L'Italie se fait plaisir
Soccer vendredi, 30 mai 2008. 17:10 mercredi, 11 déc. 2024. 16:36
FLORENCE, Italie - L'Italie, qui n'a prévu qu'une seule rencontre de préparation à l'Euro-2008, s'est fait plaisir en battant 3 à 1 la Belgique vendredi à Florence (centre-ouest), au terme d'un match où elle s'est tout à la fois montrée sérieuse et enthousiaste.
Après six jours de stage, les Italiens, devant une assistance très limitée (12 500 spectateurs seulement), se sont mis dans les meilleures dispositions avant leur premier match de l'Euro, programmé dans 10 jours contre les Pays-Bas à Berne.
Certes, la Belgique, trop faible, a donné une réplique vraiment légère, et, à n'en pas douter, incomparable avec celles que trouveront les Azzurri en Suisse et en Autriche. Mais un succès, qui plus lorsqu'il est de cette ampleur, est toujours bon à prendre.
Naturellement, le sélectionneur Roberto Donadoni n'a que des enseignements positifs à tirer, avec une formation qui a joué sérieusement, ne relâchant pratiquement jamais son attention, et constamment portée vers l'avant.
Ainsi, sur son côté gauche, le très remuant Di Natale - un des rares non champions du monde à s'être imposé titulaire - a inscrit un doublé en première période. Deux frappes qui ont fait mouche : la première sur un centre de Pirlo après que celui-ci a régalé le public d'un joli crochet sur un défenseur (9), la seconde à la suite d'une ouverture d'Aquilani dans l'axe (42).
Ensuite, le "vétéran" Del Piero, qui a remplacé Di Natale dès le début de la deuxième période, a montré qu'il avait du "jus", et a notamment été à l'origine du 3e but, décalant astucieusement Camoranesi côté droit de la surface, son coéquipier de la Juve se chargeant ensuite de marquer d'un tir croisé (49).
Le score aurait même pu être plus lourd si Toni avait un tout petit peu mieux cadré sa tête (45) ou si Borriello, son remplaçant, n'avait pas loupé sa frappe alors qu'il était devant le but vide à la suite d'un centre de Zambrotta (82).
Côté défensif, Buffon a quant à lui passé une soirée tranquille malgré le but de Sonck en toute en fin de match (90+2), bien couvert aussi par l'axe Cannavaro-Barzagli (puis Chiellini-Barzagli en seconde période).
Laissés libres dès la fin du match, les Italiens doivent se retrouver dimanche soir à Milan avant de s'envoler vers leur camp de base de Baden (sud de Vienne) le lendemain matin.
Après six jours de stage, les Italiens, devant une assistance très limitée (12 500 spectateurs seulement), se sont mis dans les meilleures dispositions avant leur premier match de l'Euro, programmé dans 10 jours contre les Pays-Bas à Berne.
Certes, la Belgique, trop faible, a donné une réplique vraiment légère, et, à n'en pas douter, incomparable avec celles que trouveront les Azzurri en Suisse et en Autriche. Mais un succès, qui plus lorsqu'il est de cette ampleur, est toujours bon à prendre.
Naturellement, le sélectionneur Roberto Donadoni n'a que des enseignements positifs à tirer, avec une formation qui a joué sérieusement, ne relâchant pratiquement jamais son attention, et constamment portée vers l'avant.
Ainsi, sur son côté gauche, le très remuant Di Natale - un des rares non champions du monde à s'être imposé titulaire - a inscrit un doublé en première période. Deux frappes qui ont fait mouche : la première sur un centre de Pirlo après que celui-ci a régalé le public d'un joli crochet sur un défenseur (9), la seconde à la suite d'une ouverture d'Aquilani dans l'axe (42).
Ensuite, le "vétéran" Del Piero, qui a remplacé Di Natale dès le début de la deuxième période, a montré qu'il avait du "jus", et a notamment été à l'origine du 3e but, décalant astucieusement Camoranesi côté droit de la surface, son coéquipier de la Juve se chargeant ensuite de marquer d'un tir croisé (49).
Le score aurait même pu être plus lourd si Toni avait un tout petit peu mieux cadré sa tête (45) ou si Borriello, son remplaçant, n'avait pas loupé sa frappe alors qu'il était devant le but vide à la suite d'un centre de Zambrotta (82).
Côté défensif, Buffon a quant à lui passé une soirée tranquille malgré le but de Sonck en toute en fin de match (90+2), bien couvert aussi par l'axe Cannavaro-Barzagli (puis Chiellini-Barzagli en seconde période).
Laissés libres dès la fin du match, les Italiens doivent se retrouver dimanche soir à Milan avant de s'envoler vers leur camp de base de Baden (sud de Vienne) le lendemain matin.