Le marathton dans l'eau de Levasseur
Sports divers vendredi, 3 sept. 2010. 21:30 vendredi, 13 déc. 2024. 07:04
TROIS-RIVIÈRES - Avant le départ samedi des 62 équipes à la 77e Classique internationale de canots en Mauricie, à La Tuque, la nageuse Heidi Levasseur tentera de relever un défi personnel.
Bien que son périple ait débuté vendredi par une première étape d'environ 30 km reliant Shawinigan et Trois-Rivières, c'est samedi que s'amorcera le véritable défi d'Heidi Levasseur alors qu'elle parcourra les 85 km entre La Tuque et Saint-Roch-de-Mékinac, soit la plus longue étape de son voyage de trois jours à la nage dans les eaux de la rivière Saint-Maurice.
La nageuse qui se spécialise dans les longues distances se disait confiante de compléter cette longue étape dans les délais fixés lors de son arrivée à Trois-Rivières vendredi après-midi. Elle prendra le départ à compter de 6 h samedi à La Tuque et prévoit arriver au Camping Mékinac entre 23 h et minuit. Dimanche, elle fera le trajet entre Saint-Roch-de-Mékinac et Shawinigan.
"C'est l'épreuve, parce que je n'ai jamais fait une journée aussi longue avec une telle distance", a-t-elle lancé avec des étincelles dans les yeux.
La journée de vendredi constituait donc une préparation pour la grosse journée qui l'attend samedi.
"On avait prévu une journée facile au début. C'était un peu pour me réchauffer. J'ai même dû arrêter un peu parce que je nageais trop vite. J'ai notamment fait la première étape avant La Gabelle en 2 h 27 et je pensais la faire en trois heures. J'ai également nagé rapidement dans la deuxième partie", a-t-elle raconté à son arrivée vendredi.
Même si elle considère que sa première journée a été relativement facile, elle a confié qu'elle a tout de même dû passer à travers quelques épreuves. Le bas niveau de l'eau dans la section des rapides lui a notamment causé des petits problèmes.
"Ça a tout de même bien été même si j'ai dû m'accrocher au kayak qui me suivait parce qu'il n'y avait pas assez d'eau. J'avais peur de m'accrocher les genoux. J'ai recommencé après", a-t-elle indiqué.
Ce périple est le troisième que la nageuse entreprend cet été. Elle a précédemment descendu le fleuve Saint-Laurent entre Montréal et Québec et fait le tour du Lac-Saint-Jean. Elle a également descendu la rivière Saint-Maurice en cinq jours l'an dernier, aussi dans le cadre de la Classique internationale de canots.
Comme chaque fois qu'elle se lance un défi, la nageuse s'est associée à une cause. Ce sont les Centres d'Action Bénévole de Shawinigan et de Grand-Mère qui seront les bénéficiaires cette fois.
Bien que son périple ait débuté vendredi par une première étape d'environ 30 km reliant Shawinigan et Trois-Rivières, c'est samedi que s'amorcera le véritable défi d'Heidi Levasseur alors qu'elle parcourra les 85 km entre La Tuque et Saint-Roch-de-Mékinac, soit la plus longue étape de son voyage de trois jours à la nage dans les eaux de la rivière Saint-Maurice.
La nageuse qui se spécialise dans les longues distances se disait confiante de compléter cette longue étape dans les délais fixés lors de son arrivée à Trois-Rivières vendredi après-midi. Elle prendra le départ à compter de 6 h samedi à La Tuque et prévoit arriver au Camping Mékinac entre 23 h et minuit. Dimanche, elle fera le trajet entre Saint-Roch-de-Mékinac et Shawinigan.
"C'est l'épreuve, parce que je n'ai jamais fait une journée aussi longue avec une telle distance", a-t-elle lancé avec des étincelles dans les yeux.
La journée de vendredi constituait donc une préparation pour la grosse journée qui l'attend samedi.
"On avait prévu une journée facile au début. C'était un peu pour me réchauffer. J'ai même dû arrêter un peu parce que je nageais trop vite. J'ai notamment fait la première étape avant La Gabelle en 2 h 27 et je pensais la faire en trois heures. J'ai également nagé rapidement dans la deuxième partie", a-t-elle raconté à son arrivée vendredi.
Même si elle considère que sa première journée a été relativement facile, elle a confié qu'elle a tout de même dû passer à travers quelques épreuves. Le bas niveau de l'eau dans la section des rapides lui a notamment causé des petits problèmes.
"Ça a tout de même bien été même si j'ai dû m'accrocher au kayak qui me suivait parce qu'il n'y avait pas assez d'eau. J'avais peur de m'accrocher les genoux. J'ai recommencé après", a-t-elle indiqué.
Ce périple est le troisième que la nageuse entreprend cet été. Elle a précédemment descendu le fleuve Saint-Laurent entre Montréal et Québec et fait le tour du Lac-Saint-Jean. Elle a également descendu la rivière Saint-Maurice en cinq jours l'an dernier, aussi dans le cadre de la Classique internationale de canots.
Comme chaque fois qu'elle se lance un défi, la nageuse s'est associée à une cause. Ce sont les Centres d'Action Bénévole de Shawinigan et de Grand-Mère qui seront les bénéficiaires cette fois.