Limniatis n'a pas perdu son humour
Soccer mardi, 19 mai 2009. 18:53 vendredi, 13 déc. 2024. 08:35
John Limniatis a rencontré les médias quatre jours après son congédiement. L'ancien entraîneur-chef de l'Impact a tenu à faire le point et s'il a perdu son emploi, il n'a rien perdu de son sens de l'humour.
Limniatis aimerait bien trouver les mots justes pour exprimer clairement ce qui s'est passé, ce qui a mené à son congédiement après 11 mois avec l'Impact, mais il avoue n'avoir aucune piste.
«Peut-être que je suis un peu naïf dans cette histoire, mais le vestiaire n'a jamais représenté un problème», lance-t-il. «Je n'ai jamais eu un conflit important.»
Quand Nick DeSantis a quitté son poste d'entraîneur-chef, en juin 2008, il est devenu le premier directeur technique de l'histoire de l'Impact.
Les deux hommes pourraient avoir eu quelques divergences d'opinion sur la façon de diriger l'équipe.
«Parfois ce n'est pas mauvais d'être en désaccord. Je ne suis pas toujours en accord avec ma femme, mais je suis encore avec elle donc ce n'est pas un problème», compare Limniatis avec humour.
Jeudi dernier, DeSantis affirmait qu'il n'avait pas apprécié la défaite de l'Impact au Mexique, le 5 mars, face à Santos Laguna. L'Impact avait encaissé deux buts dans les arrêts de jeu.
Limniatis avait pourtant une partie du mérite d'avoir amené son équipe en quarts-de-finale de la Ligue des champions CONCACAF, et ce, à la surprise générale.
«Malheureusement dans ce métier, tu reçois seulement un petit morceau de la tarte quand les choses vont bien. Par contre quand ça tourne mal, tu reçois toute la tarte», raconte Limniatis, fier de sa figure de style.
Limniatis pensera maintenant à son avenir. Il se console en se disant que son congédiement est presque aussi impopulaire que celui de Guy Carbonneau.
«Cependant, je suis plus beau que Guy Carbonneau», rigole-t-il. «Je garde aussi des portes ouvertes puisque la Juventus et Chelsea se cherchent un entraîneur alors pourquoi pas moi »
Le contrat de Limniatis sera honoré jusqu'à la fin de la saison. Aucun autre poste ne lui a été offert dans l'organisation.
D'après un reportage de François-Etienne Corbin
Limniatis aimerait bien trouver les mots justes pour exprimer clairement ce qui s'est passé, ce qui a mené à son congédiement après 11 mois avec l'Impact, mais il avoue n'avoir aucune piste.
«Peut-être que je suis un peu naïf dans cette histoire, mais le vestiaire n'a jamais représenté un problème», lance-t-il. «Je n'ai jamais eu un conflit important.»
Quand Nick DeSantis a quitté son poste d'entraîneur-chef, en juin 2008, il est devenu le premier directeur technique de l'histoire de l'Impact.
Les deux hommes pourraient avoir eu quelques divergences d'opinion sur la façon de diriger l'équipe.
«Parfois ce n'est pas mauvais d'être en désaccord. Je ne suis pas toujours en accord avec ma femme, mais je suis encore avec elle donc ce n'est pas un problème», compare Limniatis avec humour.
Jeudi dernier, DeSantis affirmait qu'il n'avait pas apprécié la défaite de l'Impact au Mexique, le 5 mars, face à Santos Laguna. L'Impact avait encaissé deux buts dans les arrêts de jeu.
Limniatis avait pourtant une partie du mérite d'avoir amené son équipe en quarts-de-finale de la Ligue des champions CONCACAF, et ce, à la surprise générale.
«Malheureusement dans ce métier, tu reçois seulement un petit morceau de la tarte quand les choses vont bien. Par contre quand ça tourne mal, tu reçois toute la tarte», raconte Limniatis, fier de sa figure de style.
Limniatis pensera maintenant à son avenir. Il se console en se disant que son congédiement est presque aussi impopulaire que celui de Guy Carbonneau.
«Cependant, je suis plus beau que Guy Carbonneau», rigole-t-il. «Je garde aussi des portes ouvertes puisque la Juventus et Chelsea se cherchent un entraîneur alors pourquoi pas moi »
Le contrat de Limniatis sera honoré jusqu'à la fin de la saison. Aucun autre poste ne lui a été offert dans l'organisation.
D'après un reportage de François-Etienne Corbin