Wenger réclame encore la reprise vidéo
Soccer vendredi, 13 avr. 2012. 12:14 mercredi, 11 déc. 2024. 13:18
LONDRES - Le manageur français d'Arsenal, Arsène Wenger, a réitéré vendredi son envie de voir la vidéo être introduite dans le football professionnel, espérant que les arbitres puissent ainsi arrêter un match pour consulter les images et prendre une décision.
« Le week-end dernier a été très mauvais en terme de décisions arbitrales. Les autorités du football doivent faire quelque chose pour améliorer tout ça. La vidéo viendrait en aide aux arbitres et ne remettrait pas en cause leur autorité », a jugé Wenger en conférence de presse.
« Au contraire, cela leur donnerait plus de crédit, plus d'autorité et réduirait le nombre d'erreurs. Nous avons besoin de ralentis vidéo instantanés à la demande de l'arbitre. Ils pourraient arrêter le jeu pour voir un ralenti et prendre la bonne décision » a poursuivi le technicien français.
« Je ne pense pas que les arbitres sont mauvais. Je pense que le jeu va trop vite. C'est impossible pour un être humain de tout voir. Avec le ralenti vidéo instantané, sur 100 situations, il y aurait beaucoup moins d'erreurs qu'aujourd'hui parce que les arbitres seraient aidés », a-t-il conclu.
« Le week-end dernier a été très mauvais en terme de décisions arbitrales. Les autorités du football doivent faire quelque chose pour améliorer tout ça. La vidéo viendrait en aide aux arbitres et ne remettrait pas en cause leur autorité », a jugé Wenger en conférence de presse.
« Au contraire, cela leur donnerait plus de crédit, plus d'autorité et réduirait le nombre d'erreurs. Nous avons besoin de ralentis vidéo instantanés à la demande de l'arbitre. Ils pourraient arrêter le jeu pour voir un ralenti et prendre la bonne décision » a poursuivi le technicien français.
« Je ne pense pas que les arbitres sont mauvais. Je pense que le jeu va trop vite. C'est impossible pour un être humain de tout voir. Avec le ralenti vidéo instantané, sur 100 situations, il y aurait beaucoup moins d'erreurs qu'aujourd'hui parce que les arbitres seraient aidés », a-t-il conclu.