que le match aura lieu le 25 février parce que les statistiques démontrent que les conditions établies ont été respectées 90% du temps», a noté Richard Legendre.
Si jamais le match devait être reporté, la rencontre serait jouée le lendemain, 26 février, à la même heure.
L'Impact s'est fixé un objectif de 30 000 billets vendus pour ce match historique.
«Bien que ce soit un match très spécial, nous voulions que les billets demeurent accessibles à nos partisans et que nos détenteurs de billets de saison soient privilégiés, a ajouté Richard Legendre. Les amateurs de soccer pourront assister à un match historique, joué dans un contexte très particulier, et ce pour peu de frais.»
Depuis 1999, la salle principale du Stade est fermée du 1er décembre au 31 mars, bien que des événements et expositions de toute sorte ont lieu régulièrement dans les nombreux autres espaces de l'imposante structure.
En 2007, la RIO a conclu une entente à l'amiable avec le constructeur du toit, la firme Birdair, qui lui a permis de devenir propriétaire du toit en question après des années de litige. Cette propriété lui donne désormais une plus grande liberté d'action relativement à l'utilisation de la salle principale.
La décision a cependant été prise non pas par la Régie mais bien par le Service de sécurité incendie de Montréal et la Régie du bâtiment du Québec, qui forment un comité conjoint ayant le dernier mot en la matière.
La directrice des communications de la RIO, Sylvie Bastien, reconnaît toutefois que ce sont les pressions de l'Impact qui ont fait avancer les choses. La tenue du match au Stade n'est par ailleurs pas garantie pour autant puisque l'équipe devra accepter ces conditions et conclure une entente avec la Régie pour l'utilisation des installations.
L'Impact bénéficierait alors d'un théâtre pouvant accueillir plus de 55 000 spectateurs, doté de concessions et de toutes les infrastructures requises.