Nulle gênante pour l'Italie
Soccer samedi, 2 sept. 2006. 17:22 samedi, 14 déc. 2024. 17:04
NAPLES (AFP) - L'Italie, qui disputait son premier match de compétition depuis sa victoire au Mondial, a concédé un très inattendu match nul face à la modeste Lituanie (1-1) samedi à Naples (sud), se compliquant d'entrée la tâche pour ses débuts en qualifications de l'Euro-2008 de football.
C'est peu dire si personne ne voyait les Lituaniens tenir tête aux champions du monde, qui plus est au mythique stade San Paolo! Mais en jouant crânement leur chance, et grâce à un gardien bien inspiré, les Baltes ont créé la première sensation, le premier coup de tonnerre, de la saison internationale.
Les Italiens, méfiants, n'ont pourtant jamais pris leur adversaire à la légère mais leur manque d'efficacité leur a été fatal. Sûr qu'ils ont désormais bien compris ce qui allait les attendre pendant les quatre années à venir: ils seront l'équipe à battre.
Quant au nouveau sélectionneur Roberto Donadoni, il mesure lui aussi l'ampleur de la tâche qu'il l'attend: il ne va pas être facile de succéder au charismatique Marcello Lippi.
Forme
Surpris par l'ouverture du score de Danilevicius (21) - eux qui n'avaient jamais encaissé un but en 4 rencontres face à la Lituanie -, les champions du monde s'étaient pourtant vite remis dans le sens de la marche grâce à Inzaghi, bien placé à la reprise d'un centre de Cassano (30).
Face à un adversaire qui eut le mérite de ne jamais fermer le jeu, la suite ne fut pourtant qu'une suite d'occasions gâchées malgré l'activité remarquée de Cassano en attaque - deux de ses tirs furent détournés in extremis par le gardien (42, 60) -, ou de Gattuso, très en verve au milieu.
Visiblement, s'il est exagéré de parler de "gueule de bois", les Italiens ont souffert de leur manque de condition. Le championnat n'a en effet pas encore redémarré et seuls les joueurs de l'AC Milan (Pirlo, Gattuso, Inzaghi) ont semblé en jambe, eux qui ont déjà disputé deux matches de Ligue des Champions.
Les Azzurri vont devoir donc faire beaucoup mieux pour le 2e match, dès mercredi à Paris contre une équipe de France forcément revancharde après s'être inclinée en finale de Coupe du monde, et qui, elle, n'a pas manqué son entrée en matière en Géorgie (victoire 3 à 0).
C'est peu dire si personne ne voyait les Lituaniens tenir tête aux champions du monde, qui plus est au mythique stade San Paolo! Mais en jouant crânement leur chance, et grâce à un gardien bien inspiré, les Baltes ont créé la première sensation, le premier coup de tonnerre, de la saison internationale.
Les Italiens, méfiants, n'ont pourtant jamais pris leur adversaire à la légère mais leur manque d'efficacité leur a été fatal. Sûr qu'ils ont désormais bien compris ce qui allait les attendre pendant les quatre années à venir: ils seront l'équipe à battre.
Quant au nouveau sélectionneur Roberto Donadoni, il mesure lui aussi l'ampleur de la tâche qu'il l'attend: il ne va pas être facile de succéder au charismatique Marcello Lippi.
Forme
Surpris par l'ouverture du score de Danilevicius (21) - eux qui n'avaient jamais encaissé un but en 4 rencontres face à la Lituanie -, les champions du monde s'étaient pourtant vite remis dans le sens de la marche grâce à Inzaghi, bien placé à la reprise d'un centre de Cassano (30).
Face à un adversaire qui eut le mérite de ne jamais fermer le jeu, la suite ne fut pourtant qu'une suite d'occasions gâchées malgré l'activité remarquée de Cassano en attaque - deux de ses tirs furent détournés in extremis par le gardien (42, 60) -, ou de Gattuso, très en verve au milieu.
Visiblement, s'il est exagéré de parler de "gueule de bois", les Italiens ont souffert de leur manque de condition. Le championnat n'a en effet pas encore redémarré et seuls les joueurs de l'AC Milan (Pirlo, Gattuso, Inzaghi) ont semblé en jambe, eux qui ont déjà disputé deux matches de Ligue des Champions.
Les Azzurri vont devoir donc faire beaucoup mieux pour le 2e match, dès mercredi à Paris contre une équipe de France forcément revancharde après s'être inclinée en finale de Coupe du monde, et qui, elle, n'a pas manqué son entrée en matière en Géorgie (victoire 3 à 0).