Pospisil avance au 2e tour

MELBOURNE, Australie - L'Ontarien Milos Raonic a atteint la deuxième ronde des Internationaux australiens en l'emportant 7-6 (3), 7-6 (3) et 6-3 devant l'Ukrainien Illya Marchenko, mardi.

De son côté, Vasek Pospisil a eu besoin de cinq manches pour vaincre l'Américain Sam Querrey 6-3, 6-7, 2-6, 6-4 et 6-4, dans une rencontre qui a duré un peu plus de trois heures.

Pour revenir à Raonic, le tennisman de Thornhill a remporté le dernier jeu à zéro, ponctuant le tout de son 30e as. Il a aussi obtenu 48 coups gagnants.

« J’aurais probablement dû hausser le rythme et prendre un peu plus de risques sur les retours. J’ai l’impression que mon jeu a été un peu monotone à certains moments et que mon plan de match n’était pas le plus efficace, surtout sur les retours. Sinon, c’était comme ça que j’espérais que ça se passe pour un match de premier tour. »

« J'espère que 2015 sera mon année. J'ai travaillé fort et je crois que je peux remporter une titre du Grand Chelem. »

Marchenko, 144e au monde, a nui à sa propre cause en commettant huit doubles fautes.

Huitième tête de série, le Canadien aura comme prochain adversaire l'Américain Donald Young (56e à l'ATP), qu'il a battu deux fois en 2014. Le plan de match de Raonic sera bien simple pour espérer obtenir à nouveau du succès contre lui.

« Je devrai être beaucoup plus agressif et ce serait génial si je pouvais bien servir. »

« Il bouge bien, il a de bonnes mains et il est rusé. Dans le passé, ce qui m’a aidé était de dicter l’allure de la rencontre. Il peut vous faire bouger de gauche à droite avec son coup droit et je dois donc m’assurer qu’il ne soit pas suffisamment confortable pour laisser parler ce coup droit et je dois le faire bouger. »

Raonic a commencé l'année en atteignant la finale à Brisbane, où il s'est incliné en trois manches devant Roger Federer, qui méritait ainsi le 1000e gain de sa carrière.

Pour ce qui est de Pospisil, il affrontera au tour suivant l'Italien Paolo Lorenzi, lui qui est occupe le 64e rang au classement de l'ATP.

 

« L'atmosphère était plaisante »
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