Ribeiro veut revenir en force
Soccer lundi, 18 févr. 2008. 15:20 mercredi, 11 déc. 2024. 09:52
ESPOSENDE - Après un camp d'entraînement de deux semaines au mois de janvier, en Italie, l'Impact de Montréal a amorcé lundi le deuxième volet de son camp d'entraînement pré-saison au Portugal, où l'équipe séjournera pendant 10 jours dans la ville d'Esposende, à 30 km au sud de Porto.
Ce voyage au Portugal revêtira une importance toute spéciale pour le milieu de terrain québécois Antonio Ribeiro. Non seulement Ribeiro a-t-il raté le premier voyage en Italie en raison d'un séjour avec l'équipe nationale canadienne en Floride, mais il a aussi manqué une grande partie de la dernière saison suite à une blessure persistante à l'aine, dont il espère être rétabli une fois pour toutes cette saison.
«Cela s'est bien passé avec l'équipe nationale, mais je dois être prudent, admet Ribeiro, qui, en compagnie de l'attaquant Charles Gbeke, étaient les deux joueurs de l'Impact invités par l'entraîneur-chef du Canada Dale Mitchell, en vue des qualifications de la Coupe du monde. D'ailleurs, je sais que Nick (De Santis) a parlé à Mitchell pour le mettre au courant de ma situation et de l'importance que je revienne doucement. Finalement, j'ai disputé les trois matchs amicaux du camp en jouant une vingtaine de minutes à la fin de chacune des rencontres. »
Après un bon début de saison l'an dernier, inscrivant deux buts et une passe en 856 minutes de jeu, Ribeiro a aggravé une ancienne blessure à l'aine. Suite à une intervention chirurgicale en 2006 et plusieurs traitements l'an dernier, il est prêt à mettre cela derrière lui.
«Je me sens bien, mais c'est encore tôt pour moi, ajoute-t-il. Je poursuis encore mes traitements pour être en santé. J'espère vraiment que tout va bien se passer cette saison et qu'il n'y aura pas de blessures pour m'arrêter.»
« C'est certain qu'on a besoin d'un gars comme Antonio en santé, explique l'entraîneur-chef de l'Impact Nick De Santis. Il joue un jeu physique et offensif et il nous a montré l'an dernier qu'il pouvait marquer des buts importants. On s'attend a de belles performances de sa part cette année.
De plus, ces 10 jours en sol portugais seront un retour aux sources pour Ribeiro, lui qui est né au Portugal et qui effectue un retour au pays pour la première fois en 17 ans.
« Je suis très excité car c'est la première fois que j'y retourne depuis que mes parents ont déménagé à Montréal en 1991, conclut Ribeiro, qui est natif de Oliveira de Azemeis, dans la région de Porto. Tous mes cousins et cousines demeurent ici et je pense bien faire une visite dès que l'on aura une journée de congé plus tard cette semaine.
Entre-temps, Ribeiro et ses coéquipiers affronteront trois équipes locales lors de matchs préparatoires : le Fao FC (quatrième division) le 21 février, puis AD Fafe (troisième division) le 26 février, avant de conclure le voyage en affrontant le FC Vizela (deuxième division), le 27 février.
Ce voyage au Portugal revêtira une importance toute spéciale pour le milieu de terrain québécois Antonio Ribeiro. Non seulement Ribeiro a-t-il raté le premier voyage en Italie en raison d'un séjour avec l'équipe nationale canadienne en Floride, mais il a aussi manqué une grande partie de la dernière saison suite à une blessure persistante à l'aine, dont il espère être rétabli une fois pour toutes cette saison.
«Cela s'est bien passé avec l'équipe nationale, mais je dois être prudent, admet Ribeiro, qui, en compagnie de l'attaquant Charles Gbeke, étaient les deux joueurs de l'Impact invités par l'entraîneur-chef du Canada Dale Mitchell, en vue des qualifications de la Coupe du monde. D'ailleurs, je sais que Nick (De Santis) a parlé à Mitchell pour le mettre au courant de ma situation et de l'importance que je revienne doucement. Finalement, j'ai disputé les trois matchs amicaux du camp en jouant une vingtaine de minutes à la fin de chacune des rencontres. »
Après un bon début de saison l'an dernier, inscrivant deux buts et une passe en 856 minutes de jeu, Ribeiro a aggravé une ancienne blessure à l'aine. Suite à une intervention chirurgicale en 2006 et plusieurs traitements l'an dernier, il est prêt à mettre cela derrière lui.
«Je me sens bien, mais c'est encore tôt pour moi, ajoute-t-il. Je poursuis encore mes traitements pour être en santé. J'espère vraiment que tout va bien se passer cette saison et qu'il n'y aura pas de blessures pour m'arrêter.»
« C'est certain qu'on a besoin d'un gars comme Antonio en santé, explique l'entraîneur-chef de l'Impact Nick De Santis. Il joue un jeu physique et offensif et il nous a montré l'an dernier qu'il pouvait marquer des buts importants. On s'attend a de belles performances de sa part cette année.
De plus, ces 10 jours en sol portugais seront un retour aux sources pour Ribeiro, lui qui est né au Portugal et qui effectue un retour au pays pour la première fois en 17 ans.
« Je suis très excité car c'est la première fois que j'y retourne depuis que mes parents ont déménagé à Montréal en 1991, conclut Ribeiro, qui est natif de Oliveira de Azemeis, dans la région de Porto. Tous mes cousins et cousines demeurent ici et je pense bien faire une visite dès que l'on aura une journée de congé plus tard cette semaine.
Entre-temps, Ribeiro et ses coéquipiers affronteront trois équipes locales lors de matchs préparatoires : le Fao FC (quatrième division) le 21 février, puis AD Fafe (troisième division) le 26 février, avant de conclure le voyage en affrontant le FC Vizela (deuxième division), le 27 février.