Premier titre pour Chakvetadze
Tennis dimanche, 10 févr. 2008. 12:08 mercredi, 11 déc. 2024. 05:42
PARIS - La Russe Anna Chakvetadze s'est relancée à Paris après un début de saison manqué en remportant pour la première fois dimanche le tournoi de Paris en salle aux dépens de la Hongroise Agnes Szavay, 6-3, 2-6, 6-2.
Favorite sur le papier malgré ses défaites au premier tour à Sydney et au troisième à l'Omnium d'Australie lors de ses deux premières sorties, la Moscovite de 20 ans a confirmé son statut de tête de série no 1 dans un tournoi dépourvu de grande tête d'affiche.
Chakvetadze, désormais sixième à la WTA, n'est pas la plus médiatique des joueuses du top 10. Elle ne manque pourtant pas d'atouts avec son physique photogénique et son jeu élégant, plus en finesse qu'en puissance, un peu à la manière de Martina Hingis, une comparaison qui a le don de l'agacer.
La Russe à la natte blonde a percé l'an passé en remportant quatre titres (Hobart, s'-Hertogenbosch, Cincinnati, Stanford). En Grand Chelem, elle n'a pas encore réussi de très gros coup malgré une belle régularité en 2007 (quarts de finale à l'Open d'Australie et à Roland-Garros, demi-finale au Internationaux des États-Unis).
Chakvetadze a dû batailler pour remporter son septième titre en autant de finales, signe qu'elle n'est peut-être pas aussi fragile mentalement que ne le laissent penser ses fréquentes mimiques de découragement et de frustration sur le court.
La Russe a gagné ses trois derniers matches en trois sets, en ayant perdu la première manche contre Amélie Mauresmo en quart de finale et Marion Bartoli en demie.
Elle a dû aussi faire avec différents bobos, un dos meurtri, puis une hanche sensible et enfin des pectoraux endoloris en finale.
Comme Szavay, une des révélations de 2007, passée l'année de ses 19 ans de la 185e place mondiale au Top 20, Chakvetadze a eu des hauts et des bas dans une finale qui n'a aucune chance de rester comme un des sommets de la saison.
La Russe a fini par imposer sa régularité du fond du court en s'appuyant sur son beau revers.
Favorite sur le papier malgré ses défaites au premier tour à Sydney et au troisième à l'Omnium d'Australie lors de ses deux premières sorties, la Moscovite de 20 ans a confirmé son statut de tête de série no 1 dans un tournoi dépourvu de grande tête d'affiche.
Chakvetadze, désormais sixième à la WTA, n'est pas la plus médiatique des joueuses du top 10. Elle ne manque pourtant pas d'atouts avec son physique photogénique et son jeu élégant, plus en finesse qu'en puissance, un peu à la manière de Martina Hingis, une comparaison qui a le don de l'agacer.
La Russe à la natte blonde a percé l'an passé en remportant quatre titres (Hobart, s'-Hertogenbosch, Cincinnati, Stanford). En Grand Chelem, elle n'a pas encore réussi de très gros coup malgré une belle régularité en 2007 (quarts de finale à l'Open d'Australie et à Roland-Garros, demi-finale au Internationaux des États-Unis).
Chakvetadze a dû batailler pour remporter son septième titre en autant de finales, signe qu'elle n'est peut-être pas aussi fragile mentalement que ne le laissent penser ses fréquentes mimiques de découragement et de frustration sur le court.
La Russe a gagné ses trois derniers matches en trois sets, en ayant perdu la première manche contre Amélie Mauresmo en quart de finale et Marion Bartoli en demie.
Elle a dû aussi faire avec différents bobos, un dos meurtri, puis une hanche sensible et enfin des pectoraux endoloris en finale.
Comme Szavay, une des révélations de 2007, passée l'année de ses 19 ans de la 185e place mondiale au Top 20, Chakvetadze a eu des hauts et des bas dans une finale qui n'a aucune chance de rester comme un des sommets de la saison.
La Russe a fini par imposer sa régularité du fond du court en s'appuyant sur son beau revers.