Les Grecs ont perdu beaucoup d'énergie jusqu'ici
Soccer mercredi, 30 juin 2004. 14:31 samedi, 14 déc. 2024. 06:06
PORTO (AFP) - Otto Rehhagel, le sélectionneur allemand de la Grèce, estime que son équipe a perdu "beaucoup d'énergie physique et mentale" depuis le début de la compétition, à la veille d'affronter la République tchèque en demi-finale de l'Euro-2004 de soccer, jeudi au stade du Dragon de Porto.
Paradoxe des Grecs: bien que fatigués, ils présentent pour la première fois du tournoi un groupe au complet, épargné par les blessures.
Q: Comment se présente votre équipe avant cette demi-finale?
R: "Parmi mes 23 joueurs, il n'y a pas de blessé, pour la première fois de ce tournoi. Mais nous avons perdu beaucoup d'énergie sur le plan mental et physique pour arriver à ce niveau de la compétition. J'espère que nous aurons assez de force pour faire un bon match contre la République tchèque, ce sera la clé".
Q: Quels sentiments vous animent à ce niveau du tournoi?
R: "Nous sommes très heureux à l'idée d'affronter la République tchèque, une grande équipe, en demi-finale. Nous ne pensons pas au trophée. Nous sommes toujours concentrés sur le match à venir. La Grèce a éliminé de grandes équipes comme l'Espagne (1-1 au 1er tour) et la France (1-0 en quarts): nous sommes très fiers de ces résultats, qui ont amené joie et enthousiasme dans la population en Grèce. Le plus important dans le fait d'être arrivés en demi-finale, ce sont les répercussions positives que cela peut avoir en Grèce, surtout pour les jeunes joueurs".
Q: Les problèmes financiers rencontrés par les clubs en Grèce ont-ils rejailli sur la sélection?
R: "Depuis le début du tournoi, on me pose des questions sur l'AEK Athènes et sur Demis Nikolaïdis (joueur de l'Atletico Madrid qui pourrait mettre un point final à sa carrière après l'Euro pour prendre la présidence de l'AEK Athènes, club avec lequel il s'était fait un nom en tant que joueur, ndlr). Mais moi, je ne m'intéresse qu'à l'équipe nationale. Il n'y a que sur l'équipe nationale que je puisse avoir une influence, je ne pense pas au reste".
Paradoxe des Grecs: bien que fatigués, ils présentent pour la première fois du tournoi un groupe au complet, épargné par les blessures.
Q: Comment se présente votre équipe avant cette demi-finale?
R: "Parmi mes 23 joueurs, il n'y a pas de blessé, pour la première fois de ce tournoi. Mais nous avons perdu beaucoup d'énergie sur le plan mental et physique pour arriver à ce niveau de la compétition. J'espère que nous aurons assez de force pour faire un bon match contre la République tchèque, ce sera la clé".
Q: Quels sentiments vous animent à ce niveau du tournoi?
R: "Nous sommes très heureux à l'idée d'affronter la République tchèque, une grande équipe, en demi-finale. Nous ne pensons pas au trophée. Nous sommes toujours concentrés sur le match à venir. La Grèce a éliminé de grandes équipes comme l'Espagne (1-1 au 1er tour) et la France (1-0 en quarts): nous sommes très fiers de ces résultats, qui ont amené joie et enthousiasme dans la population en Grèce. Le plus important dans le fait d'être arrivés en demi-finale, ce sont les répercussions positives que cela peut avoir en Grèce, surtout pour les jeunes joueurs".
Q: Les problèmes financiers rencontrés par les clubs en Grèce ont-ils rejailli sur la sélection?
R: "Depuis le début du tournoi, on me pose des questions sur l'AEK Athènes et sur Demis Nikolaïdis (joueur de l'Atletico Madrid qui pourrait mettre un point final à sa carrière après l'Euro pour prendre la présidence de l'AEK Athènes, club avec lequel il s'était fait un nom en tant que joueur, ndlr). Mais moi, je ne m'intéresse qu'à l'équipe nationale. Il n'y a que sur l'équipe nationale que je puisse avoir une influence, je ne pense pas au reste".