Le Brésil assure, la France déçoit
Soccer mardi, 13 juin 2006. 17:07 samedi, 14 déc. 2024. 11:55
BERLIN (AFP) - Le Brésil (Gr.F), dont les débuts au Mondial-2006 de soccer étaient si attendus, a battu la Croatie (1-0), mardi à Berlin, assurant l'essentiel à l'inverse d'une équipe de France (Gr.G) empruntée et mise en échec par la Suisse (0-0) à Stuttgart. A défaut d'avoir ébloui, la Seleçao quintuple championne du monde a battu l'adversaire a priori le plus redoutable de son groupe, dans l'enceinte même où elle entend bien revenir pour la finale, le 9 juillet.
Face à une solide et dangereuse équipe croate, elle a trouvé l'ouverture grâce à un tir de loin splendide de Kaka (44). Et malgré les approximations inhérentes à un premier match, le Brésil - Ronaldinho naturellement en tête - a confirmé s'il en était besoin qu'il serait extrêmement dur à vaincre.
C'est à peu près l'impression inverse qu'a laissée la France, sans ressort face aux outsiders suisses, et premier favori à ne pas remporter son premier match.
Malgré Thierry Henry et Franck Ribéry, le néophyte sur lequel tous les supporteurs français comptaient, les Bleus n'ont pas réussi à marquer, et ce pour le 4e match consécutif en phase finale de Coupe du monde.
La Suisse, elle, a conservé toutes ses chances dans un groupe dont la tête a échu à la Corée du Sud, longtemps bousculée par le Togo, avant que celui-ci ne craque après l'exclusion de son capitaine Jean-Paul Abalo (défaite 2-1). Le prochain match des Coréens, dimanche contre la France, sera déjà décisif.
A défaut d'avoir ébloui, la Seleçao quintuple championne du monde a battu l'adversaire a priori le plus redoutable de son groupe, dans l'enceinte même où elle entend bien revenir pour la finale, le 9 juillet.
Face à une solide et dangereuse équipe croate, elle a trouvé l'ouverture grâce à un tir de loin splendide de Kaka (44). Et malgré les approximations inhérentes à un premier match, le Brésil - Ronaldinho naturellement en tête - a confirmé s'il en était besoin qu'il serait extrêmement dur à vaincre.
C'est à peu près l'impression inverse qu'a laissée la France, sans ressort face aux outsiders suisses, et premier favori à ne pas remporter son premier match.
Malgré Thierry Henry et Franck Ribéry, le néophyte sur lequel tous les supporteurs français comptaient, les Bleus n'ont pas réussi à marquer, et ce pour le 4e match consécutif en phase finale de Coupe du monde.
La Suisse, elle, a conservé toutes ses chances dans un groupe dont la tête a échu à la Corée du Sud, longtemps bousculée par le Togo, avant que celui-ci ne craque après l'exclusion de son capitaine Jean-Paul Abalo (défaite 2-1). Le prochain match des Coréens, dimanche contre la France, sera déjà décisif.
Face à une solide et dangereuse équipe croate, elle a trouvé l'ouverture grâce à un tir de loin splendide de Kaka (44). Et malgré les approximations inhérentes à un premier match, le Brésil - Ronaldinho naturellement en tête - a confirmé s'il en était besoin qu'il serait extrêmement dur à vaincre.
C'est à peu près l'impression inverse qu'a laissée la France, sans ressort face aux outsiders suisses, et premier favori à ne pas remporter son premier match.
Malgré Thierry Henry et Franck Ribéry, le néophyte sur lequel tous les supporteurs français comptaient, les Bleus n'ont pas réussi à marquer, et ce pour le 4e match consécutif en phase finale de Coupe du monde.
La Suisse, elle, a conservé toutes ses chances dans un groupe dont la tête a échu à la Corée du Sud, longtemps bousculée par le Togo, avant que celui-ci ne craque après l'exclusion de son capitaine Jean-Paul Abalo (défaite 2-1). Le prochain match des Coréens, dimanche contre la France, sera déjà décisif.
A défaut d'avoir ébloui, la Seleçao quintuple championne du monde a battu l'adversaire a priori le plus redoutable de son groupe, dans l'enceinte même où elle entend bien revenir pour la finale, le 9 juillet.
Face à une solide et dangereuse équipe croate, elle a trouvé l'ouverture grâce à un tir de loin splendide de Kaka (44). Et malgré les approximations inhérentes à un premier match, le Brésil - Ronaldinho naturellement en tête - a confirmé s'il en était besoin qu'il serait extrêmement dur à vaincre.
C'est à peu près l'impression inverse qu'a laissée la France, sans ressort face aux outsiders suisses, et premier favori à ne pas remporter son premier match.
Malgré Thierry Henry et Franck Ribéry, le néophyte sur lequel tous les supporteurs français comptaient, les Bleus n'ont pas réussi à marquer, et ce pour le 4e match consécutif en phase finale de Coupe du monde.
La Suisse, elle, a conservé toutes ses chances dans un groupe dont la tête a échu à la Corée du Sud, longtemps bousculée par le Togo, avant que celui-ci ne craque après l'exclusion de son capitaine Jean-Paul Abalo (défaite 2-1). Le prochain match des Coréens, dimanche contre la France, sera déjà décisif.