Marco Di Vaio à Montréal pour y rester
Soccer lundi, 28 mai 2012. 14:38 samedi, 14 déc. 2024. 14:32
MONTRÉAL - Marco Di Vaio n'est à Montréal que depuis quelques heures qu'il a déjà affiché ses couleurs: il est ici pour y rester.
C'est ce que le tout premier joueur désigné de l'Impact de Montréal en MLS a indiqué, lundi, lorsqu'il a été présenté aux médias dans le cadre d'une conférence de presse en compagnie du propriétaire de l'équipe Joey Saputo, du directeur sportif Nick de Santis et de l'entraîneur-chef Jesse Marsch.
À 35 ans, Di Vaio a bien l'intention d'avoir signé son dernier contrat professionnel avant que le temps ne soit venu d'accrocher ses crampons.
«J'espère que Montréal sera la dernière étape de ma carrière, a-t-il mentionné. Je ne sais pas quand est-ce que j'aurai terminé, mais j'espère continuer à jouer le plus longtemps possible. Je ne crois pas signer d'autres contrats.
«Mais on ne sait jamais avec la vie, j'avais dit la même chose quand j'étais à Bologne!», a-t-il ajouté, déclenchant les rires chez les médias présents.
L'ancien du club de Bologne en série A italienne a également souligné qu'il aurait très bien pu demeurer dans son pays natal où d'autres équipes le courtisaient, mais qu'il avait soif de nouveaux défis.
Il a ajouté que son arrivée à Montréal constitue une belle expérience à partager avec sa famille, désireuse d'apprendre les deux langues officielles de la ville, même si Di Vaio a démontré qu'il se débrouillait déjà très bien en français.
«Différentes raisons m'ont poussé à quitter l'Italie, a-t-il précisé. C'était le temps pour moi d'essayer quelque chose de nouveau, et pas seulement pour moi, mais pour ma femme et mes filles aussi. Je suis très excité à l'idée d'essayer le soccer en Amérique du Nord.»
Mais sa décision de partir n'a pas été facile à prendre pour autant.
«Délaisser Bologne n'a pas été une partie de plaisir, a évoqué l'Italien. C'est cette équipe qui m'avait donné une nouvelle opportunité à une certaine étape de ma carrière.»
Joey Saputo s'est quant à lui montré plus que soulagé que l'entente avec Di Vaio se soit enfin officialisée.
«L'avantage c'est que je n'ai plus de pression sur les épaules parce que j'avais promis d'offrir à l'Impact son joueur désigné, et le voici!, a-t-il rigolé. Désormais, la pression est sur les épaules des trois hommes assis à mes côtés à la table, puisque c'est eux maintenant qui devront prouver que nous avons déniché le bon joueur.»
Et Jesse Marsch semble confiant que ça soit le cas.
«Il va être parfait pour notre équipe, a-t-il déclaré sans hésiter. Nous sommes très excités par rapport à son arrivée et on sait qu'il va faire de nous une meilleure équipe, mais on ne veut pas lui mettre tout ce poids sur les épaules. Ça ne servirait à rien de mettre la barre trop haute, ça serait injuste pour tout le monde. Et de toute façon, je crois bien qu'au final, il va nous démontrer qu'on a eu raison.»
C'est ce que le tout premier joueur désigné de l'Impact de Montréal en MLS a indiqué, lundi, lorsqu'il a été présenté aux médias dans le cadre d'une conférence de presse en compagnie du propriétaire de l'équipe Joey Saputo, du directeur sportif Nick de Santis et de l'entraîneur-chef Jesse Marsch.
À 35 ans, Di Vaio a bien l'intention d'avoir signé son dernier contrat professionnel avant que le temps ne soit venu d'accrocher ses crampons.
«J'espère que Montréal sera la dernière étape de ma carrière, a-t-il mentionné. Je ne sais pas quand est-ce que j'aurai terminé, mais j'espère continuer à jouer le plus longtemps possible. Je ne crois pas signer d'autres contrats.
«Mais on ne sait jamais avec la vie, j'avais dit la même chose quand j'étais à Bologne!», a-t-il ajouté, déclenchant les rires chez les médias présents.
L'ancien du club de Bologne en série A italienne a également souligné qu'il aurait très bien pu demeurer dans son pays natal où d'autres équipes le courtisaient, mais qu'il avait soif de nouveaux défis.
Il a ajouté que son arrivée à Montréal constitue une belle expérience à partager avec sa famille, désireuse d'apprendre les deux langues officielles de la ville, même si Di Vaio a démontré qu'il se débrouillait déjà très bien en français.
«Différentes raisons m'ont poussé à quitter l'Italie, a-t-il précisé. C'était le temps pour moi d'essayer quelque chose de nouveau, et pas seulement pour moi, mais pour ma femme et mes filles aussi. Je suis très excité à l'idée d'essayer le soccer en Amérique du Nord.»
Mais sa décision de partir n'a pas été facile à prendre pour autant.
«Délaisser Bologne n'a pas été une partie de plaisir, a évoqué l'Italien. C'est cette équipe qui m'avait donné une nouvelle opportunité à une certaine étape de ma carrière.»
Joey Saputo s'est quant à lui montré plus que soulagé que l'entente avec Di Vaio se soit enfin officialisée.
«L'avantage c'est que je n'ai plus de pression sur les épaules parce que j'avais promis d'offrir à l'Impact son joueur désigné, et le voici!, a-t-il rigolé. Désormais, la pression est sur les épaules des trois hommes assis à mes côtés à la table, puisque c'est eux maintenant qui devront prouver que nous avons déniché le bon joueur.»
Et Jesse Marsch semble confiant que ça soit le cas.
«Il va être parfait pour notre équipe, a-t-il déclaré sans hésiter. Nous sommes très excités par rapport à son arrivée et on sait qu'il va faire de nous une meilleure équipe, mais on ne veut pas lui mettre tout ce poids sur les épaules. Ça ne servirait à rien de mettre la barre trop haute, ça serait injuste pour tout le monde. Et de toute façon, je crois bien qu'au final, il va nous démontrer qu'on a eu raison.»