La France... facile contre la Géorgie
Soccer samedi, 2 sept. 2006. 14:32 jeudi, 12 déc. 2024. 22:34
TBILISSI (AFP) - La France, forte d'une confiance retrouvée et d'un Ribéry double passeur décisif, n'a fait qu'une bouchée de la Géorgie (3-0) samedi à Tbilissi, simple antipasti avant la revanche tant attendue mercredi face à l'Italie, en qualification pour l'Euro-2008 de football.
Le 4-4-2 des "Mondialistes" (hormis Coupet et Saha, les neuf autres étaient titulaires en Allemagne) a imposé sa taille patron, donnant surtout une leçon d'organisation et d'efficacité (2 buts sur les 2 premiers tirs cadrés) aux Géorgiens en première période.
Les Français ont ensuite naturellement baissé le pied en seconde période, laissant l'initiative - parfois un peu trop d'ailleurs - à leurs opposants.
Mais le piège de Tbilissi - 60.000 fans géorgiens survoltés, un temps lourd et orageux, une pelouse en piteux état, un adversaire modeste mais plein d'envie - ne s'est en tout cas pas refermé sur les vice-champions du monde.
Voilà qui est de bonne augure pour les Bleus avant d'affronter la Squadra Azzurra au Stade de France, pour tenter de refermer la cicatrice de la finale perdue (1-1, 5 t.a.b. à 3).
Sa majesté Zidane n'est plus là, mais ses vassaux ont gardé l'esprit du maître. Vieira a retrouvé son niveau du Mondial, véritable plaque tournante du jeu, et "FerraRibéry" a justifié son surnom en saupoudrant ses percées de passes décisives pour Saha (7) et Malouda (16).
Les Géorgiens ont quelques qualités techniques, mais ont été coupables de relâchements lourds de conséquence: une grosse faute de main du gardien Chanturia sur le but de Saha, et un but-gag contre son camp de Asatiani (3-0, 46) sur une balle de Sagnol...
Leur domination en fin de rencontre, acceptée par les Bleus, n'a pas été récompensée par manque de précision dans le dernier geste. Le malchanceux Demetradze trouvait même la barre (86).
Le 4-4-2 des "Mondialistes" (hormis Coupet et Saha, les neuf autres étaient titulaires en Allemagne) a imposé sa taille patron, donnant surtout une leçon d'organisation et d'efficacité (2 buts sur les 2 premiers tirs cadrés) aux Géorgiens en première période.
Les Français ont ensuite naturellement baissé le pied en seconde période, laissant l'initiative - parfois un peu trop d'ailleurs - à leurs opposants.
Mais le piège de Tbilissi - 60.000 fans géorgiens survoltés, un temps lourd et orageux, une pelouse en piteux état, un adversaire modeste mais plein d'envie - ne s'est en tout cas pas refermé sur les vice-champions du monde.
Voilà qui est de bonne augure pour les Bleus avant d'affronter la Squadra Azzurra au Stade de France, pour tenter de refermer la cicatrice de la finale perdue (1-1, 5 t.a.b. à 3).
Sa majesté Zidane n'est plus là, mais ses vassaux ont gardé l'esprit du maître. Vieira a retrouvé son niveau du Mondial, véritable plaque tournante du jeu, et "FerraRibéry" a justifié son surnom en saupoudrant ses percées de passes décisives pour Saha (7) et Malouda (16).
Les Géorgiens ont quelques qualités techniques, mais ont été coupables de relâchements lourds de conséquence: une grosse faute de main du gardien Chanturia sur le but de Saha, et un but-gag contre son camp de Asatiani (3-0, 46) sur une balle de Sagnol...
Leur domination en fin de rencontre, acceptée par les Bleus, n'a pas été récompensée par manque de précision dans le dernier geste. Le malchanceux Demetradze trouvait même la barre (86).
