Andy Murray a affirmé mardi à Roland-Garros que sa récente séparation avec son entraîneur Amélie Mauresmo n'était pas due à son comportement sur le terrain.

« Dire que la raison pour laquelle nous avons cessé de travailler ensemble est mon comportement sur le court n'est pas vrai », a dit le Britannique.

Ses colères, et notamment les injures dont il s'abreuve lui-même la plupart du temps, mais qui visent aussi parfois son équipe assise en tribunes, ont été évoquées par la presse comme explication à la fin de la collaboration.

Dans L’Équipe Magazine, la Française avait dit qu'elle ne « souhaitait plus être » dans le carré réservé aux entraîneurs.

S'exprimant lors de sa conférence de presse, après sa victoire sur le Tchèque Radek Stepanek au premier tour, Murray a assuré qu'il avait une « très bonne relation » avec Mauresmo.

Il a démenti également avoir eu une discussion orageuse avec elle au tournoi de Madrid, avant l'annonce de leur séparation. « C'était loin d'être chaud. Nous avons parlé très calmement », a-t-il assuré.

Mauresmo entraînait Murray depuis 2014.