La Fifa refuse toujours l'arbitrage vidéo
Soccer lundi, 19 juin 2006. 11:17 samedi, 14 déc. 2024. 18:56
BERLIN (AFP) - La Fédération internationale de football (Fifa) a répété lundi son opposition à l'arbitrage vidéo après un but non validé dimanche de la France contre la Corée du sud en match du groupe G du Mondial-2006.
"Pour l'arbitrage vidéo, c'est très clair, c'est non", a affirmé le directeur de la communication de la Fifa, Markus Siegler, lors de son point-presse quotidien.
Pour évaluer si un ballon a franchi la ligne, la Fifa reste cependant ouverte à la réflexion. Elle a notamment testé un ballon équipé d'une puce électronique lors du Mondial-2005 des moins de 17 ans au Pérou, mais n'a pas donné suite car la puce n'avait pas donné entière satisfaction.
"Le test n'a pas été concluant à 100%, même si les résultats étaient très positifs, a-t-il expliqué. La Fifa a décidé qu'il était trop tôt pour l'utiliser".
Une seconde expérimentation, prévue lors du Championnat du monde des clubs au Japon en décembre 2005, avait été annulée pour des raisons techniques.
Par ailleurs, "la fédération italienne a proposé au Board (instance qui régit les lois du jeu) un système de caméra qui pourrait déterminer si le ballon est entré dans le but", a précisé Markus Siegler, soulignant que "la fifa est très ouverte est disposée à tester les nouveaux dispositifs techniques".
Le sélectionneur français Raymond Domenech avait regretté l'absence d'arbitrage vidéo dans le soccer, évoquant le ballon français entré dans le but sud-coréen et ressorti par le gardien sans que l'arbitre n'accorde le but.
Pour lui, ce but refusé à la 32e minute a été "un tournant du match", qui s'est terminé sur un score de parité (1-1).
En début de Mondial, un but de l'Argentine contre la Côte d'Ivoire (2-1) n'avait pas été validé dans les mêmes conditions, le gardien ivoirien Tizié ayant repoussé le ballon derrière sa ligne.
"Pour l'arbitrage vidéo, c'est très clair, c'est non", a affirmé le directeur de la communication de la Fifa, Markus Siegler, lors de son point-presse quotidien.
Pour évaluer si un ballon a franchi la ligne, la Fifa reste cependant ouverte à la réflexion. Elle a notamment testé un ballon équipé d'une puce électronique lors du Mondial-2005 des moins de 17 ans au Pérou, mais n'a pas donné suite car la puce n'avait pas donné entière satisfaction.
"Le test n'a pas été concluant à 100%, même si les résultats étaient très positifs, a-t-il expliqué. La Fifa a décidé qu'il était trop tôt pour l'utiliser".
Une seconde expérimentation, prévue lors du Championnat du monde des clubs au Japon en décembre 2005, avait été annulée pour des raisons techniques.
Par ailleurs, "la fédération italienne a proposé au Board (instance qui régit les lois du jeu) un système de caméra qui pourrait déterminer si le ballon est entré dans le but", a précisé Markus Siegler, soulignant que "la fifa est très ouverte est disposée à tester les nouveaux dispositifs techniques".
Le sélectionneur français Raymond Domenech avait regretté l'absence d'arbitrage vidéo dans le soccer, évoquant le ballon français entré dans le but sud-coréen et ressorti par le gardien sans que l'arbitre n'accorde le but.
Pour lui, ce but refusé à la 32e minute a été "un tournant du match", qui s'est terminé sur un score de parité (1-1).
En début de Mondial, un but de l'Argentine contre la Côte d'Ivoire (2-1) n'avait pas été validé dans les mêmes conditions, le gardien ivoirien Tizié ayant repoussé le ballon derrière sa ligne.