Le Ghana demande une sécurité renforcée
Soccer dimanche, 10 janv. 2010. 11:29 samedi, 14 déc. 2024. 11:49
ACCRA - Le président du Ghana John Atta-Mills a réclamé "une sécurité renforcée" pour les joueurs participant à la Coupe d'Afrique des nations qui s'ouvre dimanche en Angola, après l'attaque meurtrière contre l'équipe du Togo, a-t-on annoncé de source officielle à Accra.
L'équipe ghanéenne est l'une de celles qui doivent participer aux matches programmés dans l'enclave pétrolifère de Cabinda, où le convoi transportant l'équipe du Togo a été pris vendredi sous le feu de séparatistes qui ont tué au moins deux personnes.
M. Atta-Mills "a demandé une sécurité renforcée pour (...) les joueurs durant la Coupe des Nations dont le coup d'envoi est prévu aujourd'hui", a déclaré à la presse la ministre de l'Information Zita Okaikoi.
"La sécurité de nos joueurs et de tout autre pays participant est très importante, d'où le besoin de mesures de sécurité renforcées", a-t-elle souligné.
Le mouvement séparatiste qui a revendiqué l'attaque de vendredi a affirmé dimanche que "les armes vont continuer à parler" dans l'enclave de Cabinda.
Le gouvernement togolais a réitéré dimanche sa décision de rappeler l'équipe nationale des "Eperviers", malgré le souhait formulé par les joueurs de participer à la compétition "en mémoire des disparus".
L'équipe ghanéenne est l'une de celles qui doivent participer aux matches programmés dans l'enclave pétrolifère de Cabinda, où le convoi transportant l'équipe du Togo a été pris vendredi sous le feu de séparatistes qui ont tué au moins deux personnes.
M. Atta-Mills "a demandé une sécurité renforcée pour (...) les joueurs durant la Coupe des Nations dont le coup d'envoi est prévu aujourd'hui", a déclaré à la presse la ministre de l'Information Zita Okaikoi.
"La sécurité de nos joueurs et de tout autre pays participant est très importante, d'où le besoin de mesures de sécurité renforcées", a-t-elle souligné.
Le mouvement séparatiste qui a revendiqué l'attaque de vendredi a affirmé dimanche que "les armes vont continuer à parler" dans l'enclave de Cabinda.
Le gouvernement togolais a réitéré dimanche sa décision de rappeler l'équipe nationale des "Eperviers", malgré le souhait formulé par les joueurs de participer à la compétition "en mémoire des disparus".