La presse italienne très sévère
Soccer mardi, 10 juin 2008. 10:26 mercredi, 11 déc. 2024. 15:40
ROME - La presse italienne se montre très sévère mardi envers le sélectionneur Roberto Donadoni, contestant ses options tactiques, au lendemain de la déroute de la Squadra Azzurra contre les Pays-Bas 3-O à Berne, en match comptant pour le groupe C de l'Euro-2008.
Donadoni "a fait de mauvais choix et tardé à faire des changements. Il s'est pris pour un champion du monde", commente ironiquement il Giornale, propriété de la famille Berlusconi.
"Le plongeon de l'Italie", titre le Corriere della Sera, principal tirage du pays. "En une seule partie, nous avons pris plus de buts que pendant tout le Mondial" de 2006, déplore le quotidien en affirmant: "Une chose est claire: nous n'avons jamais réussi à être une équipe."
"Nous sommes vraiment tombés de notre nuage. Dynamisme, mordant, solidité: tout était du côté néerlandais", écrit dans son éditorial la Gazzetta dello sport. "Nous avons inventé la contre-attaque et, maintenant, nous la subissons. Pas seulement une fois, mais à répétition", assure le journal.
"Le deuxième but néerlandais est tout droit issu du manuel italien de la contre-attaque", ajoute le quotidien spécialisé.
"Humiliés par les Pays-Bas", écrit en Une le quotidien La Repubblica.
"Pendant toute la première période, les Pays-Bas ont fait ce qu'ils voulaient, démontrant une condition physique bien meilleure et, surtout, ils avaient les idées beaucoup plus claires sur la façon dont il fallait bloquer notre jeu", estime le quotidien italien, pour qui il est "difficile d'épargner qui que ce soit, mis à part Gianluigi Buffon", le capitaine et gardien de but.
Les excuses du capitaine italien sont reprises par toute la presse transalpine. "Je demande pardon à tous les supporteurs, nous avons joué la pire partie depuis que je suis en sélection", a-t-il dit.
Donadoni "a fait de mauvais choix et tardé à faire des changements. Il s'est pris pour un champion du monde", commente ironiquement il Giornale, propriété de la famille Berlusconi.
"Le plongeon de l'Italie", titre le Corriere della Sera, principal tirage du pays. "En une seule partie, nous avons pris plus de buts que pendant tout le Mondial" de 2006, déplore le quotidien en affirmant: "Une chose est claire: nous n'avons jamais réussi à être une équipe."
"Nous sommes vraiment tombés de notre nuage. Dynamisme, mordant, solidité: tout était du côté néerlandais", écrit dans son éditorial la Gazzetta dello sport. "Nous avons inventé la contre-attaque et, maintenant, nous la subissons. Pas seulement une fois, mais à répétition", assure le journal.
"Le deuxième but néerlandais est tout droit issu du manuel italien de la contre-attaque", ajoute le quotidien spécialisé.
"Humiliés par les Pays-Bas", écrit en Une le quotidien La Repubblica.
"Pendant toute la première période, les Pays-Bas ont fait ce qu'ils voulaient, démontrant une condition physique bien meilleure et, surtout, ils avaient les idées beaucoup plus claires sur la façon dont il fallait bloquer notre jeu", estime le quotidien italien, pour qui il est "difficile d'épargner qui que ce soit, mis à part Gianluigi Buffon", le capitaine et gardien de but.
Les excuses du capitaine italien sont reprises par toute la presse transalpine. "Je demande pardon à tous les supporteurs, nous avons joué la pire partie depuis que je suis en sélection", a-t-il dit.