Ligue des champions : l'Italie et l'Espagne ont le sourire
Soccer mercredi, 1 oct. 2003. 14:42 vendredi, 13 déc. 2024. 05:36
PARIS (AFP) - Les clubs italiens et espagnols ont le sourire à l'issue de la première partie de la 2e journée de Ligue des champions de soccer disputée mardi, alors qu'au nord de l'Europe, Arsenal, dernier du Groupe B après son nul face au Lokomotiv Moscou (0-0), fait grise mine.
La Juventus (groupe D) et l'Inter Milan (groupe B) ont certes peiné pour remporter leur deuxième victoire en deux matchs. Mais les deux clubs italiens, respectivement finaliste et demi-finaliste de la Ligue des champions la saison dernière, sont déjà en tête de leur poule et semblent bien partis pour se qualifier pour les 8e de finale.
Les Turinois ont attendu la 79e minute et le second but de la soirée du Tchèque Pavel Nedved pour mettre au pas la vaillante équipe de l'Olympiakos à Athènes (2-1). "Je suis content d'avoir marqué, mais surtout parce que cela nous permet de rester en tête du groupe", a estimé le toujours altruiste Nedved, candidat au "Ballon d'or".
La Juve, avec six points, est à égalité avec la Real Sociedad qui est en train de réussir sur le plan continental ce qu'elle avait fait la saison dernière en Liga. Kovacevic et Xabi Alonso ont permis aux Basques d'aller surprendre Galatasaray à Istanbul (2-1). "Au soccer, le plus important n'est pas d'avoir le ballon mais de marquer", a rappelé l'entraîneur français de la Real, Raynald Denoueix, au terme d'un match dominé par les Turcs mais remporté par les Basques.
Kiev-Arsenal capital
L'Inter, grâce à un but de dernière minute de Christian Vieri - de retour après une absence de trois semaines due à une blessure aux chevilles -, a également évité les foudres de San Siro en dominant finalement le Dynamo Kiev (2-1). "Le Dynamo a fait un très bon match, mais le plus important c'est d'y croire jusqu'au bout", a commenté Vieri, entré à l'heure de jeu et buteur à la 90e minute.
L'Inter occupe seul la 1re place du groupe B, où Arsenal, après sa défaite initiale à domicile face aux Italiens (3-0), a laissé filer deux nouveaux points à Moscou contre le Lokomotiv (0-0). "Je ne peux pas reprocher à mes joueurs un manque d'envie ou d'engagement, a estimé l'entraîneur français des Gunners, Arsène Wenger. Mais on ne saura qu'à la fin si ce résultat est bon ou mauvais."
Le prochain match des Londoniens, à Kiev le 21 octobre, s'avère en tout cas capital. Une nouvelle contre-performance leur barrerait un peu plus la route des 8e de finale dans une compétition qui ne leur réussit décidément pas.
Le Bayern en tête
Dans le groupe A, le Bayern Munich a pris seul la tête grâce à un nul arraché à Anderlecht (1-1). Réduit à dix en première période après l'exclusion de Pizzaro, le club bavarois a trouvé les ressources pour égaliser à un quart d'heure de la fin par Santa Cruz, après l'ouverture du score belge.
Dans l'autre match, les Lyonnais ont craqué à Glasgow face au Celtic (0-2). Et ce malgré un grand match du gardien français Grégory Coupet, qui a repoussé un penalty écossais en première période. "C'est une grande victoire contre une équipe de haut niveau qui possède plus d'expérience que nous en Ligue des champions", s'est réjoui l'entraîneur écossais Martin O'Neill.
Dans le Groupe C, enfin, Monaco, qui n'a fait qu'une bouchée de l'AEK (4-0), et La Corogne, qui a dominé le PSV Eindhoven (2-0), ont pris une option sur les deux places qualificatives. Fernando Morientes, auteur d'un doublé pour Monaco, montre match après match l'étendue de son talent, souvent sous-employé au Real Madrid après l'arrivée de Ronaldo. De bon augure avant de retrouver l'Espagne et la Corogne dans moins d'un mois.
La Juventus (groupe D) et l'Inter Milan (groupe B) ont certes peiné pour remporter leur deuxième victoire en deux matchs. Mais les deux clubs italiens, respectivement finaliste et demi-finaliste de la Ligue des champions la saison dernière, sont déjà en tête de leur poule et semblent bien partis pour se qualifier pour les 8e de finale.
Les Turinois ont attendu la 79e minute et le second but de la soirée du Tchèque Pavel Nedved pour mettre au pas la vaillante équipe de l'Olympiakos à Athènes (2-1). "Je suis content d'avoir marqué, mais surtout parce que cela nous permet de rester en tête du groupe", a estimé le toujours altruiste Nedved, candidat au "Ballon d'or".
La Juve, avec six points, est à égalité avec la Real Sociedad qui est en train de réussir sur le plan continental ce qu'elle avait fait la saison dernière en Liga. Kovacevic et Xabi Alonso ont permis aux Basques d'aller surprendre Galatasaray à Istanbul (2-1). "Au soccer, le plus important n'est pas d'avoir le ballon mais de marquer", a rappelé l'entraîneur français de la Real, Raynald Denoueix, au terme d'un match dominé par les Turcs mais remporté par les Basques.
Kiev-Arsenal capital
L'Inter, grâce à un but de dernière minute de Christian Vieri - de retour après une absence de trois semaines due à une blessure aux chevilles -, a également évité les foudres de San Siro en dominant finalement le Dynamo Kiev (2-1). "Le Dynamo a fait un très bon match, mais le plus important c'est d'y croire jusqu'au bout", a commenté Vieri, entré à l'heure de jeu et buteur à la 90e minute.
L'Inter occupe seul la 1re place du groupe B, où Arsenal, après sa défaite initiale à domicile face aux Italiens (3-0), a laissé filer deux nouveaux points à Moscou contre le Lokomotiv (0-0). "Je ne peux pas reprocher à mes joueurs un manque d'envie ou d'engagement, a estimé l'entraîneur français des Gunners, Arsène Wenger. Mais on ne saura qu'à la fin si ce résultat est bon ou mauvais."
Le prochain match des Londoniens, à Kiev le 21 octobre, s'avère en tout cas capital. Une nouvelle contre-performance leur barrerait un peu plus la route des 8e de finale dans une compétition qui ne leur réussit décidément pas.
Le Bayern en tête
Dans le groupe A, le Bayern Munich a pris seul la tête grâce à un nul arraché à Anderlecht (1-1). Réduit à dix en première période après l'exclusion de Pizzaro, le club bavarois a trouvé les ressources pour égaliser à un quart d'heure de la fin par Santa Cruz, après l'ouverture du score belge.
Dans l'autre match, les Lyonnais ont craqué à Glasgow face au Celtic (0-2). Et ce malgré un grand match du gardien français Grégory Coupet, qui a repoussé un penalty écossais en première période. "C'est une grande victoire contre une équipe de haut niveau qui possède plus d'expérience que nous en Ligue des champions", s'est réjoui l'entraîneur écossais Martin O'Neill.
Dans le Groupe C, enfin, Monaco, qui n'a fait qu'une bouchée de l'AEK (4-0), et La Corogne, qui a dominé le PSV Eindhoven (2-0), ont pris une option sur les deux places qualificatives. Fernando Morientes, auteur d'un doublé pour Monaco, montre match après match l'étendue de son talent, souvent sous-employé au Real Madrid après l'arrivée de Ronaldo. De bon augure avant de retrouver l'Espagne et la Corogne dans moins d'un mois.