L'Italie compte se relever
Soccer mercredi, 11 juin 2008. 14:27 samedi, 14 déc. 2024. 04:07
BADEN, Autriche - Deux jours après leur humiliante défaite de 3-0 face aux Pays-Bas pour leur premier match de l'Euro 2008, les Italiens ne sont pas démobilisés et entendent le prouver vendredi face à la Roumanie.
"Ce qui est certain, c'est que nous sommes plus unis qu'avant - et encore plus en colère", a résumé mercredi l'attaquant du Bayern Munich Luca Toni lors d'une conférence de presse au centre d'entraînement de la Squadra Azzurra à Baden, en Autriche. "Ce serait tragique si on s'effondrait après une défaite, quand on considère ce que ce groupe a accompli."
Torpillée 3-0 par les Néerlandais à Berne, l'Italie a connu lundi soir sa pire défaite depuis près de 40 ans dans un grand tournoi. Il faut remonter à la finale de la Coupe du monde 1970, et la défaite 4-1 face au Brésil de Pelé, pour trouver trace d'un match perdu par trois buts d'écart.
Après ce départ manqué, les joueurs de Roberto Donadoni ont fait le point entre eux pour laisser derrière eux la correction infligée par les Pays-Bas.
"On n'a pas eu besoin de beaucoup se parler. On s'est juste regardés dans le vestiaire après le match et on s'est rendu compte de ce qui n'avait pas marché, a expliqué Luca Toni. C'est un groupe qui est allé se qualifier en Ecosse. Nous avons toujours confiance en nos capacités et maintenant on doit le montrer".
Dans le groupe C de la compétition, l'Italie affrontera vendredi la Roumanie, avant de défier quatre jours plus tard la France pour une nouvelle revanche de la finale de la Coupe du monde 2006 remportée par les Italiens aux tirs au but. En cas de défaite vendredi, les champions du monde en titre seront éliminés de la compétition.
"Il faut juste qu'on marque des buts et qu'on n'en prenne pas, et tout ira bien, a affirmé Luca Toni. Notre seul médicament, c'est de gagner."
"Ce qui est certain, c'est que nous sommes plus unis qu'avant - et encore plus en colère", a résumé mercredi l'attaquant du Bayern Munich Luca Toni lors d'une conférence de presse au centre d'entraînement de la Squadra Azzurra à Baden, en Autriche. "Ce serait tragique si on s'effondrait après une défaite, quand on considère ce que ce groupe a accompli."
Torpillée 3-0 par les Néerlandais à Berne, l'Italie a connu lundi soir sa pire défaite depuis près de 40 ans dans un grand tournoi. Il faut remonter à la finale de la Coupe du monde 1970, et la défaite 4-1 face au Brésil de Pelé, pour trouver trace d'un match perdu par trois buts d'écart.
Après ce départ manqué, les joueurs de Roberto Donadoni ont fait le point entre eux pour laisser derrière eux la correction infligée par les Pays-Bas.
"On n'a pas eu besoin de beaucoup se parler. On s'est juste regardés dans le vestiaire après le match et on s'est rendu compte de ce qui n'avait pas marché, a expliqué Luca Toni. C'est un groupe qui est allé se qualifier en Ecosse. Nous avons toujours confiance en nos capacités et maintenant on doit le montrer".
Dans le groupe C de la compétition, l'Italie affrontera vendredi la Roumanie, avant de défier quatre jours plus tard la France pour une nouvelle revanche de la finale de la Coupe du monde 2006 remportée par les Italiens aux tirs au but. En cas de défaite vendredi, les champions du monde en titre seront éliminés de la compétition.
"Il faut juste qu'on marque des buts et qu'on n'en prenne pas, et tout ira bien, a affirmé Luca Toni. Notre seul médicament, c'est de gagner."