Victor Montagliani est optimiste
Soccer mardi, 25 déc. 2012. 14:08 vendredi, 13 déc. 2024. 04:00
TORONTO - Le président de l'Association canadienne de soccer Victor Montagliani est étonnamment optimiste à propos de l'avenir, en dépit du fait que l'équipe nationale masculine ait connu la pire défaite de son histoire cette année.
Montagliani était au Honduras en octobre lorsque la formation canadienne a été humiliée 8-1 lors d'un match de qualification pour la Coupe du monde un match qui a d'ailleurs coûté son poste à l'entraîneur-chef Stephen Hart.
Non seulement ce revers subi à San Pedro Sula a mis un termes aux espoirs des Canadiens de se qualifier pour la Coupe du monde, mais il a coûté très cher à l'équipe masculine en termes de crédibilité auprès des amateurs de soccer canadiens.
L'équipe canadienne a complété 2012 avec une fiche de 4-3-2, amorçant l'année au 72e échelon mondial et la terminant au 64e.
Mais les seuls chiffres qu'on retient sont le huit et le un.
«Cette défaite de 8-1 a fait mal», a admis Montagliani. Ça fait encore mal.
«Comme je l'ai dit au comité (de directeurs), c'est le genre de chose que je ne veux plus jamais revivre. Personne ne veut vivre ça. Mais je crois que nous devons tirer des leçons de cette expérience.
«Nous avons encaissé d'autres défaites aussi importantes... Et je ne suis pas certain que nous ayons tiré des leçons. Mais nous devons le faire, parce qu'un match de football ne t'apprend pas nécessairement à avoir du caractère, mais il révèle ceux qui en ont.»
L'évalutation post-mortem de cet échec en qualifications pour la Coupe du monde est presque terminée.
«Après avoir analysé la situation, nous avons identifié quelques trucs que nous pouvons améliorer et que nous allons améliorer», a-t-il expliqué.
Il a cependant refusé de donner plus de détails sur l'analyse avant qu'elle ne soit complétée.
En janvier, le Canada tentera de faire oublier cet échec lamentable encaissé à San Pedro Sula à l'occasion de matchs amicaux au sud de la frontière contre le Danemark et les États-Unis.
Et Montagliani a promis que l'équipe restera occupée cette année.
«La réalité, c'est que ce sera une jeune équipe et qu'elle a besoin d'acquérir de l'expérience», a-t-il mentionné.
Hart étant maintenant de l'histoire ancienne et le processus de recherche d'un nouvel entraîneur étant toujours en cours, l'équipe nationale sera dirigée par quelqu'un d'impliqué très prochainement.
Montagliani a reconnu que le processus de recherche du bon entraîneur pour succéder à Hart est essentiel pour assurer la progression de l'équipe canadienne. Il refuse toutefois de reconnaître que le programme national masculin demeure risible, surtout après l'humiliation subie au Honduras.
«Honnêtement, j'ai été surpris de voir que les critiques se sont arrêtées rapidement», a-t-il dit en entrevue. «Et je crois que c'est parce que le programme a démontré que nous progressions.
«Oui, malheureusement, la chute lors du dernier match était vertigineuse en raison du résultat final. Mais si vous regardez les équipes qui se sont qualifiées pour le Hex (la dernière ronde de qualifications de la CONCACAF), outre le Mexique, elles avaient toutes entre dix et 11 points comme nous.
«Donc, nous étions plus près que jamais de l'objectif. Mais je ne crois pas que ce soit à cause des points, car c'est plutôt à propos du progrès que le programme a fait afin d'élargir le bassin de joueurs disponibles.
«Nous étions tous de toute évidence en état de choc après le résultat (au Honduras). Certes, nous étions en colère, à commencer par moi, au départ. Mais je crois (qu'après) une pause afin de réfléchir... Je crois que les gens sont positifs en ce sens qu'ils savent ce qui s'en vient pour notre équipe olympique et celle de nos moins de 20 ans, ainsi que le noyau de vétérans qui sont toujours avec l'équipe nationale, et ils savent que nous préparons le terrain pour la prochaine phase qui nous permettra d'accéder au Hex en 2016.»
Montagliani était au Honduras en octobre lorsque la formation canadienne a été humiliée 8-1 lors d'un match de qualification pour la Coupe du monde un match qui a d'ailleurs coûté son poste à l'entraîneur-chef Stephen Hart.
Non seulement ce revers subi à San Pedro Sula a mis un termes aux espoirs des Canadiens de se qualifier pour la Coupe du monde, mais il a coûté très cher à l'équipe masculine en termes de crédibilité auprès des amateurs de soccer canadiens.
L'équipe canadienne a complété 2012 avec une fiche de 4-3-2, amorçant l'année au 72e échelon mondial et la terminant au 64e.
Mais les seuls chiffres qu'on retient sont le huit et le un.
«Cette défaite de 8-1 a fait mal», a admis Montagliani. Ça fait encore mal.
«Comme je l'ai dit au comité (de directeurs), c'est le genre de chose que je ne veux plus jamais revivre. Personne ne veut vivre ça. Mais je crois que nous devons tirer des leçons de cette expérience.
«Nous avons encaissé d'autres défaites aussi importantes... Et je ne suis pas certain que nous ayons tiré des leçons. Mais nous devons le faire, parce qu'un match de football ne t'apprend pas nécessairement à avoir du caractère, mais il révèle ceux qui en ont.»
L'évalutation post-mortem de cet échec en qualifications pour la Coupe du monde est presque terminée.
«Après avoir analysé la situation, nous avons identifié quelques trucs que nous pouvons améliorer et que nous allons améliorer», a-t-il expliqué.
Il a cependant refusé de donner plus de détails sur l'analyse avant qu'elle ne soit complétée.
En janvier, le Canada tentera de faire oublier cet échec lamentable encaissé à San Pedro Sula à l'occasion de matchs amicaux au sud de la frontière contre le Danemark et les États-Unis.
Et Montagliani a promis que l'équipe restera occupée cette année.
«La réalité, c'est que ce sera une jeune équipe et qu'elle a besoin d'acquérir de l'expérience», a-t-il mentionné.
Hart étant maintenant de l'histoire ancienne et le processus de recherche d'un nouvel entraîneur étant toujours en cours, l'équipe nationale sera dirigée par quelqu'un d'impliqué très prochainement.
Montagliani a reconnu que le processus de recherche du bon entraîneur pour succéder à Hart est essentiel pour assurer la progression de l'équipe canadienne. Il refuse toutefois de reconnaître que le programme national masculin demeure risible, surtout après l'humiliation subie au Honduras.
«Honnêtement, j'ai été surpris de voir que les critiques se sont arrêtées rapidement», a-t-il dit en entrevue. «Et je crois que c'est parce que le programme a démontré que nous progressions.
«Oui, malheureusement, la chute lors du dernier match était vertigineuse en raison du résultat final. Mais si vous regardez les équipes qui se sont qualifiées pour le Hex (la dernière ronde de qualifications de la CONCACAF), outre le Mexique, elles avaient toutes entre dix et 11 points comme nous.
«Donc, nous étions plus près que jamais de l'objectif. Mais je ne crois pas que ce soit à cause des points, car c'est plutôt à propos du progrès que le programme a fait afin d'élargir le bassin de joueurs disponibles.
«Nous étions tous de toute évidence en état de choc après le résultat (au Honduras). Certes, nous étions en colère, à commencer par moi, au départ. Mais je crois (qu'après) une pause afin de réfléchir... Je crois que les gens sont positifs en ce sens qu'ils savent ce qui s'en vient pour notre équipe olympique et celle de nos moins de 20 ans, ainsi que le noyau de vétérans qui sont toujours avec l'équipe nationale, et ils savent que nous préparons le terrain pour la prochaine phase qui nous permettra d'accéder au Hex en 2016.»