Federer n'a "plus peur"
Tennis vendredi, 25 mai 2007. 14:29 jeudi, 12 déc. 2024. 21:49
PARIS - Aujourd'hui, Roger Federer n'a "plus peur de Roland-Garros" comme cela pouvait être le cas dans le passé, a souligné le Suisse vendredi à deux jours du début du tournoi parisien.
"Je suis plus fort sur le plan mental. Je n'ai plus peur du tournoi", a déclaré le N.1 mondial, finaliste l'an dernier à Roland-Garros, le plus exigeant des tournois du Grand Chelem sur le plan physique.
Un facteur qui a parfois inhibé le Suisse par le passé. "Mon pire souvenir à Roland-Garros reste mon élimination au premier tour face à Luis Horna en 2003, a-t-il raconté. Après avoir perdu le premier set, j'étais persuadé que je ne pouvais plus revenir. J'ai même pensé qu'il fallait mieux être éliminé tout de suite car, même si j'arrivais à l'emporter face à lui, je n'avais déjà plus aucune chance de gagner les six matches suivants.
Aujourd'hui, je n'ai plus peur d'enchaîner les matches en cinq sets. Je suis prêt à jouer des rencontres très longues et très dures."
Revigoré par sa victoire sur son grand rival Rafael Nadal la semaine dernière en finale de Hambourg, le Suisse aborde le dernier tournoi majeur qui manque à sa collection avec appétit et aussi un peu rassuré.
"Je me sens beaucoup mieux qu'il y a deux semaines", a-t-il avoué, en référence à un printemps difficile où il a connu la défaite dans quatre tournois d'affilée -chose inédite depuis 2003- et où il a cessé sa collaboration avec son entraîneur Tony Roche.
"Je crois que j'aurais de toute façon laissé tous ces problèmes de côté en entrant à Roland-Garros mais là, avec la victoire à Hambourg, je n'ai pas eu à m'en soucier."
Concernant sa victoire sur Nadal, sa première sur terre battue face au Majorquin, Federer a répété que c'était la première fois qu'il avait l'impression de "jouer de la bonne manière".
"Il faut essayer de le dominer du fond du court. C'est difficile sur terre battue, mais il faut attaquer, être agressif. Mais ça ne veut pas dire que je vais le battre à chaque fois."
A Paris depuis mercredi, le Suisse s'entraîne tous les jours pendant deux heures, sans forcer, histoire de "garder un bon rythme". "J'essaye de me donner toutes les chances pour remporter le tournoi. Je suis prêt."
"Je suis plus fort sur le plan mental. Je n'ai plus peur du tournoi", a déclaré le N.1 mondial, finaliste l'an dernier à Roland-Garros, le plus exigeant des tournois du Grand Chelem sur le plan physique.
Un facteur qui a parfois inhibé le Suisse par le passé. "Mon pire souvenir à Roland-Garros reste mon élimination au premier tour face à Luis Horna en 2003, a-t-il raconté. Après avoir perdu le premier set, j'étais persuadé que je ne pouvais plus revenir. J'ai même pensé qu'il fallait mieux être éliminé tout de suite car, même si j'arrivais à l'emporter face à lui, je n'avais déjà plus aucune chance de gagner les six matches suivants.
Aujourd'hui, je n'ai plus peur d'enchaîner les matches en cinq sets. Je suis prêt à jouer des rencontres très longues et très dures."
Revigoré par sa victoire sur son grand rival Rafael Nadal la semaine dernière en finale de Hambourg, le Suisse aborde le dernier tournoi majeur qui manque à sa collection avec appétit et aussi un peu rassuré.
"Je me sens beaucoup mieux qu'il y a deux semaines", a-t-il avoué, en référence à un printemps difficile où il a connu la défaite dans quatre tournois d'affilée -chose inédite depuis 2003- et où il a cessé sa collaboration avec son entraîneur Tony Roche.
"Je crois que j'aurais de toute façon laissé tous ces problèmes de côté en entrant à Roland-Garros mais là, avec la victoire à Hambourg, je n'ai pas eu à m'en soucier."
Concernant sa victoire sur Nadal, sa première sur terre battue face au Majorquin, Federer a répété que c'était la première fois qu'il avait l'impression de "jouer de la bonne manière".
"Il faut essayer de le dominer du fond du court. C'est difficile sur terre battue, mais il faut attaquer, être agressif. Mais ça ne veut pas dire que je vais le battre à chaque fois."
A Paris depuis mercredi, le Suisse s'entraîne tous les jours pendant deux heures, sans forcer, histoire de "garder un bon rythme". "J'essaye de me donner toutes les chances pour remporter le tournoi. Je suis prêt."