Team New Zeland rejoint Luna Rossa
Sports divers mercredi, 23 mai 2007. 10:55 samedi, 14 déc. 2024. 14:21
VALENCE, Espagne - Le syndicat Emirates Team New Zealand, certainement pressé d'en finir, n'a laissé aucune chance mercredi au Desafio Espanol lors de la 7e manche de la seconde demi-finale de la Coupe Louis-Vuitton et s'est qualifié pour la finale.
Team New Zealand affrontera à partir du 1er juin le défi italien Luna Rossa, qualifié dès dimanche face à l'américain BMW Oracle. Le vainqueur de la Coupe Louis-Vuitton aura ensuite le droit de défier le bateau suisse Alinghi, tenant de la Coupe de l'America.
Les Espagnols du Desafio sont certes éliminés mais ils ont plus que rempli leurs objectifs. D'abord en se qualifiant pour les demi-finales. Si elle était attendue, devant leur public et après de bons résultats lors des actes préliminaires, cette qualification était loin d'être acquise.
Le barreur polonais Karol Jablonski et son équipage ont ensuite offert une résistance inattendue face à Team New Zealand, présenté comme le challengeur N.1. Ils peuvent aussi se vanter d'avoir "duré" plus longtemps dans la compétition que le géant américain BMW Oracle, soufflé par Luna Rossa (5-1).
Leur victoire dimanche, qui réduisait le score à 2-4, avait relancé l'intérêt. Mais les Néo-Zélandais, qui n'ont jamais perdu deux fois de suite contre les Espagnols, ont fait la course parfaite mercredi.
"Du 50-50" contre Luna Rossa
"Ils méritent de gagner aujourd'hui (mercredi) et ils méritent de gagner la demi-finale", a reconnu avec le sourire Karol Jablonski. Je suis très content de la performance de l'équipe. Nous sommes ravis de ce que nous avons accompli."
Dans des conditions musclées -vent autour de 15 noeuds et vagues de plus d'un mètre- le barreur néo-zélandais Dean Barker a pris un départ nettement meilleur et sans prendre le moindre risque.
Le bateau à la coque noire franchissait la ligne virtuelle bien après le départ mais avec déjà 14 secondes d'avance sur son adversaire.
L'écart à la première bouée était de 38 secondes et n'a ensuite cessé d'augmenter (50 sec puis 1 min 04 et 1 min 18 à l'arrivée). Seule une avarie sur le bateau "kiwi" aurait pu remettre le bateau espagnol dans la course.
Les Néo-Zélandais ont aussi balayé les commentaires qui assuraient que leur bateau était un peu moins performant par fort vent.
Le duel avec Luna Rossa et le jeune barreur James Spithill, impressionnants face au BMW Oracle de Chris Dickson, s'annonce somptueux.
"Ils ont un bateau rapide et de bons marins", a commenté Terry Hutchinson, le tacticien américain de Team New Zealand. "Pour moi, ce sera du 50-50".
Team New Zealand affrontera à partir du 1er juin le défi italien Luna Rossa, qualifié dès dimanche face à l'américain BMW Oracle. Le vainqueur de la Coupe Louis-Vuitton aura ensuite le droit de défier le bateau suisse Alinghi, tenant de la Coupe de l'America.
Les Espagnols du Desafio sont certes éliminés mais ils ont plus que rempli leurs objectifs. D'abord en se qualifiant pour les demi-finales. Si elle était attendue, devant leur public et après de bons résultats lors des actes préliminaires, cette qualification était loin d'être acquise.
Le barreur polonais Karol Jablonski et son équipage ont ensuite offert une résistance inattendue face à Team New Zealand, présenté comme le challengeur N.1. Ils peuvent aussi se vanter d'avoir "duré" plus longtemps dans la compétition que le géant américain BMW Oracle, soufflé par Luna Rossa (5-1).
Leur victoire dimanche, qui réduisait le score à 2-4, avait relancé l'intérêt. Mais les Néo-Zélandais, qui n'ont jamais perdu deux fois de suite contre les Espagnols, ont fait la course parfaite mercredi.
"Du 50-50" contre Luna Rossa
"Ils méritent de gagner aujourd'hui (mercredi) et ils méritent de gagner la demi-finale", a reconnu avec le sourire Karol Jablonski. Je suis très content de la performance de l'équipe. Nous sommes ravis de ce que nous avons accompli."
Dans des conditions musclées -vent autour de 15 noeuds et vagues de plus d'un mètre- le barreur néo-zélandais Dean Barker a pris un départ nettement meilleur et sans prendre le moindre risque.
Le bateau à la coque noire franchissait la ligne virtuelle bien après le départ mais avec déjà 14 secondes d'avance sur son adversaire.
L'écart à la première bouée était de 38 secondes et n'a ensuite cessé d'augmenter (50 sec puis 1 min 04 et 1 min 18 à l'arrivée). Seule une avarie sur le bateau "kiwi" aurait pu remettre le bateau espagnol dans la course.
Les Néo-Zélandais ont aussi balayé les commentaires qui assuraient que leur bateau était un peu moins performant par fort vent.
Le duel avec Luna Rossa et le jeune barreur James Spithill, impressionnants face au BMW Oracle de Chris Dickson, s'annonce somptueux.
"Ils ont un bateau rapide et de bons marins", a commenté Terry Hutchinson, le tacticien américain de Team New Zealand. "Pour moi, ce sera du 50-50".