Scolari ne sait pas s'il continuera à entraîner le Brésil
Soccer mardi, 16 juil. 2002. 12:35 samedi, 14 déc. 2024. 10:02
SANTIAGO (AFP) - L'entraîneur Luiz Felipe Scolari, qui a conduit la sélection brésilienne au titre de Champion du monde le mois dernier, a affirmé lundi à Santiago (Chili) que son futur proche se décidera les 29 et 30 juillet, lorsqu'il rencontrera les dirigeants de la Fédération brésilienne de soccer (CBF).
"Felipao", arrivé dimanche à Santiago avec sa famille pour des vacances dans la station balnéaire de Valle Nevado, à 30 km à l'est de la capitale chilienne, a expliqué lors d'une conférence de presse qu'il ne savait pas encore clairement s'il allait continuer à entraîner l'équipe brésilienne.
Revenant sur le Mondial-2002, disputé en juin en Corée du Sud et au Japon, l'entraîneur brésilien a indiqué que la phase finale de la Coupe du monde elle-même, avait été "plus facile" pour son équipe que la phase qualificative sud-américaine.
"Il nous a été plus facile de jouer le Mondial", a expliqué Scolari, ajoutant que pendant les qualifications, il n'avait pas pu compter sur tous ses joueurs à chaque fois. "Pendant le Mondial, j'étais plus tranquille, je pouvais disposer de tous mon effectif", a-t-il ajouté.
Lors des éliminatoires sud-américains, le Brésil n'avait terminé que troisième, derrière l'Argentine et l'Equateur.
Scolari a également indiqué que le match contre la Belgique, en huitièmes de finale, avait été selon lui le plus difficile pour le Brésil lors du Mondial-2002.
"Felipao", arrivé dimanche à Santiago avec sa famille pour des vacances dans la station balnéaire de Valle Nevado, à 30 km à l'est de la capitale chilienne, a expliqué lors d'une conférence de presse qu'il ne savait pas encore clairement s'il allait continuer à entraîner l'équipe brésilienne.
Revenant sur le Mondial-2002, disputé en juin en Corée du Sud et au Japon, l'entraîneur brésilien a indiqué que la phase finale de la Coupe du monde elle-même, avait été "plus facile" pour son équipe que la phase qualificative sud-américaine.
"Il nous a été plus facile de jouer le Mondial", a expliqué Scolari, ajoutant que pendant les qualifications, il n'avait pas pu compter sur tous ses joueurs à chaque fois. "Pendant le Mondial, j'étais plus tranquille, je pouvais disposer de tous mon effectif", a-t-il ajouté.
Lors des éliminatoires sud-américains, le Brésil n'avait terminé que troisième, derrière l'Argentine et l'Equateur.
Scolari a également indiqué que le match contre la Belgique, en huitièmes de finale, avait été selon lui le plus difficile pour le Brésil lors du Mondial-2002.