Victoire convaincante du Pérou
Soccer mercredi, 27 juin 2007. 09:45 samedi, 14 déc. 2024. 18:35
CARACAS - Le Pérou a pris la tête du groupe A de la Copa America en s'imposant largement (3-0) face à l'Uruguay, mardi à Barquisimeto lors de la première journée, profitant également du match nul (2-2) entre le pays hôte, le Venezuela, et la Bolivie.
Les Péruviens, contre toute attente, ont dominé d'un bout à l'autre la rencontre. Ils ont ouvert le score peu avant la demi-heure de jeu grâce à leur défenseur Miguel Villalta.
Supérieurs tactiquement, notamment grâce à leur meneur de jeu Jefferson Farfan, qui a pourvu en ballons ses attaquants Claudio Pizarro et Paolo Guerrero sans jamais être inquiétés par les Uruguayens, ils ont logiquement aggravé la marque à la 69e minute par Marino, puis rendu leur succès incontestable grâce à un but de Guerrerro en toute fin de match (3-0, 88e).
"Jamais je n'aurais pensé que le Pérou nous battrait aussi largement", a reconnu le sélectionneur uruguayen, Oscar Tabarez, à l'issue de la rencontre. Son homologue péruvien, Uribe, s'est lui contenté de déclarer que son équipe avait bien joué mais il a prévenu qu'elle pouvait "mieux jouer encore".
Le Pérou tentera de confirmer son inattendue position de leader samedi face au Venezuela.
La deuxième rencontre de cette première journée, entre le Venezuela et la Bolivie, à San Cristobal (nord-est) fut nettement plus équilibrée. Les hôtes de la compétition se sont fait par deux fois rejoindre alors qu'ils menaient au score. Ils avaient ouvert la marque par leur attaquant Giancarlo Maldonado, le meilleur homme sur le terrain malgré la bonne défense bolivienne, à la 21e minute de jeu.
Les Boliviens parvenaient à égaliser avant la mi-temps, par Jaime Moreno (38e). La seconde période livra un scénario quasi identique, Ricardo Paez redonnant l'avantage au Venezuela peu avant l'heure de jeu et le Bolivien Arce égalisant à six minutes du coup de sifflet final.
Avant le match, près de 40.000 personnes avaient assisté à la cérémonie d'ouverture de la compétition, réservant une ovation aux présidents vénézuéliens Hugo Chavez et bolivien Evo Morales, ainsi qu'à l'idole du soccer argentin, Diego Maradona.
Les Péruviens, contre toute attente, ont dominé d'un bout à l'autre la rencontre. Ils ont ouvert le score peu avant la demi-heure de jeu grâce à leur défenseur Miguel Villalta.
Supérieurs tactiquement, notamment grâce à leur meneur de jeu Jefferson Farfan, qui a pourvu en ballons ses attaquants Claudio Pizarro et Paolo Guerrero sans jamais être inquiétés par les Uruguayens, ils ont logiquement aggravé la marque à la 69e minute par Marino, puis rendu leur succès incontestable grâce à un but de Guerrerro en toute fin de match (3-0, 88e).
"Jamais je n'aurais pensé que le Pérou nous battrait aussi largement", a reconnu le sélectionneur uruguayen, Oscar Tabarez, à l'issue de la rencontre. Son homologue péruvien, Uribe, s'est lui contenté de déclarer que son équipe avait bien joué mais il a prévenu qu'elle pouvait "mieux jouer encore".
Le Pérou tentera de confirmer son inattendue position de leader samedi face au Venezuela.
La deuxième rencontre de cette première journée, entre le Venezuela et la Bolivie, à San Cristobal (nord-est) fut nettement plus équilibrée. Les hôtes de la compétition se sont fait par deux fois rejoindre alors qu'ils menaient au score. Ils avaient ouvert la marque par leur attaquant Giancarlo Maldonado, le meilleur homme sur le terrain malgré la bonne défense bolivienne, à la 21e minute de jeu.
Les Boliviens parvenaient à égaliser avant la mi-temps, par Jaime Moreno (38e). La seconde période livra un scénario quasi identique, Ricardo Paez redonnant l'avantage au Venezuela peu avant l'heure de jeu et le Bolivien Arce égalisant à six minutes du coup de sifflet final.
Avant le match, près de 40.000 personnes avaient assisté à la cérémonie d'ouverture de la compétition, réservant une ovation aux présidents vénézuéliens Hugo Chavez et bolivien Evo Morales, ainsi qu'à l'idole du soccer argentin, Diego Maradona.