Le baume allemand, une troisième place
Soccer samedi, 10 juil. 2010. 14:55 mercredi, 11 déc. 2024. 05:59
Sami Khedira a choisi le bon moment pour marquer son premier but international. Le milieu de terrain a brisé l'égalité à la 82e minute de jeu grâce à un coup de tête pour conduire l'Allemagne à une victoire de 3-2 aux dépens de l'Uruguay, samedi, dans la petite finale de la Coupe du monde.
Comme il y a quatre ans chez elle, la Mannschaft clôt son séduisant Mondial par une honorifique médaille de bronze, la quatrième de son histoire après celles de 1934 et 1970. Cette année-là, elle avait d'ailleurs privé de podium l'Uruguay.
Privé de son capitaine Lahm, grippé, Joachim Löw avait laissé Podolski et Klose, diminués, sur le banc. Mais il récupérait sa jeune révélation Müller, qui, à l'affût d'une frappe de Schweinsteiger repoussée par Muslera, ouvrait la marque à la 19e minute de jeu. Ce faisant, l'attaquant du Bayern Munich rejoignait en tête du classement des buteurs le Néerlandais Sneijder et de l'Espagnol Villa avec 5 réalisations.
La Celeste payait une entame timorée qui aurait pu se solder par un autre but si la tête de Friedrich n'avait pas trouvé la barre à la 10e minute. Mais elle réagissait en contre-attaque, Suarez décalant Cavani pour l'égalisation à la 28e minute.
Plus en jambes sous une pluie devenue battante, la Celeste prenait l'avantage en début de seconde période par l'inévitable Forlan, auteur d'une superbe demi-volée (51). Le buteur de l'Atletico Madrid se mêlait à la fête des meilleurs buteurs du tournoi (5 buts lui aussi).
Mais l'Allemagne revenait dans la foulée, le temps pour Jansen de profiter d'une mésentente entre Lugano et Muslera pour placer une tête égalisatrice (2-2, 56).
Lugano était de nouveau malheureux sur un corner en fin de match lorsque le ballon rebondissait sur sa jambe pour trouver la tête de Khedira (82), auteur du but victorieux pour l'Allemagne.
Comme il y a quatre ans chez elle, la Mannschaft clôt son séduisant Mondial par une honorifique médaille de bronze, la quatrième de son histoire après celles de 1934 et 1970. Cette année-là, elle avait d'ailleurs privé de podium l'Uruguay.
Privé de son capitaine Lahm, grippé, Joachim Löw avait laissé Podolski et Klose, diminués, sur le banc. Mais il récupérait sa jeune révélation Müller, qui, à l'affût d'une frappe de Schweinsteiger repoussée par Muslera, ouvrait la marque à la 19e minute de jeu. Ce faisant, l'attaquant du Bayern Munich rejoignait en tête du classement des buteurs le Néerlandais Sneijder et de l'Espagnol Villa avec 5 réalisations.
La Celeste payait une entame timorée qui aurait pu se solder par un autre but si la tête de Friedrich n'avait pas trouvé la barre à la 10e minute. Mais elle réagissait en contre-attaque, Suarez décalant Cavani pour l'égalisation à la 28e minute.
Plus en jambes sous une pluie devenue battante, la Celeste prenait l'avantage en début de seconde période par l'inévitable Forlan, auteur d'une superbe demi-volée (51). Le buteur de l'Atletico Madrid se mêlait à la fête des meilleurs buteurs du tournoi (5 buts lui aussi).
Mais l'Allemagne revenait dans la foulée, le temps pour Jansen de profiter d'une mésentente entre Lugano et Muslera pour placer une tête égalisatrice (2-2, 56).
Lugano était de nouveau malheureux sur un corner en fin de match lorsque le ballon rebondissait sur sa jambe pour trouver la tête de Khedira (82), auteur du but victorieux pour l'Allemagne.