Les derniers miles de Guus Hiddink?
Soccer mardi, 27 nov. 2012. 15:00 mercredi, 11 déc. 2024. 14:52
LA HAYE - L'entraîneur néerlandais du club russe Anzhi Makhachkala, Guus Hiddink, a assuré mardi qu'il arrêterait "en principe" sa carrière d'entraîneur à la fin de la saison, sans pour autant quitter le monde du soccer.
"En principe non", a répondu l'entraîneur néerlandais, âgé de 66 ans, à un journaliste de la télévision publique néerlandaise qui lui demandait dans un entretien publié sur internet s'il serait encore à Anzhi la saison prochaine.
"J'ai encore tant d'énergie quand je monte sur le terrain, je continue à en avoir des frissons, mais il faut bien à un moment faire attention à ne pas trop se répéter, à ce que les gens ne se disent pas : encore lui?", a-t-il ajouté.
Guus Hiddink a toutefois suggéré que l'éventualité de disputer la Ligue des champions avec Anzhi la saison prochaine pourrait le faire hésiter.
Arrivé en février 2012 à Anzhi, ambitieux club de l'instable petite république caucasienne du Daguestan, Guus Hiddink est un des entraîneurs les mieux payés du monde. Son contrat court jusqu'à la mi-2013.
Fondé en 1991, Anzhi brille sur le marché des transferts depuis l'arrivée à sa tête du magnat russe du pétrole Suleiman Kerimov. L'équipe compte notamment dans ses rangs le Camerounais Samuel Eto'o et pointe à la deuxième place du championnat russe après 17 journées de championnat.
"Je continue à trouver le football tellement beau que je pense que je pourrais continuer dans le milieu", mais pas au sein d'un club, a assuré M. Hiddink: "Je ne sais pas, conseiller, former de jeunes entraîneurs ou aussi des joueurs (...) sur comment plus ou moins planifier une carrière".
Six fois champion des Pays-Bas et une fois champion d'Europe (1988) avec le PSV Eindhoven, Guus Hiddink a également atteint par deux fois les demi-finales de la Coupe du monde en tant que sélectionneur national, avec les Pays-Bas (1998) et la Corée du Sud (2002). Il a également entraîné, entre autres, l'Australie, la Russie (demi-finales de l'Euro 2008) et la Turquie.
Les joueurs d'Anzhi, petit club inconnu avant l'arrivée de Kerimov, s'entraînent à Moscou et ne viennent à Makhachkala que pour les matches, le Daguestan étant l'une des régions les plus pauvres et violentes de Russie, minée par une rébellion islamiste de plus en plus puissante.
"En principe non", a répondu l'entraîneur néerlandais, âgé de 66 ans, à un journaliste de la télévision publique néerlandaise qui lui demandait dans un entretien publié sur internet s'il serait encore à Anzhi la saison prochaine.
"J'ai encore tant d'énergie quand je monte sur le terrain, je continue à en avoir des frissons, mais il faut bien à un moment faire attention à ne pas trop se répéter, à ce que les gens ne se disent pas : encore lui?", a-t-il ajouté.
Guus Hiddink a toutefois suggéré que l'éventualité de disputer la Ligue des champions avec Anzhi la saison prochaine pourrait le faire hésiter.
Arrivé en février 2012 à Anzhi, ambitieux club de l'instable petite république caucasienne du Daguestan, Guus Hiddink est un des entraîneurs les mieux payés du monde. Son contrat court jusqu'à la mi-2013.
Fondé en 1991, Anzhi brille sur le marché des transferts depuis l'arrivée à sa tête du magnat russe du pétrole Suleiman Kerimov. L'équipe compte notamment dans ses rangs le Camerounais Samuel Eto'o et pointe à la deuxième place du championnat russe après 17 journées de championnat.
"Je continue à trouver le football tellement beau que je pense que je pourrais continuer dans le milieu", mais pas au sein d'un club, a assuré M. Hiddink: "Je ne sais pas, conseiller, former de jeunes entraîneurs ou aussi des joueurs (...) sur comment plus ou moins planifier une carrière".
Six fois champion des Pays-Bas et une fois champion d'Europe (1988) avec le PSV Eindhoven, Guus Hiddink a également atteint par deux fois les demi-finales de la Coupe du monde en tant que sélectionneur national, avec les Pays-Bas (1998) et la Corée du Sud (2002). Il a également entraîné, entre autres, l'Australie, la Russie (demi-finales de l'Euro 2008) et la Turquie.
Les joueurs d'Anzhi, petit club inconnu avant l'arrivée de Kerimov, s'entraînent à Moscou et ne viennent à Makhachkala que pour les matches, le Daguestan étant l'une des régions les plus pauvres et violentes de Russie, minée par une rébellion islamiste de plus en plus puissante.