Séparation entre l'Impact et J. Marsch
Soccer samedi, 3 nov. 2012. 10:28 samedi, 14 déc. 2024. 06:23
MONTRÉAL - Invoquant une décision prise à l'amiable pour le bien du club, l'Impact de Montréal a annoncé samedi que Jesse Marsch n'est plus l'entraineur-chef de l'équipe.
Le président du club, Joey Saputo, l'a annoncé en conférence de presse en matinée, en compagnie de Marsch et du directeur sportif Nick de Santis. Il n'a pas voulu parler de congédiement ou de démission, utilisant les mots «séparation à l'amiable».
Saputo a dit que la décision a été difficile, mais qu'elle a été prise mutuellement. Il a mentionné que Marsch a toujours eu le club à coeur, et qu'il a fait le maximum pour que la formation connaisse du succès.
Saputo a confié qu'il y avait des divergences de philosophies quant aux moyens à prendre pour amener l'équipe à de plus grands succès.
«Nous avons dit mercredi (à l'occasion du bilan de la saison) que nous étions satisfaits du travail de Jesse, et nous le sommes encore, a dit Saputo. Je pense que de l'avoir nommé entraîneur-chef pour la première saison en MLS a été la bonne décision, et je veux le remercier pour son implication et son dévouement envers l'Impact.
«Même si nous avons les même objectifs à long terme pour l'organisation, nous avons réalisé depuis quelques semaines que nous n'avons pas la même philosophie sur les moyens à utiliser pour avoir du succès.
«Avec Jesse, nous avons établi certaines bases à partir desquelles bâtir pour l'avenir. Nous allons maintenant prendre le temps nécessaire pour choisir son remplaçant,» a ajouté Saputo qui, dans l'intérim, considère le club entre de bonnes main avec les adjoints Mike Sorber, Mauro Biello et Denis Hamlett, ainsi que Philippe Eullaffroy, qui dirige l'Académie de l'Impact.
Marsch a dit que cette tournure des choses est ce qui est de mieux pour l'avenir de l'Impact. Se disant fier d'avoir été associé au onze montréalais, il a exprimé sa reconnaissance envers Saputo et De Santis, pour lui avoir donné la chance de diriger le club.
«C'est une décision prise par respect mutuel pour ce qui a été accompli et pour la direction que veut prendre l'équipe, a dit Marsch. Une séparation à l'amiable est devenue la meilleure solution pour l'avenir de l'équipe. Ce n'est pas facile avec les relations qui se sont développées ici, mais je considère que la décision est la bonne.»
Marsch a d'ailleurs remercié les gens de Montréal pour l'accueil qui a été réservé à lui et à sa famille.
Concernant la possibilité qu'une friction intra-équipe entre les mentalités nord-américaines et européennes ait pu mener à la séparation, Saputo dit que ça pourrait l'expliquer en partie, mais qu'il faut voir les choses dans une optique plus large.
«Ça peut être l'une des raisons, oui, mais ce n'est pas la seule raison, a dit Saputo. En regardant la situation globale, il y a des choses que l'on peut changer, mais nous avons constaté que pour certaines choses, ce serait difficile de le faire à long terme. Et la façon de faire progresser l'équipe, c'est d'avoir une vision à long terme.»
Le natif du Wisconsin, qui aura 39 ans jeudi, a été embauché en août 2011 en vue de la première campagne de l'Impact en MLS. Il était avant cela entraîneur-adjoint avec l'équipe nationale masculine des États-Unis
Le club a montré une fiche de 12-16-6 sous ses ordres en 2012, à sa première saison dans le circuit.
L'Impact a aussi annoncé le départ de l'entraîneur des gardiens, Preston Burpo, et de l'entraîneur de la préparation physique, Adam Rotchstein.
Le président du club, Joey Saputo, l'a annoncé en conférence de presse en matinée, en compagnie de Marsch et du directeur sportif Nick de Santis. Il n'a pas voulu parler de congédiement ou de démission, utilisant les mots «séparation à l'amiable».
Saputo a dit que la décision a été difficile, mais qu'elle a été prise mutuellement. Il a mentionné que Marsch a toujours eu le club à coeur, et qu'il a fait le maximum pour que la formation connaisse du succès.
Saputo a confié qu'il y avait des divergences de philosophies quant aux moyens à prendre pour amener l'équipe à de plus grands succès.
«Nous avons dit mercredi (à l'occasion du bilan de la saison) que nous étions satisfaits du travail de Jesse, et nous le sommes encore, a dit Saputo. Je pense que de l'avoir nommé entraîneur-chef pour la première saison en MLS a été la bonne décision, et je veux le remercier pour son implication et son dévouement envers l'Impact.
«Même si nous avons les même objectifs à long terme pour l'organisation, nous avons réalisé depuis quelques semaines que nous n'avons pas la même philosophie sur les moyens à utiliser pour avoir du succès.
«Avec Jesse, nous avons établi certaines bases à partir desquelles bâtir pour l'avenir. Nous allons maintenant prendre le temps nécessaire pour choisir son remplaçant,» a ajouté Saputo qui, dans l'intérim, considère le club entre de bonnes main avec les adjoints Mike Sorber, Mauro Biello et Denis Hamlett, ainsi que Philippe Eullaffroy, qui dirige l'Académie de l'Impact.
Marsch a dit que cette tournure des choses est ce qui est de mieux pour l'avenir de l'Impact. Se disant fier d'avoir été associé au onze montréalais, il a exprimé sa reconnaissance envers Saputo et De Santis, pour lui avoir donné la chance de diriger le club.
«C'est une décision prise par respect mutuel pour ce qui a été accompli et pour la direction que veut prendre l'équipe, a dit Marsch. Une séparation à l'amiable est devenue la meilleure solution pour l'avenir de l'équipe. Ce n'est pas facile avec les relations qui se sont développées ici, mais je considère que la décision est la bonne.»
Marsch a d'ailleurs remercié les gens de Montréal pour l'accueil qui a été réservé à lui et à sa famille.
Concernant la possibilité qu'une friction intra-équipe entre les mentalités nord-américaines et européennes ait pu mener à la séparation, Saputo dit que ça pourrait l'expliquer en partie, mais qu'il faut voir les choses dans une optique plus large.
«Ça peut être l'une des raisons, oui, mais ce n'est pas la seule raison, a dit Saputo. En regardant la situation globale, il y a des choses que l'on peut changer, mais nous avons constaté que pour certaines choses, ce serait difficile de le faire à long terme. Et la façon de faire progresser l'équipe, c'est d'avoir une vision à long terme.»
Le natif du Wisconsin, qui aura 39 ans jeudi, a été embauché en août 2011 en vue de la première campagne de l'Impact en MLS. Il était avant cela entraîneur-adjoint avec l'équipe nationale masculine des États-Unis
Le club a montré une fiche de 12-16-6 sous ses ordres en 2012, à sa première saison dans le circuit.
L'Impact a aussi annoncé le départ de l'entraîneur des gardiens, Preston Burpo, et de l'entraîneur de la préparation physique, Adam Rotchstein.