Puyol propulse l'Espagne en finale
Soccer mercredi, 7 juil. 2010. 13:57 samedi, 14 déc. 2024. 05:45
DURBAN, Afrique du Sud - Une solide reprise de tête de Carles Puyol à la 73e minute de jeu, mercredi, a permis à l'Espagne de vaincre l'Allemagne 1-0 et d'atteindre la finale de la Coupe du monde pour la première fois de son histoire.
Dans ce match revanche de la finale de l'Euro 2008, que l'Espagne avait remportée par le même score, Puyol a sauté haut dans les airs au milieu de la zone de réparation pour rediriger un corner tiré par Xavi. Il a ainsi permis à l'Espagne de finalement concrétiser une domination qui s'était manifestée dès le coup d'envoi.
"Ce groupe mérite cette présence en finale", a indiqué l'attaquant espagnol David Villa, co-meneur de la compétition avec le Néerlandais Wesley Sneijder avec cinq buts. "Nous sommes heureux de nous y trouver, car c'était notre objectif. Maintenant, nous voulons plus: nous voulons être champions."
Le meilleur résultat antérieur de l'Espagne au Mondial était une quatrième place acquise en 1950, quand la ronde finale consistait en un tournoi rotation à quatre équipes.
L'Espagne affrontera les Pays-Bas lors de la finale de dimanche à Soccer City, deux pays qui n'ont jamais remporté la compétition.
Les Espagnols ont contrôlé le match de bout en bout avec des passes précises, jouant exactement le style de jeu qu'ils souhaitaient, mais ayant toutefois de la difficulté à compléter leurs jeux avant que Puyol ne marque. Au sifflet final, Puyol a levé les bras au ciel. Le gardien Iker Casillas s'est empressé de le rejoindre pour célébrer cette victoire.
Pour la majeure partie du match, l'Allemagne s'est repliée, attendant patiemment la chance de lancer une contre-attaque, qui aura au final rarement levé. Cette attitude s'est voulue toute en contraste avec les deux dernières sorties allemandes, qui avaient inscrit quatre buts contre l'Angleterre et l'Argentine.
La perte de Thomas Müller, indisponible en raison d'une suspension, aura fait mal à l'Allemagne. Müller, auteur de quatre buts, a souvent été en mesure de battre au sprint ses opposants.
"Au cours des deux ou trois dernières années, l'Espagne a été l'une des équipes les meilleures et les plus unies, a indiqué le sélectionneur allemand, Joachim Löw. Ils font bien circuler le ballon et nous n'avons pas été en mesure de jouer de la façon dont nous aimons le faire. Nous avions un excellent plan de match, mais n'avons pas été capables de le mettre en place."
Löw donnait à penser que l'Espagne allait aussi disposer des Pays-Bas.
"Elle a gagné tous les gros matchs au cours de la dernière année. C'est une bonne équipe, qui joue ensemble depuis deux ou trois ans. Je suis certain que l'Espagne peut remporter n'importe lequel match, car elle est dominante et c'est difficile de contenir son attaque."
L'Espagne n'avait jamais battu l'Allemagne en trois affrontements précédents à la Coupe du monde. Les Champions d'Europe, qui ont mené 13-5 au chapitre des lancers, ont joué exactement de la façon dont ils le voulaient, remportant le match 1-0, comme leurs trois victoires précédentes.
"De la défensive à l'attaque, je crois que nous avons un grand match, a indiqué le sélectionneur, Vicente del Bosque. Nous avons toutefois un autre match devant nous, voyons voir si nous serons capables d'y contrôler le ballon. Nous sommes en bonne condition physique. Voyons maintenant si nous pouvons l'emporter."
Dans ce match revanche de la finale de l'Euro 2008, que l'Espagne avait remportée par le même score, Puyol a sauté haut dans les airs au milieu de la zone de réparation pour rediriger un corner tiré par Xavi. Il a ainsi permis à l'Espagne de finalement concrétiser une domination qui s'était manifestée dès le coup d'envoi.
"Ce groupe mérite cette présence en finale", a indiqué l'attaquant espagnol David Villa, co-meneur de la compétition avec le Néerlandais Wesley Sneijder avec cinq buts. "Nous sommes heureux de nous y trouver, car c'était notre objectif. Maintenant, nous voulons plus: nous voulons être champions."
Le meilleur résultat antérieur de l'Espagne au Mondial était une quatrième place acquise en 1950, quand la ronde finale consistait en un tournoi rotation à quatre équipes.
L'Espagne affrontera les Pays-Bas lors de la finale de dimanche à Soccer City, deux pays qui n'ont jamais remporté la compétition.
Les Espagnols ont contrôlé le match de bout en bout avec des passes précises, jouant exactement le style de jeu qu'ils souhaitaient, mais ayant toutefois de la difficulté à compléter leurs jeux avant que Puyol ne marque. Au sifflet final, Puyol a levé les bras au ciel. Le gardien Iker Casillas s'est empressé de le rejoindre pour célébrer cette victoire.
Pour la majeure partie du match, l'Allemagne s'est repliée, attendant patiemment la chance de lancer une contre-attaque, qui aura au final rarement levé. Cette attitude s'est voulue toute en contraste avec les deux dernières sorties allemandes, qui avaient inscrit quatre buts contre l'Angleterre et l'Argentine.
La perte de Thomas Müller, indisponible en raison d'une suspension, aura fait mal à l'Allemagne. Müller, auteur de quatre buts, a souvent été en mesure de battre au sprint ses opposants.
"Au cours des deux ou trois dernières années, l'Espagne a été l'une des équipes les meilleures et les plus unies, a indiqué le sélectionneur allemand, Joachim Löw. Ils font bien circuler le ballon et nous n'avons pas été en mesure de jouer de la façon dont nous aimons le faire. Nous avions un excellent plan de match, mais n'avons pas été capables de le mettre en place."
Löw donnait à penser que l'Espagne allait aussi disposer des Pays-Bas.
"Elle a gagné tous les gros matchs au cours de la dernière année. C'est une bonne équipe, qui joue ensemble depuis deux ou trois ans. Je suis certain que l'Espagne peut remporter n'importe lequel match, car elle est dominante et c'est difficile de contenir son attaque."
L'Espagne n'avait jamais battu l'Allemagne en trois affrontements précédents à la Coupe du monde. Les Champions d'Europe, qui ont mené 13-5 au chapitre des lancers, ont joué exactement de la façon dont ils le voulaient, remportant le match 1-0, comme leurs trois victoires précédentes.
"De la défensive à l'attaque, je crois que nous avons un grand match, a indiqué le sélectionneur, Vicente del Bosque. Nous avons toutefois un autre match devant nous, voyons voir si nous serons capables d'y contrôler le ballon. Nous sommes en bonne condition physique. Voyons maintenant si nous pouvons l'emporter."