L'Italie profite d'un peu d'aide
Soccer samedi, 5 sept. 2009. 16:38 samedi, 14 déc. 2024. 08:42
ROME - L'Italie, championne du monde en titre, a souffert face à une remuante Géorgie mais est finalement parvenue à l'emporter 2-0 grâce à deux buts contre son camp du capitaine Kaladze samedi à Tbilissi, confortant sa place en tête du groupe 8 des qualifications au Mondial 2010.
Désormais, en cas de victoire face à la Bulgarie, troisième de la poule, mercredi à Turin, la Nazionale aura pratiquement son billet en poche pour l'Afrique du Sud, rendant moins brûlant le déplacement programmé le 10 octobre à Dublin pour affronter l'Eire, deuxième.
Un peu moins d'un mois après un match amical de reprise décevant face à la Suisse (0-0), l'Italie n'a guère brillé, notamment en attaque où si elle a trouvé le chemin des filets, elle le doit bien plus à la maladresse de Kaladze qu'à la réussite de ses attaquants.
Le capitaine géorgien et défenseur de l'AC Milan, à chaque fois sous la pression de Iaquinta, a en effet marqué contre son camp à deux reprises, d'abord de la tête sur un centre apparemment sans grand danger du milieu Palombo (57) puis sur une reprise du droit à la suite d'un centre à ras de terre du latéral gauche Criscito (67).
Deux buts qui ont fait grand bien aux Azzurri, qui assurent donc l'essentiel en s'imposant, car au début de la seconde période, ils commençaient à être franchement ballottés par des Géorgiens très remuants avant que le doublé de leur capitaine ne leur coupe les jambes.
Désormais, en cas de victoire face à la Bulgarie, troisième de la poule, mercredi à Turin, la Nazionale aura pratiquement son billet en poche pour l'Afrique du Sud, rendant moins brûlant le déplacement programmé le 10 octobre à Dublin pour affronter l'Eire, deuxième.
Un peu moins d'un mois après un match amical de reprise décevant face à la Suisse (0-0), l'Italie n'a guère brillé, notamment en attaque où si elle a trouvé le chemin des filets, elle le doit bien plus à la maladresse de Kaladze qu'à la réussite de ses attaquants.
Le capitaine géorgien et défenseur de l'AC Milan, à chaque fois sous la pression de Iaquinta, a en effet marqué contre son camp à deux reprises, d'abord de la tête sur un centre apparemment sans grand danger du milieu Palombo (57) puis sur une reprise du droit à la suite d'un centre à ras de terre du latéral gauche Criscito (67).
Deux buts qui ont fait grand bien aux Azzurri, qui assurent donc l'essentiel en s'imposant, car au début de la seconde période, ils commençaient à être franchement ballottés par des Géorgiens très remuants avant que le doublé de leur capitaine ne leur coupe les jambes.