Dementieva et Serena en quarts
Tennis dimanche, 25 janv. 2009. 21:48 vendredi, 13 déc. 2024. 16:49
MELBOURNE - La Russe Elena Dementieva, quatrième favorite des Internationaux d'Australie, s'est qualifiée pour les quarts de finale en battant la Slovaque Dominika Cibulkova, classée 18e, en deux manches identiques de 6-2, lundi à Melbourne.
Dementieva rencontrera l'Espagnole Carla Suarez Navarro, qui a battu sa compatriote Anabel Medina Garrigues, tête de série No 21, en deux manches de 6-3, 6-2.
Un peu plus tard, Serena Williams a profité de l'abandon de Victoria Azarenka pour passer au tour suivant. Williams menait 4-2 à la deuxième manche après avoir été battue 6-3 à la première.
"Je déteste ce qui est arrivé, a commenté Serena. Elle jouait si bien! J'espère qu'elle ira mieux et qu'elle a pris la bonne décision."
Ironie du sort, Serena rencontrera en quarts de finale la Russe Svetlana Kuznetsova qui a, elle-même, profité de l'abandon de la Chinoise Jie Zheng, touchée comme Monfils au poignet, à 4-1 au premier set.
C'est mieux sans double-fautes pour Dementieva
Ancienne championne du monde officieuse des double-fautes, Elena Dementieva reconnaît que ses chances de remporter enfin un tournoi du Grand Chelem ont augmenté depuis qu'elle a progressé au service.
"Je sers bien mieux que par le passé, même s'il n'est pas parfait, mon geste a évolué, c'est plus facile de gagner sans faire une dizaine de double-fautes par match", a déclaré la Russe après sa qualification pour les quarts de finale.
La numéro quatre mondiale, qui avait réussi "l'exploit" d'atteindre les finales de Roland-Garros et du US Open en 2004 avec une mise en jeu indigne à ce niveau, paraît, à 27 ans, armée pour décrocher enfin le gros lot en Grand Chelem.
Toujours invaincue cette saison après ses deux titres à Auckland et de Sydney, la championne olympique de Pékin a remporté avec la manière sa quatorzième victoire d'affilée face Cibulkova.
"Il n'y a pas de secret. C'est le travail qui paye. M'être préparée cet hiver à Miami plutôt qu'à Moscou m'a permis de m'habituer beaucoup plus facilement à la chaleur qui règne ici."
Si elle s'impose à Melbourne, elle serait également assurée de devenir la prochaine numéro un mondiale. "C'est une grande motivation", reconnaît la Russe qui n'a encore jamais fait mieux que quatrième au classement WTA.
"Mais je ne me considère pas comme la favorite, a-t-elle assuré. Regardez Dinara (Safina), elle a beaucoup progressé, elle est en forme, c'est elle la favorite. Moi je n'ai aucune pression."
Dementieva rencontrera l'Espagnole Carla Suarez Navarro, qui a battu sa compatriote Anabel Medina Garrigues, tête de série No 21, en deux manches de 6-3, 6-2.
Un peu plus tard, Serena Williams a profité de l'abandon de Victoria Azarenka pour passer au tour suivant. Williams menait 4-2 à la deuxième manche après avoir été battue 6-3 à la première.
"Je déteste ce qui est arrivé, a commenté Serena. Elle jouait si bien! J'espère qu'elle ira mieux et qu'elle a pris la bonne décision."
Ironie du sort, Serena rencontrera en quarts de finale la Russe Svetlana Kuznetsova qui a, elle-même, profité de l'abandon de la Chinoise Jie Zheng, touchée comme Monfils au poignet, à 4-1 au premier set.
C'est mieux sans double-fautes pour Dementieva
Ancienne championne du monde officieuse des double-fautes, Elena Dementieva reconnaît que ses chances de remporter enfin un tournoi du Grand Chelem ont augmenté depuis qu'elle a progressé au service.
"Je sers bien mieux que par le passé, même s'il n'est pas parfait, mon geste a évolué, c'est plus facile de gagner sans faire une dizaine de double-fautes par match", a déclaré la Russe après sa qualification pour les quarts de finale.
La numéro quatre mondiale, qui avait réussi "l'exploit" d'atteindre les finales de Roland-Garros et du US Open en 2004 avec une mise en jeu indigne à ce niveau, paraît, à 27 ans, armée pour décrocher enfin le gros lot en Grand Chelem.
Toujours invaincue cette saison après ses deux titres à Auckland et de Sydney, la championne olympique de Pékin a remporté avec la manière sa quatorzième victoire d'affilée face Cibulkova.
"Il n'y a pas de secret. C'est le travail qui paye. M'être préparée cet hiver à Miami plutôt qu'à Moscou m'a permis de m'habituer beaucoup plus facilement à la chaleur qui règne ici."
Si elle s'impose à Melbourne, elle serait également assurée de devenir la prochaine numéro un mondiale. "C'est une grande motivation", reconnaît la Russe qui n'a encore jamais fait mieux que quatrième au classement WTA.
"Mais je ne me considère pas comme la favorite, a-t-elle assuré. Regardez Dinara (Safina), elle a beaucoup progressé, elle est en forme, c'est elle la favorite. Moi je n'ai aucune pression."