Le succès de l'Impact intrigue la MLS
Soccer lundi, 20 août 2007. 12:29 mercredi, 11 déc. 2024. 09:42
La MLS compte faire passer son total d'équipes de 13 à 16 d'ici 2010, possiblement même à 18 par la suite. Des discussions sont en cours avec des groupes d'une dizaine de villes en Amérique du Nord et Montréal pourrait s'ajouter au nombre.
"Montréal est une ville magnifique, un excellent endroit pour le sport. Il est vrai que le succès de l'Impact nous intrigue", a confié Don Garber, le commissaire de la Major League Soccer. Nous avons du respect pour Joey Saputo. Il faudra voir si Montréal peut être une candidate pour notre expansion."
Seattle et Vancouver figurent parmi les villes favorites pour obtenir une équipe d'expansion. Il s'agit de deux marchés où il y a déjà, comme à Montréal, une équipe dans la première division des United Soccer Leagues.
Des responsables de la MLS visitent les marchés potentiels, qui doivent répondre à certaines exigences. "Il faut un marché qui a un certain potentiel, et c'est le cas pour Montréal. Ensuite, nous exigeons un bon stade, comme c'est maintenant le cas à Toronto. Puis nous recherchons un propriétaire expérimenté qui s'y connaît dans le domaine", énumère Garber.
Le président de l'Impact, Joey Saputo, avoue maintenant clairement son intérêt pour la MLS.
"Si les gens de la MLS nous contacte, je vais prendre l'appel et écouter ce qu'ils ont à dire", affirme-t-il.
Il en coûte 30 millions de dollars pour obtenir une concession dans la MLS. Cependant, selon Saputo, tout est négociable et il ne croit pas que quiconque ait payé ce montant jusqu'ici.
Joey Saputo est cependant déchiré. L'Impact étant un organisme à but non lucratif, les profits de l'équipe servent au développement du soccer québécois. La MLS est toutefois une ligue à "structure unique". Cela signifie que si la ligue perd de l'argent, les propriétaires doivent aider la ligue.
"Si par exemple on perd 5, 6 ou 7 millions $ par année dans la MLS, serait-on mieux de donner directement cet argent à la fédération québécoise pour promouvoir le soccer?", lance Saputo.
Si Joey Saputo souhaite voir la MLS débarquer à Montréal, il devra rapidement penser à agrandir son futur stade. Le stade devrait compter tout juste 13 000 sièges à son ouverture, ce qui est insuffisant pour les standards de la MLS. Mais l'homme d'affaires montréalais s'est toujours gardé une petite porte ouverte en disant que la capacité du stade pourrait atteindre 18 000 sièges.
"Montréal est une ville magnifique, un excellent endroit pour le sport. Il est vrai que le succès de l'Impact nous intrigue", a confié Don Garber, le commissaire de la Major League Soccer. Nous avons du respect pour Joey Saputo. Il faudra voir si Montréal peut être une candidate pour notre expansion."
Seattle et Vancouver figurent parmi les villes favorites pour obtenir une équipe d'expansion. Il s'agit de deux marchés où il y a déjà, comme à Montréal, une équipe dans la première division des United Soccer Leagues.
Des responsables de la MLS visitent les marchés potentiels, qui doivent répondre à certaines exigences. "Il faut un marché qui a un certain potentiel, et c'est le cas pour Montréal. Ensuite, nous exigeons un bon stade, comme c'est maintenant le cas à Toronto. Puis nous recherchons un propriétaire expérimenté qui s'y connaît dans le domaine", énumère Garber.
Le président de l'Impact, Joey Saputo, avoue maintenant clairement son intérêt pour la MLS.
"Si les gens de la MLS nous contacte, je vais prendre l'appel et écouter ce qu'ils ont à dire", affirme-t-il.
Il en coûte 30 millions de dollars pour obtenir une concession dans la MLS. Cependant, selon Saputo, tout est négociable et il ne croit pas que quiconque ait payé ce montant jusqu'ici.
Joey Saputo est cependant déchiré. L'Impact étant un organisme à but non lucratif, les profits de l'équipe servent au développement du soccer québécois. La MLS est toutefois une ligue à "structure unique". Cela signifie que si la ligue perd de l'argent, les propriétaires doivent aider la ligue.
"Si par exemple on perd 5, 6 ou 7 millions $ par année dans la MLS, serait-on mieux de donner directement cet argent à la fédération québécoise pour promouvoir le soccer?", lance Saputo.
Si Joey Saputo souhaite voir la MLS débarquer à Montréal, il devra rapidement penser à agrandir son futur stade. Le stade devrait compter tout juste 13 000 sièges à son ouverture, ce qui est insuffisant pour les standards de la MLS. Mais l'homme d'affaires montréalais s'est toujours gardé une petite porte ouverte en disant que la capacité du stade pourrait atteindre 18 000 sièges.