La presse félicite joueurs et supporteurs
Soccer mardi, 2 juil. 2002. 14:43 vendredi, 13 déc. 2024. 18:29
TOKYO (AFP) - Les journaux japonais ont félicité lundi les joueurs et les supporteurs du monde entier pour avoir transformé en "succès" la Coupe du monde 2002 de soccer, qui était le premier Mondial jamais organisé en Asie et le premier co-organisé par deux pays: la Corée du Sud et le Japon.
"Cela a été vraiment très amusant", a commenté le premier quotidien par le tirage Yomiuri Shimbun dans un éditorial. "La Coupe du monde au Japon et en Corée du Sud nous a montré à quel point le soccer est adoré par les gens dans le monde entier", a indiqué le Yomiuri.
"Cette Coupe du monde a permis de réduire les différences entre les pays, non seulement en terme d'attitude des supporteurs mais aussi du point de vue de la compétence des équipes", a estimé encore le Yomiuri.
Un autre quotidien à grand tirage le Mainichi Shimbun a espéré que le Mondial aura contribué à resserrer les liens entre les ennemis d'hier la Corée du Sud et le Japon, qui avait occupé la péninsule coréenne de 1910 à 1945.
"Pour la première fois, le Japon et la Corée du Sud ont joint les mains vers un but commun", a indiqué le Mainichi dans un éditorial.
"Des souvenirs communs"
Le quotidien économique Nihon Keizai a fait le même voeu. "D'une manière générale, le Mondial a été un succès. En outre, il a permis de créer des souvenirs communs au Japon et à la Corée du Sud", a-t-il souligné.
"En co-organisant la Coupe du monde, nous pouvons dire que nous avons comblé en partie les différences entre le Japon et la Corée du Sud", a estimé le quotidien des milieux d'affaires.
Cependant, les journaux ont estimé que la Coupe du monde avait été un peu ternie par les problèmes de billetterie qui se sont traduits par des milliers de places vides alors que des centaines de supporteurs cherchaient désespérément des billets.
Alors que le Japon a rendu responsable la Fédération internationale de soccer (FIFA) pour avoir mal géré cette question, des responsables de la FIFA ont désigné les comités organisateurs japonais JAWOC et coréen KOWOC comme les coupables.
"C'est une caractéristique répugnante de la FIFA" que d'accuser les autres, a estimé le Yomiuri. Le quotidien libéral Asahi Shimbun a invité la Fédération internationale à faire une enquête approfondie sur le problème des billets.
Mais d'une manière générale, les louanges et expressions de satisfaction dépassaient en nombre les plaintes ou critiques en conclusion du mois de Coupe du monde.
"La Coupe du monde nous a fourni une expérience extraordinaire dont nous devrons faire le meilleur usage dans notre vie quotidienne", a conclu le Mainichi.
"Cela a été vraiment très amusant", a commenté le premier quotidien par le tirage Yomiuri Shimbun dans un éditorial. "La Coupe du monde au Japon et en Corée du Sud nous a montré à quel point le soccer est adoré par les gens dans le monde entier", a indiqué le Yomiuri.
"Cette Coupe du monde a permis de réduire les différences entre les pays, non seulement en terme d'attitude des supporteurs mais aussi du point de vue de la compétence des équipes", a estimé encore le Yomiuri.
Un autre quotidien à grand tirage le Mainichi Shimbun a espéré que le Mondial aura contribué à resserrer les liens entre les ennemis d'hier la Corée du Sud et le Japon, qui avait occupé la péninsule coréenne de 1910 à 1945.
"Pour la première fois, le Japon et la Corée du Sud ont joint les mains vers un but commun", a indiqué le Mainichi dans un éditorial.
"Des souvenirs communs"
Le quotidien économique Nihon Keizai a fait le même voeu. "D'une manière générale, le Mondial a été un succès. En outre, il a permis de créer des souvenirs communs au Japon et à la Corée du Sud", a-t-il souligné.
"En co-organisant la Coupe du monde, nous pouvons dire que nous avons comblé en partie les différences entre le Japon et la Corée du Sud", a estimé le quotidien des milieux d'affaires.
Cependant, les journaux ont estimé que la Coupe du monde avait été un peu ternie par les problèmes de billetterie qui se sont traduits par des milliers de places vides alors que des centaines de supporteurs cherchaient désespérément des billets.
Alors que le Japon a rendu responsable la Fédération internationale de soccer (FIFA) pour avoir mal géré cette question, des responsables de la FIFA ont désigné les comités organisateurs japonais JAWOC et coréen KOWOC comme les coupables.
"C'est une caractéristique répugnante de la FIFA" que d'accuser les autres, a estimé le Yomiuri. Le quotidien libéral Asahi Shimbun a invité la Fédération internationale à faire une enquête approfondie sur le problème des billets.
Mais d'une manière générale, les louanges et expressions de satisfaction dépassaient en nombre les plaintes ou critiques en conclusion du mois de Coupe du monde.
"La Coupe du monde nous a fourni une expérience extraordinaire dont nous devrons faire le meilleur usage dans notre vie quotidienne", a conclu le Mainichi.