L'Inter doit se contenter d'un nul
Soccer mardi, 24 févr. 2009. 16:50 jeudi, 12 déc. 2024. 23:45
MILAN - L'Inter, longtemps tétanisée par l'enjeu, n'est pas parvenue à faire mieux que 0 à 0 face à Manchester United mardi à Milan, permettant au solide tenant de la Ligue des champions d'être en ballottage favorable avant le huitième de finale retour.
L'équipe milanaise, qui rêve tant de briller en Europe, a été méconnaissable tout le long des 45 premières minutes, laissant MU s'installer et prendre le match en mains. En seconde période, elle s'est enhardie, mais pas suffisamment pour faire vaciller son adversaire.
Manchester, de son côté, a préservé l'essentiel. Les Red Devils peuvent cependant regretter de ne pas avoir mieux exploité leur nette domination en première période : un but, le fameux "but à l'extérieur", aurait singulièrement augmenté leurs chances de qualification à Old Trafford dans deux semaines.
En première période, l'équipe triple championne d'Italie en titre, qui survole cette saison encore la Serie A, n'allait rien proposer de bon, multipliant maladresses et approximations, à l'image de l'attaquant suédois Ibrahimovic, tant attendu mais jamais dangereux.
En fait, le seul Milanais à se mettre rapidement en évidence fut le gardien Julio Cesar. Manchester, qui ne s'attendait sans doute pas à un adversaire aussi crispé, avait en effet tranquillement pris les commandes et s'offrait les meilleures occasions.
Julio Cesar inspiré
Cristiano Ronaldo, de la tête (5) puis sur coup franc (28), permettait ainsi au gardien de se mettre en évidence avec deux arrêts réflexes. Entre temps, le Brésilien avait également été décisif sur un tir de Giggs, qui préférait frapper dans un angle fermé plutôt que de centrer après avoir échappé à la vigilance de Rivas (26).
En deuxième période, les Nerazzurri, plus volontaires, parvenaient enfin à se libérer, mais sans toutefois véritablement inquiéter MU, à l'image d'une frappe d'Adriano qui passait au-dessus à la suite d'un centre de Cambiasso (48).
Et ce sont même les Anglais qui, en contre, demeuraient les plus dangereux via Ronaldo, auteur d'un parfait centre tendu qui ne trouvait cependant pas preneur (67), puis Berbatov, échappé seul mais qui échouait sur un Julio Cesar vraiment inspiré jusqu'au bout (89).
L'équipe milanaise, qui rêve tant de briller en Europe, a été méconnaissable tout le long des 45 premières minutes, laissant MU s'installer et prendre le match en mains. En seconde période, elle s'est enhardie, mais pas suffisamment pour faire vaciller son adversaire.
Manchester, de son côté, a préservé l'essentiel. Les Red Devils peuvent cependant regretter de ne pas avoir mieux exploité leur nette domination en première période : un but, le fameux "but à l'extérieur", aurait singulièrement augmenté leurs chances de qualification à Old Trafford dans deux semaines.
En première période, l'équipe triple championne d'Italie en titre, qui survole cette saison encore la Serie A, n'allait rien proposer de bon, multipliant maladresses et approximations, à l'image de l'attaquant suédois Ibrahimovic, tant attendu mais jamais dangereux.
En fait, le seul Milanais à se mettre rapidement en évidence fut le gardien Julio Cesar. Manchester, qui ne s'attendait sans doute pas à un adversaire aussi crispé, avait en effet tranquillement pris les commandes et s'offrait les meilleures occasions.
Julio Cesar inspiré
Cristiano Ronaldo, de la tête (5) puis sur coup franc (28), permettait ainsi au gardien de se mettre en évidence avec deux arrêts réflexes. Entre temps, le Brésilien avait également été décisif sur un tir de Giggs, qui préférait frapper dans un angle fermé plutôt que de centrer après avoir échappé à la vigilance de Rivas (26).
En deuxième période, les Nerazzurri, plus volontaires, parvenaient enfin à se libérer, mais sans toutefois véritablement inquiéter MU, à l'image d'une frappe d'Adriano qui passait au-dessus à la suite d'un centre de Cambiasso (48).
Et ce sont même les Anglais qui, en contre, demeuraient les plus dangereux via Ronaldo, auteur d'un parfait centre tendu qui ne trouvait cependant pas preneur (67), puis Berbatov, échappé seul mais qui échouait sur un Julio Cesar vraiment inspiré jusqu'au bout (89).