Avez-vous des idées?
$content.firstChildCategorie mercredi, 9 juil. 2014. 21:35 lundi, 13 janv. 2014. 23:04J’espère que vous vous souviendrez encore des récentes paroles du directeur général Marc Bergevin à propos de son équipe. Visiblement, il la bâtira par le repêchage et par le développement des jeunes. Il faut donc envisager un plan triennal, voire même quinquennal si on mesure bien les paroles du grand patron. Et pourquoi d’ailleurs en serait-il autrement?
Il s’est écoulé cinq ans entre l’arrivée de Ryan Getzlaf et Corey Perry et la Coupe Stanley des Ducks.
Il a fallu également cinq ans entre les arrivées de Sidney Crosby, Kristopher Letang et Evgeni Malkin et la Coupe Stanley des Penguins en 2009.
Enfin, on peut également faire le même parallèle avec les Hawks de Chicago et leur conquête de 2010. Les Hawks étaient tellement minables qu’ils avaient raté les séries neuf années sur dix. Ce faisant, ils ont pu profiter des arrivées de Duncan Keith en 2002, Brent Seabrook en 2003, Jonathan Toews en 2006 et Patrick Kane en 2007. La route a été longue à Chicago et pendant des années, le United Center était vide. Des années de vache maigre avant de devenir une puissance de la ligue.
Voilà trois exemples et Marc Bergevin, vous le savez, est intimement relié aux succès des Hawks. Pourquoi alors opterait-il pour une autre façon de faire? En ce moment, le Canadien occupe le 10e rang de l’Association de l’Est et la base de l’équipe est très bonne.
Patience et longueur de temps mèneront au succès.
L’avantage numérique en panne
Le Tricolore n’a pas marqué à ses 14 dernières tentatives en avantage numérique. Et depuis plusieurs matchs, le Canadien éprouve des difficultés à ce chapitre. Du top-5 de la ligue, cette unité spéciale occupe désormais le 10e rang.
La semaine dernière, Vincent Damphousse, Guy Carbonneau, P.J. Stock et Gaston Therrien avaient élaboré des pistes de solution pour relancer la supériorité numérique du Canadien. Puisque toutes les équipes connaissent et redoutent le tir frappé de P.K. Subban, on s’est ajusté en faisant monter un attaquant à la ligne bleue pour l’empêcher de tirer. Logiquement, ce joueur qui s’amène à la ligne bleue devrait créer de l’espace dans l’enclave. Selon nos experts, l’autre solution consistait à travailler davantage dans le bas de la zone d’attaque. En fait, il faudra arriver à créer de nouveaux patrons en avantage numérique. Avec un total de seulement 123 buts marqués depuis le début du calendrier régulier, le Canadien n’a pas les moyens de rater trop de chances avec l’avantage d’un homme.
Et vous chers amateurs, quelles seraient vos solutions pour relancer l’attaque à cinq?
Stéphane Langdeau
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