À fleur de peau!
Tennis jeudi, 21 janv. 2010. 19:29 samedi, 14 déc. 2024. 13:24
L'Open d'Australie est le premier grand tournoi de l'année 2010 et certaines joueuses parmi les meilleures éprouvent déjà des sueurs froides, même si on est aux Antipodes et que l'été austral est toujours aussi chaud.
Maria Sharapova, longtemps sur le carreau (épaule) et en manque de matchs, a été cueillie à froid par sa bonne (sic) copine Maria Kirilenko. Les double-fautes hantent de nouveau la Russe. Voilà pour la pression que Sharapova s'inflige à elle-même (depuis justement une certaine rencontre face à Serena Willliams, à Melbourne, il y a de cela deux ans)!
Ana Ivanovic, elle, a trouvé une nouvelle façon de s'exprimer. L'autodestruction! On ne sait plus trop où en est vraiment la Serbe. Elle a quitté le top 10 depuis déjà un bon moment. Elle s'étiole.
L'autre forme de pression qui vient troubler l'ordre chancelant du circuit est le retour en force de deux Belges, Clijsters et Henin. Dès son arrivée, l'été dernier, Kim Clijsters, récente championne du US Open, fait la pluie et le beau temps. Comme si elle n'avait jamais quittée! Et, plus récemment, le retour de Justine Henin, applaudie par les fans du monde entier, est venu jeter une douche froide parmi l'élite.
«L'accueil a été agréable chez la plupart des filles moins bien classées; les meilleures ont décidé de prendre leurs distances!», note justement Justine. Et, ne nous étonnons pas, Henin est bien consciente qu'elle a les moyens pour distancer le peloton.
Elena Dementieva, évincée dès le deuxième tour par la Wallonne, ne s'est même pas révoltée. «On a l'impression qu'elle n'a jamais arrêté. Elle joue aussi bien qu'avant!»
Les Belges ont rendez-vous en quart de finale. Les soeurs Williams itou.
La suite des choses vers le carré d'as s'annonce palpitante.
Maria Sharapova, longtemps sur le carreau (épaule) et en manque de matchs, a été cueillie à froid par sa bonne (sic) copine Maria Kirilenko. Les double-fautes hantent de nouveau la Russe. Voilà pour la pression que Sharapova s'inflige à elle-même (depuis justement une certaine rencontre face à Serena Willliams, à Melbourne, il y a de cela deux ans)!
Ana Ivanovic, elle, a trouvé une nouvelle façon de s'exprimer. L'autodestruction! On ne sait plus trop où en est vraiment la Serbe. Elle a quitté le top 10 depuis déjà un bon moment. Elle s'étiole.
L'autre forme de pression qui vient troubler l'ordre chancelant du circuit est le retour en force de deux Belges, Clijsters et Henin. Dès son arrivée, l'été dernier, Kim Clijsters, récente championne du US Open, fait la pluie et le beau temps. Comme si elle n'avait jamais quittée! Et, plus récemment, le retour de Justine Henin, applaudie par les fans du monde entier, est venu jeter une douche froide parmi l'élite.
«L'accueil a été agréable chez la plupart des filles moins bien classées; les meilleures ont décidé de prendre leurs distances!», note justement Justine. Et, ne nous étonnons pas, Henin est bien consciente qu'elle a les moyens pour distancer le peloton.
Elena Dementieva, évincée dès le deuxième tour par la Wallonne, ne s'est même pas révoltée. «On a l'impression qu'elle n'a jamais arrêté. Elle joue aussi bien qu'avant!»
Les Belges ont rendez-vous en quart de finale. Les soeurs Williams itou.
La suite des choses vers le carré d'as s'annonce palpitante.