Les joueurs de l'Impact ont hâte
Soccer jeudi, 18 mai 2006. 16:35 samedi, 14 déc. 2024. 17:34
MONTRÉAL Le premier match à domicile, comme celui qui aura lieu ce dimanche à 16h au Complexe sportif Claude-Robillard contre le Thunder du Minnesota, n'a décidément pas la même saveur que ceux qui suivront.
Les spectateurs ont hâte de voir la plus récente version de leur équipe préférée, tandis que les joueurs sont fébriles et veulent montrer qu'ils peuvent faire encore mieux que l'année précédente.
Au Brésil, un match d'ouverture locale attire tous les partisans du club au stade pour un barbecue d'avant-match. Les amateurs jouent du tam-tam et dansent.
«Tous les amateurs sont excités. Le premier match est très important, c'est comme un match-clé dans la course au championnat, explique Zé Roberto, qui a fait ses débuts dans les rangs professionnels au Brésil, son pays natal, avant de se joindre à la USL en 2000.
Au Japon, un match d'ouverture est souvent précédé d'un concert donné par un artiste vedette. On procède aussi à la traditionnelle cérémonie... de mariage! Dans un geste symbolique, on souligne ainsi l'union entre l'équipe et ses partisans pour la saison à venir.
«C'est une manière de montrer que le soccer est un peu comme une religion, souligne Masahiro Fukasawa, qui a évolué neuf saisons dans la J-League au pays du soleil levant et qui en sera à son deuxième match d'ouverture à Montréal, ce dimanche.
Bien que les matchs d'ouverture au soccer soient des événements haut en couleurs un peu partout dans le monde, tant Fukasawa que Zé Roberto disent apprécier les retrouvailles avec les amateurs de soccer québécois. Selon Roberto, les matchs d'ouverture à Montréal ont une saveur bien spéciale.
«Le fait que les spectateurs soient excités, ça nous donne de l'énergie supplémentaire au moment de se présenter sur le terrain et pour faire notre travail du mieux que nous le pouvons, affirme Roberto. C'est ce que j'aime de Montréal.»
D'ailleurs, l'Impact n'a subi qu'une seule défaite en 12 matchs d'ouverture à Montréal. Le seul revers est survenu le 27 mai 2001 contre les Wolves du Connecticut. Le onze montréalais s'était incliné 2-1 en prolongation.
Nevio Pizzolitto en sera à son 11e match d'ouverture locale avec l'Impact, soit deux de moins que Mauro Biello, le seul à avoir plus d'ancienneté que lui au sein du onze montréalais.
«Un match d'ouverture, c'est un nouveau départ, souligne le défenseur de 29 ans. C'est excitant pour nous et pour les partisans. C'est une toute nouvelle saison. On peut ressentir une énergie inhabituelle. Et on cherche à performer à la mesure de ce que l'équipe a réalisé dans le passé.»
Le milieu Patrick Leduc en sera à son 7e match d'ouverture. Il aime lui aussi retrouver les partisans montréalais pour la première fois, surtout après une série de matchs à l'étranger.
«Quand je pense aux matchs de l'Impact, je pense à nos matchs devant notre foule, dit Leduc. Ça va faire du bien de retrouver tout ça. Dans un match d'ouverture, on sent l'autre équipe un peu intimidée, on aime entendre la foule quand on réussit une bonne action. »
«C'est comme un premier rendez-vous galant, conclut-il. Tu veux faire une bonne première impression, tu ne veux pas rater ton coup. Tu veux que les gens reviennent.»
Les spectateurs ont hâte de voir la plus récente version de leur équipe préférée, tandis que les joueurs sont fébriles et veulent montrer qu'ils peuvent faire encore mieux que l'année précédente.
Au Brésil, un match d'ouverture locale attire tous les partisans du club au stade pour un barbecue d'avant-match. Les amateurs jouent du tam-tam et dansent.
«Tous les amateurs sont excités. Le premier match est très important, c'est comme un match-clé dans la course au championnat, explique Zé Roberto, qui a fait ses débuts dans les rangs professionnels au Brésil, son pays natal, avant de se joindre à la USL en 2000.
Au Japon, un match d'ouverture est souvent précédé d'un concert donné par un artiste vedette. On procède aussi à la traditionnelle cérémonie... de mariage! Dans un geste symbolique, on souligne ainsi l'union entre l'équipe et ses partisans pour la saison à venir.
«C'est une manière de montrer que le soccer est un peu comme une religion, souligne Masahiro Fukasawa, qui a évolué neuf saisons dans la J-League au pays du soleil levant et qui en sera à son deuxième match d'ouverture à Montréal, ce dimanche.
Bien que les matchs d'ouverture au soccer soient des événements haut en couleurs un peu partout dans le monde, tant Fukasawa que Zé Roberto disent apprécier les retrouvailles avec les amateurs de soccer québécois. Selon Roberto, les matchs d'ouverture à Montréal ont une saveur bien spéciale.
«Le fait que les spectateurs soient excités, ça nous donne de l'énergie supplémentaire au moment de se présenter sur le terrain et pour faire notre travail du mieux que nous le pouvons, affirme Roberto. C'est ce que j'aime de Montréal.»
D'ailleurs, l'Impact n'a subi qu'une seule défaite en 12 matchs d'ouverture à Montréal. Le seul revers est survenu le 27 mai 2001 contre les Wolves du Connecticut. Le onze montréalais s'était incliné 2-1 en prolongation.
Nevio Pizzolitto en sera à son 11e match d'ouverture locale avec l'Impact, soit deux de moins que Mauro Biello, le seul à avoir plus d'ancienneté que lui au sein du onze montréalais.
«Un match d'ouverture, c'est un nouveau départ, souligne le défenseur de 29 ans. C'est excitant pour nous et pour les partisans. C'est une toute nouvelle saison. On peut ressentir une énergie inhabituelle. Et on cherche à performer à la mesure de ce que l'équipe a réalisé dans le passé.»
Le milieu Patrick Leduc en sera à son 7e match d'ouverture. Il aime lui aussi retrouver les partisans montréalais pour la première fois, surtout après une série de matchs à l'étranger.
«Quand je pense aux matchs de l'Impact, je pense à nos matchs devant notre foule, dit Leduc. Ça va faire du bien de retrouver tout ça. Dans un match d'ouverture, on sent l'autre équipe un peu intimidée, on aime entendre la foule quand on réussit une bonne action. »
«C'est comme un premier rendez-vous galant, conclut-il. Tu veux faire une bonne première impression, tu ne veux pas rater ton coup. Tu veux que les gens reviennent.»