Pour la restructuration d'Attractions hippiques?
Sports divers mercredi, 30 sept. 2009. 10:59 mercredi, 11 déc. 2024. 14:46
MONTRÉAL - Le syndic R-S-M Richter a transmis mercredi aux créanciers le plan de restructuration d'Attractions Hippiques, qu'il leur recommande d'accepter.
Ce plan vise notamment à rembourser une partie de la dette des créanciers de même que le maintien des courses de chevaux en direct à Québec et de la retransmission des courses inter-pistes. La dette de quelque 12 millions $ à l'endroit des créanciers ordinaires appartient au sénateur Paul Massicotte.
Attractions Hippiques prévoit d'autres compressions de dépenses et offre aux créanciers l'occasion de partager la distribution d'à peine 1 million $. Le contrôleur qui supervise la restructuration d'Attractions hippiques, Yves Vincent, avait d'ailleurs prévenu en juillet dernier que les créanciers ordinaires ne pourraient probablement pas se partager bien plus qu'un million $.
M.Vincent ajoutait que les créanciers garantis, principalement des banques, perdraient vraisemblablement la totalité de leur mise, soit 52 millions $.
Si le plan est rejeté, la faillite d'Attractions Hippiques sera fort probable et, selon la compagnie, entraînera la fermeture définitive et permanente de l'industrie des courses de chevaux au Québec.
Il n'y a plus de courses dans les hippodromes québécois depuis plusieurs mois. Seuls les paris mutuels et les appareils de loterie vidéo continuent de générer des revenus.
Ce plan vise notamment à rembourser une partie de la dette des créanciers de même que le maintien des courses de chevaux en direct à Québec et de la retransmission des courses inter-pistes. La dette de quelque 12 millions $ à l'endroit des créanciers ordinaires appartient au sénateur Paul Massicotte.
Attractions Hippiques prévoit d'autres compressions de dépenses et offre aux créanciers l'occasion de partager la distribution d'à peine 1 million $. Le contrôleur qui supervise la restructuration d'Attractions hippiques, Yves Vincent, avait d'ailleurs prévenu en juillet dernier que les créanciers ordinaires ne pourraient probablement pas se partager bien plus qu'un million $.
M.Vincent ajoutait que les créanciers garantis, principalement des banques, perdraient vraisemblablement la totalité de leur mise, soit 52 millions $.
Si le plan est rejeté, la faillite d'Attractions Hippiques sera fort probable et, selon la compagnie, entraînera la fermeture définitive et permanente de l'industrie des courses de chevaux au Québec.
Il n'y a plus de courses dans les hippodromes québécois depuis plusieurs mois. Seuls les paris mutuels et les appareils de loterie vidéo continuent de générer des revenus.
